Protesters take part in a Yellow vest (gilets jaunes) anti-government demonstration on February 16, 2019 in Paris. Demonstrators hit French city streets again on February 16, for a 14th consecutive week of nationwide protest against the French President's policies and his top-down style of governing, high cost of living, government tax reforms and for more "social and economic justice." The new day of protests marks three months of "yellow vest" protests as a poll now suggests that most of the country wants them to stop.
Prise de vue: Samedi 16 février 209, à 14 h 26. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/9, ISO 100, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 234 mots. Pour les trois mois du mouvement « gilets jaunes », 41.500 personnes ont défilé ce samedi 16 février 2019 dans les rues de Paris et de plusieurs autres villes de France. Dès la fin de matinée, sous un beau ciel bleu et un soleil resplendissant, on a vu de nombreux manifestants à Paris descendre l’avenue des Champs-Élysées depuis le rond-point de l’Étoile, en direction de l’Assemblée nationale. Ils ont déambulé ensuite boulevard Saint-Michel avant de rejoindre le secteur des Invalides. Le rassemblement, placé sous haute surveillance des forces de l’ordre, se déroulait dans une ambiance bon enfant, malgré des sifflets, des fumigènes et des chants hostiles. En marge du cortège, certains « gilets jaunes » ont copieusement insulté et sifflé le philosophe Alain Finkielkraut présent boulevard du Montparnasse. Quelques miliers de « gilets jaunes » se sont ensuite massés sur l’esplanade des Invalides où des tensions ont éclaté en tête du cortège arrêté par les forces de l’ordre. Sur place, les manifestants ont lancé de nombreux projectiles sur les forces de l’ordre. Les militants ont tenté de rejoindre le pont Alexandre III également bloqué. Après environ une heure d’affrontements, l’esplanade des Invalides a été évacuée et la circulation rétablie. La préfecture de police de Paris a indiqué que 23 personnes ont été interpellées. En fin de journée, les « gilets jaunes » ont pris la direction des Champs-Elysées. Source : www.lefigaro.fr, lien à la fin de l'article complet.
Employee of the French state owned railway company SNCF holds a flare during a demonstration in front of the Gare de l’Est train station on April 3, 2018 in Paris, on the first day of a two day strike by railway workers. Staff at state rail operator SNCF walked off the job from 7.00 pm (1700 GMT) on April 2, the first in a series of walkouts affecting everything from energy to garbage collection. The rolling rail strikes, set to last until June 28, are being seen as the biggest challenge yet to the President's sweeping plans to shake up France and make it more competitive.
EXTRAIT : 135 mots. Plusieurs centaines de personnes ont défilé mardi 3 avril 2018 à Paris mais aussi dans plusieurs villes en soutien aux cheminots, au premier jour d’une grève au long cours contre la réforme de la SNCF. À Paris, les manifestants, en majorité des cheminots de SUD-Rail et de FO, mais aussi des étudiants, des agents hospitaliers, des enseignants et des salariés d’Air France, sont partis de la gare de l’Est en direction de la gare Saint-Lazare, sur fond de fumigènes, pétards et sirènes. Le premier jour de mobilisation contre la réforme de la SNCF s’est traduit mardi par la présence d’un TGV sur huit en moyenne, et un train régional sur cinq, beaucoup d’usagers ayant dû se rabattre sur des solutions alternatives comme le bus ou le covoiturage.
À 24 heures du meeting de Marine Le Pen au Zénith de la Villette, environ 400 personnes ont manifesté le dimanche 16 avril 2017 contre cette réunion. Parti d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), le cortège a achevé son parcours à la mairie du XIXe arrondissement de Paris vers 17 h. Des heurts ont éclaté vers 16 h aux abords du parc de la Villette
quand des manifestants vêtus de noir et le visage masqué ont lancé des fumigènes et projectiles sur les forces de l’ordre, qui ont riposté avec des gaz lacrymogènes. Ces incidents ont eu lieu non loin du Zénith, où Marine Le Pen, candidate FN à la présidentielle, doit tenir un meeting le 17 avril 2017.
People take part in a demonstration against the Front National on April 16, 2017 in Aubervilliers, outside Paris, on the eve of a campaign meeting of French presidential election candidate for the far-right Front National (FN) party that is to take place at the nearby Zenith venue in Paris.
Peu après la dislocation du cortège de la Manif pour tous, le dimanche 5 octobre 2014 à Paris, de brèves échauffourées ont éclaté entre les forces de l’ordre et un groupe de radicaux. Têtes dissimulées sous une capuche et visages masqués pour certains, ils ont lancé des fumigènes et des pétards dans les rues adjacentes à la gare Montparnasse. Plus d’un millier de policiers avaient été mobilisés pour assurer la sécurité de la manifestation.