Tag: "échauffourées"
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C’est en haut des Champs-Élysées, sur le rond-point de l’Étoile, que les premiers heurts ont d’ailleurs éclaté vers 8H45 quand des manifestants ont, selon une source policière, tenté de forcer un barrage. Les forces de l’ordre ont alors répliqué par des tirs de lacrymogène et des camions à eau. Quelques heures plus tard, c’est toujours autour de l’Arc de Triomphe que les échauffourées étaient les plus violentes.(…)
Autour de la flamme du soldat inconnu, qui repose sous l’arc de Triomphe, des manifestants casqués et encagoulés ont entonné la Marseillaise, dans un climat extrêmement tendu. (…) Une banderole « Gaulois réfractaires » a été tendue près du monument, en référence à l’expression utilisée par le chef de l’État Emmanuel Macron pour évoquer la supposée réticence des Français face aux réformes. Un tag « les gilets jaunes triompheront » a également été peint au pied de l’Arc de triomphe. Autour du monument, des manifestants ont lancé des pavés sur des camions de gendarmes mobiles lancés à pleine vitesse avenue de la Grande armée où presque tous les commerces étaient fermés.
Aux alentours de midi, le rondpoint de l’Étoile avait été évacué et était bloqué par un double cordon policier, repoussant les manifestants les plus virulents vers les avenues adjacentes où des barricades de fortune étaient dressées, ont constaté des journalistes de l’AFP. Ces heurts ont également repoussé au loin les manifestants qui avaient choisi de se rassembler pacifiquement pour faire entendre leur colère sur le pouvoir d’achat. (…)
L'Arc de Triomphe tagué
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« Les Gilets jaunes triompheront », est-il inscrit.
Le Premier ministre Édouard Philippe s’est dit « choqué par la mise en cause de symboles qui sont les symboles de la France. […] Par le fait que l’Arc de Triomphe ait été tagué. Le fait qu’autour de la tombe du soldat inconnu une manifestation violente puisse avoir lieu ».
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Dans le cortège, de nombreux manifestants regrettaient que ces échauffourées viennent entacher le message d’union qu’ils étaient venus défendre, et que de nombreux politiques appelaient de leurs vœux…
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Un rassemblement spontané a eu lieu le samedi 2 mai 2015 après midi à Trappes, dans les Yvelines, où un adolescent de 14 ans a trouvé la mort la veille, tué par balles en pleine rue. Un hommage organisé dans l’Espace Anatole France, non loin du lieu où s’est déroulé le drame, et où se sont rendus la famille et les proches de la victime.
Les coups de feu ont éclaté vendredi à 15 h 30 au square Albert-Camus de Trappes, une ville de banlieue populaire, théâtre, depuis plusieurs semaines, d’échauffourées et de règlements de comptes sur fond de trafic de stupéfiants. Une douzaine de douilles ont été retrouvées sur place. Les auteurs, dont on ignore le nombre, ont pris la fuite à bord d’une Renault Clio noire avant d’abandonner et d’incendier leur véhicule retrouvé par les gendarmes à Beynes, à quelques kilomètres de Trappes.
Le maire de Trappes Guy Malandain, a évoqué un garçon « adorable » qu’il « connaissait bien » en parlant de Moussa devant les médias.
Sur les sites de Michel Stoupak : l’article, l’album complet.
Peu après la dislocation du cortège de la Manif pour tous, le dimanche 5 octobre 2014 à Paris, de brèves échauffourées ont éclaté entre les forces de l’ordre et un groupe de radicaux. Têtes dissimulées sous une capuche et visages masqués pour certains, ils ont lancé des fumigènes et des pétards dans les rues adjacentes à la gare Montparnasse. Plus d’un millier de policiers avaient été mobilisés pour assurer la sécurité de la manifestation.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet