En France, des actions étaient prévues sur tous le territoire.
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En France, des actions étaient prévues sur tous le territoire.
La tête du cortège est arrivée vers 15 h aux Invalides, le point final où, une heure après, les marcheurs continuaient d’affluer, a constaté une journaliste de l’AFP. La foule partie du Panthéon, en passant par Montparnasse, était composée d’étudiants mais aussi de lycéens et de bien plus jeunes venus avec leurs parents. Dans le cortège on repérait des scouts, des membres de syndicats étudiants, un panneau « gilets jaunes Paris 20e ». Des slogans anti-capitalistes fusaient entre les désormais classiques: « Et un, et deux, et trois degrés, c’est un crime contre l’humanité » ou « Rejoignez-nous, ne nous regardez pas ».
Autres participants annoncés, des étudiants de l’École Polytechnique.
(Source : www.lefigaro.fr, lien à la fin de l'article complet).
Étaient présentes notamment les adolescentes belges Kyra Gantois et Anuna de Wever, visages du mouvement climat en Belgique, ou Ysee Parmentier, une collégienne venue du Tarn-et-Garonne. Encadrés par des forces de l’ordre en nombre, les jeunes manifestants ont défilé, portant des pancartes « le futur commence ici », « Sauve la Terre, mange un lobbyiste », « Water is coming » et scandant les slogans « on est plus chaud que le climat » ou « rejoignez-nous, ne nous regardez pas ».
Source : https://www.lemonde.fr, lien à la fin de l'article complet.
Plus de 200 jeunes ont manifesté vendredi 15 février 2019 à Paris contre l'« inaction climatique » du gouvernement, une première mobilisation timide comparée aux milliers d’élèves ayant défilé en Belgique ou au Royaume-Uni.
À l’appel de l’adolescente suédoise Greta, 16 ans, qui chaque vendredi depuis des mois sèche les cours pour aller protester devant le parlement suédois, des écoliers et étudiants descendent dans la rue une fois par semaine dans de nombreuses villes du monde. Mais le mouvement n’avait pas encore gagné la France. Vendredi, à l’appel d’un collectif d’étudiants d’Ile-de-France, des dizaines de jeunes portant des pancartes « Sauve un panda, taxe un banquier » ou « moins de riches, plus de ruches » se sont assis devant le ministère de la Transition écologique, bloquant la circulation.
La secrétaire d’État à la Transition écologique Brune Poirson est sortie à la rencontre des jeunes massés devant son ministère.
► Picture 1 : caption in english
► Données techniques de la photo 1
Au total, près de 80 mobilisations étaient prévues en France, y compris dans de plus petites villes comme Reims (500 personnes), Auch (une centaine), Tours ou Angers.
Ils étaient 14.500 à Paris, selon le comptage du cabinet Occurence, contre 18.500 selon la préfecture le 8 septembre (50.000 selon les organisateurs). Lyon a connu la deuxième plus forte mobilisation avec 10.000 personnes selon la préfecture. Ailleurs, 3.200 personnes ont défilé à Lille, 2.500 à Bordeaux et 1.850 à Strasbourg (selon la police) sous un soleil radieux, alors que Météo-France recense des records de chaleur pour un mois d’octobre en France.
Il y a un mois, la démission de Nicolas Hulot du ministère de la Transition écologique avait poussé de simples citoyens à appeler à une manifestation qui s’est avérée d’une ampleur inédite, avec 115.000 manifestants dans toute la France, selon les organisateurs.
François de Rugy, qui a pris la succession de Nicolas Hulot au gouvernement, a salué dans un tweet « la mobilisation de chacun » qui « est une force pour agir ! »
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Données techniques de cette photo. Prise de vue: Mardi 12 décembre 2017, à 11 h 45. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/640 s, f/8, ISO 2500, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT : 77 mots
Pour protester contre les coupes budgétaires au ministère de la Transition écologique, les salariés de Météo France, du Cerema et de l’IGN appelaient à manifester le 12 décembre 2017 devant le siège de ces établissements, à Saint-Mandé.
Alors que le sommet international sur le climat se tient ce mardi sur l’île Seguin (Hauts-de-Seine), ce sont 233 météorologues, cartographes et experts qui manifestaient, après l’annonce de 233 suppressions de postes d’experts…
Weather technicians of French national meteorological service Meteo France gather in front of the compagny’s headquarters against the abolishment of posts in the service, in Saint-Mandé, near Paris, on December 12, 2017. They carry pierced umbrellas to show the social and economic conditions of the national service.
© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Jeudi 29 novembre 2012, à 19 h 22. Appareil: Leica Camera AG M9 Digital Camera. Objectif: 28 mm (Max ouverture f/2) ; focale: 28 mm. Exposition: Manuelle, priorité à l'ouverture, 1/12 sec, ISO 800. Flash: non
La goélette d’exploration Taras est amarrée depuis le 3 novembre 2012 près du pont Alexandre III après un périple sur les océans du monde entier à la découverte du plancton. Lancé en 1989 pour les expéditions de Jean-Louis Étienne, puis propriété de Peter Blake, le navire appartient depuis 2003 à Agnès Troublé (agnès b.) et Etienne Bourgois.
La goélette est un outil scientifique et pédagogique au service de la lutte contre le réchauffement climatique. Après un parcours de 115 000 km à travers tous les océans durant deux ans et demi, la goélette a accosté à Paris jusqu’au 27 janvier 2013.
À quai, une exposition installée dans des containers maritimes retrace ce périple, ainsi que les précédents voyages – sur l’Arctique – réalisés par le navire. Après des escales en Europe cet hiver, la goélette repartira dès 2013 en mission, en tentant d’effectuer le tour de l’Océan Arctique par les passages du Nord Ouest et du Nord Est, si la glace le permet…
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