Youth take part in a demonstration against climate change on March 15, 2019 near the Pantheon in Paris. The worldwide youth protests were inspired by a Swedish teen activist who camped out in front of parliament in Stockholm last year to demand action from world leaders on global warming.
Prise de vue: Vendredi 15 mars 2019, à 13 h 28. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 500, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 146 mots. Quelque 29.000 personnes, selon la préfecture de police, 40.000 selon le collectif Youth for Climate, organisateur, ont participé dans le calme vendredi à Paris à la marche des jeunes pour le climat. La tête du cortège est arrivée vers 15 h aux Invalides, le point final où, une heure après, les marcheurs continuaient d’affluer, a constaté une journaliste de l’AFP. La foule partie du Panthéon, en passant par Montparnasse, était composée d’étudiants mais aussi de lycéens et de bien plus jeunes venus avec leurs parents. Dans le cortège on repérait des scouts, des membres de syndicats étudiants, un panneau « gilets jaunes Paris 20e ». Des slogans anti-capitalistes fusaient entre les désormais classiques: « Et un, et deux, et trois degrés, c’est un crime contre l’humanité » ou « Rejoignez-nous, ne nous regardez pas ». Autres participants annoncés, des étudiants de l’École Polytechnique. (Source : www.lefigaro.fr, lien à la fin de l'article complet).
People walk in a street of Paris on January 19, 2019 during a demonstration called by the yellow vests (gilets jaunes) movement in a row of nationwide protest for the tenth consecutive saturday against high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice."
Prise de vue: Samedi 19 janvier 2019, 11:55:57. Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x; focale: 150 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/800 sec, f/6.3, ISO 800, Compensation: -1/3. Flash: non
« Injustice fiscale, colère sociale » : des milliers de « gilets jaunes » manifestaient samedi 19 janvier 2019 pour leur dixième journée d’action, une mobilisation en léger recul et sans heurts majeurs, quelques jours après le lancement par Emmanuel Macron d’un « débat national » censé canaliser cette colère inédite. Le ministère de l’intérieur a recensé 84 000 manifestants en France en fin de journée, comme samedi dernier. Des chiffres qui sont habituellement critiqués par les « gilets jaunes », qui communiquent eux-mêmes leur comptage via plusieurs pages Facebook.
People wearing a yellow vest gather in front the Hotel national voice over Invalides in Paris on January 19, 2019 during a demonstration called by the yellow vests (gilets jaunes) movement in a row of nationwide protest for the tenth consecutive saturday against high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice."
Prise de vue: Samedi 19 janvier 2019, 111h55m57. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 160, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 207 mots. A Paris, pour la première fois depuis le début du mouvement social il y a deux mois, la manifestation, qui a rassemblé 7 000 personnes le samedi 19 janvier 2019, s’est déroulée de manière classique, suivant un parcours pré-établi et sans débordements. Le défilé est parti de l’esplanade des Invalides vers midi. La manifestation a rallié la place d’Italie, dans l’est de Paris, avant de revenir aux Invalides. Un aller-retour de 15 kilomètres le long de la rive gauche, qui abrite de nombreux ministères et lieux de pouvoirs, et avait jusqu’ici échappé aux grands rassemblements. La traversée s’est effectuée dans le calme, mais une fois le cortège disloqué, les forces de l’ordre ont fait usage de gaz lacrymogène et de canon à eau contre les manifestants qui jetaient des bouteilles et pavés, dans le 7e arrondissement parisien. Les organisateurs avaient invité les participants à apporter «&;nbspune fleur ou une bougie en hommage » aux personnes tuées ou blessées « pour [leur] cause » depuis le début du mouvement le 17 novembre. Dix personnes sont mortes, pour la plupart lors d’accidents à des barrages, et plus de 2 000 ont été blessées, du côté des manifestants comme des forces de l’ordre.
Employees of the French state owned railway company SNCF holding a banner reading « railway workers and users, let us resist together for a real public service » demonstrate in front of the Gare de l’Est railway station in Paris on March 22, 2018 to protest against French government's string of reforms. Thousands of French train drivers, teachers and air traffic controllers were set to go on strike on March 22, 2018 in a major day of protest against French President's reform drive. The walk-outs and demonstrations are the latest test of strength for the 40-year-old centrist leader as he pushes ahead with a new phase of his agenda to overhaul the state railways and other public services
La mobilisation a été massive ce jeudi 22 mars 2018 à la SNCF avec plus de 35 % de grévistes, éclipsant celle dans la fonction publique, qui est restée limitée. Ce devait être la journée des fonctionnaires lorsqu’en février, sept de leurs fédérations sur neuf (toutes sauf la CFDT et l’UNSA) avaient décidé de les appeler à se mobiliser ce jeudi sur les salaires, l’emploi et les services publics. Mais les cheminots leur ont volé la vedette. Le contraste entre les deux défilés parisiens qui ont convergé place de la Bastille a résumé à lui seul la journée. Ambiance calme et plutôt âgée du côté de la fonction publique, plus jeune et plus dynamique du côté de la SNCF. Les casseurs eux-mêmes, présents en nombre, ne s’y sont pas trompés, qui ont choisi d’aller plutôt parasiter les cheminots, ce qui a donné lieu à des affrontements avec les forces de l’ordre qui ont fait usage de canon à eau et grenades lacrymogènes.