Retired from all over France demonstrate in Paris on December 02, 2021, as part of a nation-wide day of demonstrations called by nine trade unions to ask for higher pensions and for the reinstatement of the Old Age Law. In 2022, the revaluation of basic pensions in France will reach 1.1%, insufficient according to demonstrators compared to the increase in prices.
Prise de vue: Jeudi 2 décembre 2021, à 13 h 07. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/8, ISO 250, Compensation: -1/3. Flash: non
Extrait : 88 mots. Plusieurs milliers de personnes âgées ont défilé jeudi 2 décembre 2021 à Paris pour demander une revalorisation immédiate des pensions de retraite de 300 euros. Déjà dans la rue pour exprimer leur mécontentement il y a deux mois, ces manifestants ont une nouvelle fois répondu à l’appel de neuf syndicats (CGT, FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, Solidaires) et associations (FGR-FP, LSR, Ensemble et solidaires), entre Denfert-Rochereau et Invalides. Depuis 2014, les retraités ont perdu entre 10 et 12% de pouvoir d’achat, estiment ces organisations. suite »
CRS riot policemen stand in front of protesters during a demonstration in Paris, on January 9, 2020, on the 36th day of a nationwide multi-sector strike against French government's pensions overhaul.
Prise de vue: Jeudi 9 janvier 2020, à 13 h 50. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 12800. Flash: non
Des centaines de milliers de personnes ont battu le pavé partout en France le jeudi 9 janvier 2020 pour la quatrième journée de manifestations contre la réforme des retraites, après plus d’un mois de conflit entre syndicats et exécutif. Au 36e jour de grève, 370.000 personnes selon la CGT ont ainsi défilé jeudi après-midi à Paris entre République et Saint-Augustin. Lors de la précédente mobilisation, le 17 décembre, la CGT avait comptabilisé 350.000 manifestants dans la capitale et le ministère de l’Intérieur 76.000. Le 5 décembre, ils étaient 250.000 selon la CGT, 65.000 pour le ministère de l’Intérieur. Derrière la banderole de tête de l’intersyndicale (“Retraite par points : tous perdants ! Retraite à 60 ans : tous gagnants ! Macron retire ton plan “), Philippe Martinez (CGT) a dénoncé “l’attitude provocatrice” du gouvernement et émis “des doutes” sur la volonté de ce dernier de “discuter”. À ses côtés, Yves Veyrier (FO) ou encore François Hommeril (CFE-CGC). Ailleurs en France, près de 280.000 personnes ont manifesté dans plus de 80 villes, selon un calcul de l’AFP à partir des chiffres donnés par la police ou les préfectures, un nombre qui atteignait 800.000 selon les chiffres syndicaux.
General secretary of French Union Force Ouvriere (FO) Yves Veyrier (R) spaks with CGT union leader Philippe Martinez (L) during a demonstration at the place de la Republique, in Paris, on December 17, 2019, to protest against French government's plan to overhaul the country's retirement system, as part of a national general strike due to a pensions overhaul that has sparked a crippling transport strike.
Prise de vue: Mardi 17 décembre 2019, à 13 h 02. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 115 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/400 sec, f/4, ISO 500. Flash: non
Résumé : 165 mots. Les syndicats à l’origine de la mobilisation contre la réforme des retraites ont décidé ce mardi 17 décembre 2019 la poursuite du mouvement par des « actions locales le 19 et jusque fin décembre » et l’absence de trêve « jusqu’au retrait » du projet du gouvernement, selon leur communiqué commun lu à l’issue d’une intersyndicale. « C’est un ultimatum », a commenté à l’issue de plus de trois heures de réunion Benoît Teste (FSU), pour qui « ce n’était pas complètement mûr pour fixer une nouvelle date de mobilisation nationale dès ce soir ». La journée d’action de mardi, la troisième depuis le 5 décembre contre le projet de réforme des retraites du gouvernement, marquée dans toute la France par grèves et manifestations, a jeté dans la rue 1,8 million de personnes selon la CGT, 615.000 selon le ministère de l’Intérieur. Pour la première fois depuis le début du mouvement, l’ensemble des syndicats, dont la CFDT, avait appelé à manifester. Source.
CGT union leader Philippe Martinez (C) walks behind a banner during a demonstration on December 10, 2019 in Paris as part of the sixth day of a strike of public transport operators SNCF and RATP employees over French government's plan to overhaul the country's retirement system. Unions have vowed to keep up the fight over the reforms, which are set to be finalised and published on December 11.
Prise de vue: Mardi 10 décembre 2019, à 15 h 12. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/800 sec, f/4.5, ISO 1600. Flash: non
Résumé : 138 mots. Il y a au moins un point sur lequel tout le monde est d’accord. Les manifestants étaient moins nombreux, ce mardi 10 décembre 2019, dans les rues du pays, pour dire leur opposition à la réforme des retraites voulue par Emmanuel Macron. La CGT a compté 885 000 manifestants en France, contre 1,5 million le jeudi 5 décembre, date du coup d’envoi de la mobilisation contre le projet gouvernemental. La baisse du nombre de manifestants a été observée dans toute la France, à Lyon, Marseille, Toulouse, ou Bordeaux, et dans l’Ouest. Le Premier ministre doit s’exprimer, ce mercredi, à midi, au Conseil économique, social et environnemental, pour détailler les contours d’une réforme jugée floue de gauche à droite et présenter une feuille de route qu’il commentera au 20 h de TF1. Source.
Secretary general of French Union Force Ouvriere (FO) Yves Veyrier (C) takes part in a rally in front the Montparnasse train station in Paris on October 8, 2019, to protest against proposed pension reforms. The government pension reforms aims to simplify the current system, with a standardised pension plan rather than the current version, which has 42 different schemes.
Prise de vue: Mardi 8 octobre 2019, à 13 h 54. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 4000, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 258 mots. Yves Veyrier, le secrétaire général de Force Ouvrière, s’est rendu auprès de retraités qui manifestaient sous la pluie, entre Montparnasse et la rue de Varennes, contre les projets de réforme des retraites. Élu en novembre 2018 à l’âge de 60 ans, le numéro un de Force ouvrière a comme mission prioritaire de cicatriser les blessures causées par les récents scandales ayant ébranlé le syndicat, conduisant à la démission de Pascal Pavageau. Ce représentant de l’aile réformiste du syndicat a recueilli 46% des votes du parlement du syndicat, à peine deux points de plus que Christian Grolier, patron de la fonction publique, soutenu par l’aile contestataire et trotskiste, et 11% à Patrice Clos, numéro un de la fédération des transports et proche de Pavageau. Veyrier va devoir composer avec chacun, et ne disposera pas de réelle marge de manœuvre pour réformer FO. « Il est très structuré », assure un dirigeant du syndicat, « de plus c’est un fin connaisseur de l’appareil », ce qui sera sans doute utile pour préserver un semblant d’unité. S’il fait montre d’une grande courtoisie, il n’a jusqu’à présent jamais pris la lumière, restant dans un relatif anonymat. Le militant Veyrier gravit les échelons un à un, jusqu’à prendre la tête de sa fédération. Il rejoint la direction nationale en 2004, appelé par Jean-Claude Mailly au moment où celui-ci devient secrétaire général. Quand Pascal Pavageau devient numéro 1, Veyrier se voit confier les études prospectives et l’histoire de l’organisation. Un placard. Source.
CGT Union general secretary Philippe Martinez (C) takes part in a demonstration to call for politcal measures against high living costs, on December 14, 2018 in Paris.
Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x; focale: 98 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/4, ISO 800, Compensation: -2/3. Flash: non
EXTRAIT : 213 mots. Bousculée par le mouvement des « gilets jaunes » et dans les urnes, la CGT tentait de reprendre la main, vendredi 14 décembre 2018, sur une « légitime colère » avec « une journée d’action » pour réclamer des hausses de salaires, dans la foulée des concessions de l’exécutif. (…) La CGT, qui a perdu le titre symbolique de premier syndicat de France – tous secteurs confondus – au profit de la CFDT après les élections dans la fonction publique, a décidé seule de cette journée interprofessionnelle. Mais d’autres organisations comme la FSU, premier syndicat dans l’Éducation nationale, et Solidaires se sont jointes au mouvement. Des unions départementales de FO étaient également présentes dans les cortèges, celui de Paris partant de la place de la République. (…) De longues semaines après le début du mouvement des Gilets jaunes, Philippe Martinez semble avoir changé d’avis à leur sujet. Alors que les manifestants se préparent à un « Acte V » ce samedi, le secrétaire général de la CGT a estimé ce vendredi 14 décembre sur BFMTV qu’il « faut des convergences » entre son syndicat et les Gilets jaunes. Un mouvement dont il se tenait pourtant à distance, expliquant qu’il y avait parmi eux « des éléments d’extrême-droite ».
= Lancer la lecture automatique = Arrêter la lecture automatique = Ouvrir la galerie. Taille maximale des images en mettant en plus en grand écran (touche F11 sur la plupart des navigateurs) = Fermer la galerie. Puis retour à l'écran normal (touche F11 sur la plupart des navigateurs) = Ouvrir l'image en cours dans une nouvelle fenêtre Sur l'image en cours : ou clic sur la moité droite = Image suivante ou clic sur la moitié gauche = Image prédédente. Ces opérations arrêtent la lecture automatique si elle est active.
French union Force Ouvriere (FO) Confederal Secretary Pascal Pavageau (C) takes part in a rally called by several French workers unions on October 9, 2018 in Paris as part of a nationwide day of demonstrations against French President Emmanuel Macron’s policies.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35 mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/400 sec, f/8, ISO 100, Compensation: -4/3. Flash: non
Lycéens, étudiants, salariés et retraités étaient appelés ce mardi 9 octobre 2018 à faire grève et manifester dans toute la France, pour la première fois depuis la rentrée, afin de protester contre la « destruction du modèle social » du gouvernement et avec l’espoir d’organiser d’autres mobilisations par la suite. Pascal Pavageau, le secrétaire général de Force ouvrière, qui manifestait à Paris, a expliqué qu’il serait dans la rue « pas contre Emmanuel Macron » mais contre « la vision d’individualisation, de casse de notre modèle social, portée par le chef de l’Etat et son gouvernement ». « Il ne faut jamais se réjouir du fait qu’une manifestation soit un pseudo-échec quantitatif », a ajouté M. Pavageau, comme s’il anticipait une faible mobilisation.
General Secretary of French workers' union CGT rail federation Laurent Brun (center), with French CFDT trade union leader Didier Aubert (left) and representative of the SUD Rail union Bruno Poncet (right), adresses protesters during a gathering of employees of the state-owned rail operator SNCF called by CGT, Unsa, SUD, and CFDT unions on May 3, 2018 in front of the Ecole Militaire (Military Academy) in Paris, near Eiffel Tower. French rail workers will begin on May 3 and May 4, 2018, their two-day strike over planned reforms.
EXTRAIT : 170 mots. Plusieurs centaines de cheminots étaient réunis jeudi 3 mai 2018 après-midi à Paris pour montrer au Premier ministre Édouard Philippe qu’ils « ne faiblissent pas », quatre jours avant d’être reçus à Matignon. Les fédérations CGT, Unsa, SUD, CFDT et FO avaient en effet appelé à des rassemblements devant l’École militaire à Paris et devant les préfectures en régions. Plusieurs centaines de manifestants — cheminots, étudiants, enseignants, électriciens, gaziers, postiers… — étaient présents au rendez-vous parisien, animé par des pétards, des fumigènes et de la musique. Un faux chèque d’un million d’euros a été remis symboliquement aux fédérations de cheminots par Jean-Marc Salmon, sociologue à l’origine de la cagnotte de soutien lancée par une trentaine d’artistes et intellectuels. « Votre grève soulève de grands espoirs dans le pays », a-t-il assuré au micro face aux manifestants qui l’ont applaudi. La cagnotte, dont le montant avoisinait les 975.000 euros jeudi, a été « prolongée jusqu’au 7 juin », a-t-il précisé l’AFP.
Employee of the French state owned railway company SNCF holds a flare during a demonstration in front of the Gare de l’Est train station on April 3, 2018 in Paris, on the first day of a two day strike by railway workers. Staff at state rail operator SNCF walked off the job from 7.00 pm (1700 GMT) on April 2, the first in a series of walkouts affecting everything from energy to garbage collection. The rolling rail strikes, set to last until June 28, are being seen as the biggest challenge yet to the President's sweeping plans to shake up France and make it more competitive.
EXTRAIT : 135 mots. Plusieurs centaines de personnes ont défilé mardi 3 avril 2018 à Paris mais aussi dans plusieurs villes en soutien aux cheminots, au premier jour d’une grève au long cours contre la réforme de la SNCF. À Paris, les manifestants, en majorité des cheminots de SUD-Rail et de FO, mais aussi des étudiants, des agents hospitaliers, des enseignants et des salariés d’Air France, sont partis de la gare de l’Est en direction de la gare Saint-Lazare, sur fond de fumigènes, pétards et sirènes. Le premier jour de mobilisation contre la réforme de la SNCF s’est traduit mardi par la présence d’un TGV sur huit en moyenne, et un train régional sur cinq, beaucoup d’usagers ayant dû se rabattre sur des solutions alternatives comme le bus ou le covoiturage.
Données techniques.Prise de vue: Mardi 23 janvier 2018, à 15 h 36. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/640 s, f/9, ISO 10000, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm. Légende en anglais.General Secretary of the Ufap-Unsa (Union Federale Autonome Penitentiaire - Union nationale des syndicats autonomes) penitentiary union, Jean-Francois Forget (C) addresses the media as he arrives for a meeting with the French Justice minister on January 23, 2018 at the Justice ministry, place Vendôme, in Paris. A strike by French prison guards entered its second week on January 22, with at least 50 jails blocked over demands for better security and pay after a series of attacks on staff by inmates.
EXTRAIT : 122 mots. Les nouvelles discussions entamées ce mardi 23 janvier 2018 entre Nicole Belloubet, ministre de la Justice, et les syndicats de surveillants de prison ont tourné court. Au lendemain d’une première journée scellée par un échec, les représentants de l’administration pénitentiaire ont quitté la table des négociations en cours d’après-midi. Les questions de sécurité, d’emploi et de rémunération devaient être au cœur des discussions que Nicole Belloubet souhaitait avec les principaux syndicats de la pénitentiaire (Ufap, FO et CGT) à partir de 15 h 30 à la Chancellerie, place Vendôme, à Paris. Mais les mots de la Garde des Sceaux n’ont pas convaincu ses interlocuteurs, qui appellent à poursuivre les mouvements de blocage au sein des établissements pénitentiaires.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Lundi 25 septembre 2017, à 6 h 42. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/160 s, f/4, ISO 16000, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
Les routiers CGT et FO ont entamé ce lundi 25 septembre 2017 dès l’aube des actions contre la réforme du Code du travail, notamment à proximité de dépôts pétroliers. Sur plusieurs sites, les blocages ont été très vite levés par les forces de l’ordre. Dès 6 heures, des actions étaient en cours au Havre, à Rouen, Caen, Bordeaux, La Rochelle, Marseille, Lyon ou encore Nantes.
Dès dimanche, des stations-service étaient déjà prises d’assaut par les automobilistes, par crainte d’une pénurie de carburants, comme en mars dernier. Dans les Hauts-de-Seine, au port de Gennevilliers, les routiers de la CGT distribuaient des tracts à proximité du dépôt de carburant, encadrés par de nombreux CRS.
Lorry drivers from the French workers' union CGT block access roads to the Gennevilliers port, outside Paris, early on September 25, 2016, at the start of a lorry drivers' strike against the government labor reforms of President Emmanuel Macron. Lorry drivers began a renewable strike on the night of September 24, expected to be followed in several main French cities and by slowing traffic and blocking industrial sites and oil depots. The flagship labor reforms comes a few day after the French President signed into law the reforms through a fast-track procedure that allows to forego parliamentary debate on the issue.
Prise de vue: Jeudi 21 septembre, à 13 h 50. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/7.1, ISO 800, Compensation: -2/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 18 mm.
EXTRAIT La seconde journée de mobilisation contre les ordonnances réformant le code du travail n’a pas fait le plein ce jeudi 21 septembre 2017. Selon le ministère de l’Intérieur, la manifestation a réuni 132.000 personnes dans toute la France. Mais rien n’indique pour l’heure que cette participation moindre va
entamer la détermination des adversaires du gouvernement, confronté à une fronde protéiforme qui menace de s’envenimer. Par rapport au premier test du 12 septembre, même le chiffrage de la CGT démontre que la mobilisation marque le pas, en régions comme à Paris…
French Communist Party (PCF) national secretary Pierre Laurent (Center Left) meets Philippe Martinez (Center Right), Secretary General of the General Confederation of Labour attends a national demonstration against the French government labor reforms in Paris, France on September 21, 2017. The rally is a part of the second nationwide demonstration to denounce the policies. The last demonstration was held on September 12, 2017 where 24,000 participants gathered across the country.
Prise de vue: Lundi 18 septembre 2017, à 18 h 47."> App.: Canon EOS-1D X, 1/640 sec, f/8, ISO 5000, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
Déterminés à ne pas abandonner le « 16, rue Jean-Jaurès », plus de cent manifestants se sont massés sur le parvis de l’hôtel de ville de Villejuif, en marge du conseil municipal, le lundi 18 septembre 2017 en soirée.
Réunies pour la troisième fois en trois semaines, les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires et Unef ont de nouveau crié leur refus de voir disparaître la Bourse du travail de Villejuif. Et avec elles, une centaine de manifestants s’est massée sur le parvis de l’hôtel de ville à 18 h 30. Trente minutes plus tard,
le maire, Franck Le Bohellec (LR), réunissait l’assemblée municipale pour un conseil extraordinaire. Une séance réclamée par plusieurs élus d’opposition ces dernières semaines. Car, comme ils l’ont écrit au préfet le 7 septembre, la vente de la maison des syndicats n’a fait l’objet d’« aucun débat ». Mais en dépit des espoirs nourris, à l’annonce de la convocation de l’assemblée, l’avenir du « 16, rue Jean-Jaurès » ne figurait pas à l’ordre du jour. Drapeaux levés, devant les grilles gardées par une demi-douzaine de policiers, la CGT déplorait ce lundi une « énième provocation ».
Members of several labor unions, as CGT, FO, FSU Solidaires and Unef, demonstrate in front of the Villejuif’s town hall, a southern Paris suburb, on September 18, 2017 to protest against the labour exchange sale. A banner reads « The labor exchange is not to sale »
Plusieurs dizaines de milliers d’opposants à la loi travail ont de nouveau manifesté samedi 9 avril 2019 en France, mais les défilés, organisés pour la première fois un week-end et pendant les vacances scolaires, émaillés d’incidents, ont nettement moins mobilisé que le 31 mars. L’intersyndicale (CGT, FO, FSU, Solidaires, Unef, UNL, Fidl) avait appelé à plus de 200 manifestations et rassemblements partout en France contre ce projet qu’ils jugent trop libéral. Il s’agissait de la sixième journée d’action depuis le 9 mars, la troisième réunissant jeunes et travailleurs, mais aussi des retraités et des familles. Mais la « mobilisation importante » attendue était loin d’égaler celle de la précédente journée unitaire qui avait rassemblé le 31 mars entre 390.000 et 1,2 million de manifestants.
Demonstration against the law El Khomri. Young demonstrators raise their fists during a protest on April 9, 2016 in Paris, against the French government's proposed labour law reforms.
Pour la deuxième année consécutive, les syndicats ont célébré le 1er mai dans la désunion : la CGT et FO défilant ensemble jeudi 1er mai 2014 à Paris contre la politique du gouvernement Valls tandis que la CFDT et l’Unsa se rassemblaient dans la capitale sous le signe de l’Europe. Après cinq années de défilés unitaires sous la présidence de Nicolas Sarkozy, la CGT et la CFDT avaient déjà célébré la Fête du Travail chacune de leur côté l’année dernière. A la mi-avril, le secrétaire général de la CGT Thierry Lepaon avait pourtant appelé les organisations syndicales à se rassembler. Une main tendue repoussée par le numéro un de la CFDT Laurent Berger : « On n’a pas d’objectifs communs à partager », « nous ne pratiquons pas tout à fait le même type de syndicalisme », lui avait-t-il répondu.
Bobigny : marche blanche pour Melisa Plus de 500 personnes se sont rassemblées dimanche 16 février à Bobigny, en Seine-Saint-Denis, pour rendre hommage à Melisa, fillette bulgare de huit ans morte mercredi dans l’incendie d’un important camp de Roms…
« Résistance républicaine » défile dans Paris L’association « Résistance républicaine » a célébré l’anniversaire de la loi du 9 décembre 1905 en défilant entre la place Denfert-Rochereau et la place d’Italie, à Paris, le 8 décembre 2013…