Demonstrators face riot police officers during a demonstration called by several trade unions to disrup the inauguration by the French President Emmanuel Macron of a new handball stadium in Creteil, on the outskirts of Paris on January 9, 2019.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/9, ISO 3200, Compensation: -1. Flash: non
RÉSUMÉ : 157 mots. Le chef de l’État a vu sa première sortie de l’année 2019 quelque peu mouvementée. Emmanuel Macron devait inaugurer la Maison du Handball à Créteil, dans le Val-de-Marne ce mercredi 9 janvier 2019. Sa visite a été marquée par la présence de manifestants hostiles à sa venue, entraînant des heurts avec les forces de l’ordre. Un vaste périmètre de sécurité avait été mis en place autour de la Maison du handball, et la centaine de manifestants était cantonnée à environ 900 mètres. « Police nationale, milice du capital » ou « Macron t’es foutu, les travailleurs sont dans la rue », ont scandé les manifestants. Cette visite intervient à trois jours de l' « acte IX » des gilets jaunes et alors que le Premier ministre Édouard Philippe a annoncé lundi une nouvelle loi « anticasseurs » avec un fichier s’inspirant des lois anti-hooligans et un durcissement des sanctions contre les casseurs et les manifestations non déclarées ».
Source : www.huffingtonpost.fr, lien à la fin de l'article complet.
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Clashes between demonstrators and riot police in front of the Arc de Triomphe during a protest of Yellow vests (Gilets jaunes) against rising oil prices and living costs, in Paris, on December 1, 2018. Thousands of anti-government protesters are expected on December 1, 2018 on the Champs-Elysees in Paris, a week after a violent demonstration on the famed avenue was marked by burning barricades and rampant vandalism that French President compared to "war scenes".
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 6400, Compensation: -1. Flash: non
EXTRAIT : 297 mots. L’Arc de Triomphe plongé sous un nuage de lacrymogène, au milieu des jets de projectiles : à Paris, des centaines de « gilets jaunes » étaient aux prises samedi 1er décembre 2018 avec les forces de l’ordre, à la peine pour les canaliser. C’est en haut des Champs-Élysées, sur le rond-point de l’Étoile, que les premiers heurts ont d’ailleurs éclaté vers 8H45 quand des manifestants ont, selon une source policière, tenté de forcer un barrage. Les forces de l’ordre ont alors répliqué par des tirs de lacrymogène et des camions à eau. Quelques heures plus tard, c’est toujours autour de l’Arc de Triomphe que les échauffourées étaient les plus violentes.(…) Autour de la flamme du soldat inconnu, qui repose sous l’arc de Triomphe, des manifestants casqués et encagoulés ont entonné la Marseillaise, dans un climat extrêmement tendu. (…) Une banderole « Gaulois réfractaires » a été tendue près du monument, en référence à l’expression utilisée par le chef de l’État Emmanuel Macron pour évoquer la supposée réticence des Français face aux réformes. Un tag « les gilets jaunes triompheront » a également été peint au pied de l’Arc de triomphe. Autour du monument, des manifestants ont lancé des pavés sur des camions de gendarmes mobiles lancés à pleine vitesse avenue de la Grande armée où presque tous les commerces étaient fermés. Aux alentours de midi, le rondpoint de l’Étoile avait été évacué et était bloqué par un double cordon policier, repoussant les manifestants les plus virulents vers les avenues adjacentes où des barricades de fortune étaient dressées, ont constaté des journalistes de l’AFP. Ces heurts ont également repoussé au loin les manifestants qui avaient choisi de se rassembler pacifiquement pour faire entendre leur colère sur le pouvoir d’achat. (…)
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III: 165 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/6.3, ISO 250, Compensation: -1. Flash: non
L’Arc de Triomphe, monument emblématique de Paris, dont la construction a débuté sous Napoléon et qui abrite la tombe du Soldat inconnu a été tagué ce samedi 1er décembre 2018, en marge du rassemblement des Gilets jaunes. « Les Gilets jaunes triompheront », est-il inscrit. Le Premier ministre Édouard Philippe s’est dit « choqué par la mise en cause de symboles qui sont les symboles de la France. […] Par le fait que l’Arc de Triomphe ait été tagué. Le fait qu’autour de la tombe du soldat inconnu une manifestation violente puisse avoir lieu ».
Riot police officers stand in front of a broken shop window and writings reading in French "legitimate or not, our anger in your face" during clashes on the sidelines of a demonstration on April 19, 2018 in Paris, as part of a multi branch day of protest called by French unions CGT and Solidaires against French President's policies amid a rail strike and spreading student sit-ins.
Le cortège du défilé du 19 avril 2018 s’est élancé à Paris vers 14 h 30 pour se diriger vers la place d’Italie. Mais vers 15 h 30, de premiers incidents, opposant de petits groupes aux CRS à hauteur de Port Royal, ont émaillé le défilé. Les forces de l’ordre ont dû faire usage de gaz lacrymogène pour disperser les fauteurs de troubles, obligeant pendant ce temps le cortège officiel à stopper sa progression par ailleurs plutôt bon enfant. Des vitrines ont été brisées ou taguées. Vers 16 h 30, de nouveaux débordements ont émaillé la manifestation. Là encore, des vitrines ont été brisées. Des casseurs s’en sont pris à l’entrée du très chic hôtel Marriott aux cris de « Anti-Anti-Anticapitalistes ».
Employees of the French state owned railway company SNCF holding a banner reading « railway workers and users, let us resist together for a real public service » demonstrate in front of the Gare de l’Est railway station in Paris on March 22, 2018 to protest against French government's string of reforms. Thousands of French train drivers, teachers and air traffic controllers were set to go on strike on March 22, 2018 in a major day of protest against French President's reform drive. The walk-outs and demonstrations are the latest test of strength for the 40-year-old centrist leader as he pushes ahead with a new phase of his agenda to overhaul the state railways and other public services
La mobilisation a été massive ce jeudi 22 mars 2018 à la SNCF avec plus de 35 % de grévistes, éclipsant celle dans la fonction publique, qui est restée limitée. Ce devait être la journée des fonctionnaires lorsqu’en février, sept de leurs fédérations sur neuf (toutes sauf la CFDT et l’UNSA) avaient décidé de les appeler à se mobiliser ce jeudi sur les salaires, l’emploi et les services publics. Mais les cheminots leur ont volé la vedette. Le contraste entre les deux défilés parisiens qui ont convergé place de la Bastille a résumé à lui seul la journée. Ambiance calme et plutôt âgée du côté de la fonction publique, plus jeune et plus dynamique du côté de la SNCF. Les casseurs eux-mêmes, présents en nombre, ne s’y sont pas trompés, qui ont choisi d’aller plutôt parasiter les cheminots, ce qui a donné lieu à des affrontements avec les forces de l’ordre qui ont fait usage de canon à eau et grenades lacrymogènes.
Protesters break a shops' window 79 Boulevard Raspail in Paris during a demonstration against a French government's proposed reform of university applications and a project to reform the French baccalaureate high school exit exam on February 6, 2018.
EXTRAIT : 187 mots. En marge de la manifestation d’étudiants organisée à Paris le 6 février 2018, plusieurs dégradations ont été commises sur des vitrines de magasins ou d’établissement bancaires. Armés de barres de fer, organisés, dissimulés par des cagoules ou des masques, les auteurs de ces actes se fondent dans les manifestations pour chercher la confrontation avec les forces de l’ordre. Olivier Cahn, chercheur au Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales (Cesdip), observe « deux types de groupes : les groupes autonomes habillés en noir, les « Black Blocs », organisés, qui apparaissent tout à coup à l’avant du cortège pour en découdre avec les policiers. (…) Et des groupes de casseurs, constitués de gamins qui descendent de la périphérie de Paris ou Lyon et profitent de la manif pour casser ». Les groupes autonomes ont le « visage masqué, des lunettes de ski, des foulards, du produit pour les yeux : ils s’équipent pour évoluer sereinement au milieu des gaz lacrymogènes », raconte Patrice Ribeiro, du syndicat Synergie Officiers. « Certains se déplacent même en colonne comme les policiers « , dit-il. « Ils sont de plus en plus organisés, méthodiques. (…)
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Samedi 18 novembre 2017, à 15 h 36. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/320 s, f/11, ISO 12800, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT Le Front social, coordination de sections syndicales, a organisé une « marche sur l’Élysée » le samedi 18 novembre 2017, afin de protester contre « la politique anti-sociale » d’Emmanuel Macron. Elle a rassemblé 3000 personnes selon les organisateurs, 1800 selon la police. Les manifestants sont partis de la place du Maréchal Juin, dans le 17e arrondissement, et ont rallié la place du Pérou, à quelque
500 m du palais présidentiel. Ils dénonçaient principalement la baisse des emplois aidés ainsi que les réformes du Code du travail et de l’ISF. (…) Quelques dizaines de casseurs se sont invités et ont causé des dégradations en marge de la manifestation, principalement sur des banques et des boutiques de luxe mais aussi sur l’entrée de l’ambassade d’Arabie Saoudite…
A damaged front window of a branch of the Société Générale bank in seen as people take part in a march dubbed ‘Marche sur l'Elysée’ called by the Social Front against the Government's measures on assisted jobs, labor law reform and solidarity tax, in Paris on November 18, 2017.
Plusieurs centaines de manifestants, dont de nombreux jeunes, se sont rassemblés le samedi 11 février 2016 à Bobigny, en Seine-Saint-Denis, en soutien à Théo, jeune homme victime d’un viol présumé lors d’une interpellation brutale à Aulnay-sous-Bois le 2 février. « La police viole », « je ne suis pas un bamboula », « la police tue des innocents », pouvait-on lire sur des pancartes.
Encadrés par un impressionnant déploiement policier, les manifestants, dont de nombreux jeunes, s’étaient réunis devant le tribunal de Bobigny. La préfecture de Seine-Saint-Denis n’est qu’à
une dizaine de kilomètres d’Aulnay-sous-Bois, où le jeune homme de 22 ans a été interpellé le 2 février dans la cité des 3.000. Après plus d’une heure de manifestation, des policiers postés sur une passerelle ont reçu des projectiles. Des cris, des bruits de pétards et des mouvements de foule ont suivi. Des casseurs s’en sont pris à des vitres d’immeubles, à des abribus et au mobilier urbain. « Plusieurs centaines d’individus violents et très mobiles » ont commis diverses « exactions et dégradations », a affirmé la préfecture de police de Paris, qui chiffre le nombre des manifestants à « près de 2.000 personnes ».
Thousands gather with signs during a protest in Bobigny, a district of northeast Paris, on February 11, 2017, to denounce police brutality after a black man was allegedly sodomized with a baton while in custody earlier this month. One officer has been charged with rape and three others with assault over the incident in the northeastern suburb of Aulnay-sous-Bois which has revived past controversies over alleged police brutality.
En marge du rassemblement organisé en soutien à Théo, le samedi 11 février 2017 à Bobigny, en Seine-Saint-Denis, une camionnette aux couleurs de la radio RTL a été saccagée, pillée puis brulée devant le Palais de Justice. Dans une déclaration, la radio a indiqué que son équipe sur place
a été « choquée mais pas blessée » et « condamne cet acte de violence », assurant « qu’elle ne cédera à aucune forme d’intimidation ». Sous les gaz lacrymogènes, la manifestation a pris fin en début de soirée.
A van of French radio station RTL is burning during a protest in Bobigny, a district of northeast Paris, on February 11, 2017, to denounce police brutality after a black man was allegedly sodomized with a baton while in custody earlier this month. One officer has been charged with rape and three others with assault over the incident in the northeastern suburb of Aulnay-sous-Bois which has revived past controversies over alleged police brutality.