French conservative party Les Republicains (LR) presidential candidate Valerie Pecresse gives a speech during her meeting at the Zenith de Paris, in Paris, on February 13, 2022, ahead of the April 2022 French presidential election.
Prise de vue: Dimanche 13 février 2022, à 16 h 57. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF400mm f/4 DO IS II USM +1.4x III; focale: 560 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/6.3, ISO 6400, Compensation: -5/3. Flash: non
Extrait : 154 mots. En même temps que Jean-Luc Mélenchon, à Montpellier, Valérie Pécresse donnait son premier grand meeting de campagne, ce dimanche 13 février, au Zénith de Paris. Problème : ses qualités d’oratrices ont été raillées par une bonne partie des observateurs de la politique, y compris par des membres des Républicains. Il n’a pas fallu attendre longtemps après le meeting pour que le #Catastrophique soit en « Top Tweet », en hommage à la performance de la Présidente de la Région Île-de-France. Son discours jugé « creux », « mal interprété », « sonnant faux » a également donné l’opportunité à l’ensemble de la classe médiatique d’étriller la candidate Les Républicains à l’élection présidentielle 2022. (…) Ce n’est pas uniquement sur la forme que le discours de Valérie Pécresse a vivement été critiqué. Car certains lui reprochent aussi une certaine « extrême droitisation » de son discours.
French Culture Minister Franck Riester (C) at the Docks-City of Fashion and Design in Paris on January 08, 2019 during a signing ceremony between French Cuture minister, French Economy Minister Bruno Le Maire and the chief executive officer of the French luxury brand Hermes, Guillaume de Seynes.
Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 85 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/2.8, ISO 1000, Compensation: -1/3 Flash: non
RÉSUMÉ : 237 mots. Franck Riester, 44 ans, Ministre de la Culture depuis octobre 2018, s’engage en politique dès ses 21 ans, en étant élu au conseil municipal de Coulommiers sous l’étiquette RPR, avant de devenir maire en 2008. Porte-parole du candidat Sarkozy en 2012, le parlementaire s’illustre l’année suivante en étant l’un des deux seuls de son groupe, avec Benoist Apparu, à voter la loi sur l’ouverture du mariage aux couples de même sexe. Franck Riester soutient Bruno Le Maire lors de la primaire de la droite en 2016, avant de rallier Alain Juppé au second tour. Entre les deux tours de la présidentielle, il se démarque à nouveau de la position du parti, jugeant « irresponsable et dangereux de cautionner le vote blanc » et appelle à voter Macron. « Tout sauf une surprise », tranche Julien Aubert, député LR. « Ça fait bien longtemps qu’il s’est éloigné de la droite et qu’il désire entrer au gouvernement ». Viré des Républicains, le député lance en novembre 2017 son propre parti, Agir, avec une poignée d’anciens LR pour mieux s’opposer à la ligne de Laurent Wauquiez jugée « identitaire, eurosceptique, ultra-conservatrice ». L’ancien maire de Coulommiers ne sera pas perdu au gouvernement. « Il rejoint des personnes qu’il connaît bien, Édouard Philippe, ou Bruno Le Maire avec qui il a fait campagne lors de la primaire », souligne Fabienne Keller, sénatrice Agir du Bas-Rhin. Source : www.20minutes.fr, lien à la fin de l'article complet.
Mama Sy (C), a deputy mayor in the Paris suburb of Etampes, speaks with journalists in Austerlitz station, in Paris, on February 28, 2018, where about 20 local officials in the Paris region have vowed to spend Tuesday night outdoors to call attention to the plight of those with nowhere to sleep. "The point is not to stage a show, but to denounce a system that isn't working," said Mama Sy, a deputy mayor in the Paris suburb of Etampes. Paris authorities counted 3,000 rough-sleepers in the city's first-ever homeless census this month, warning it was likely significantly underestimated.
EXTRAIT : 178 mots. Une cinquantaine d’élus d’Île-de-France doit passer la nuit du mercredi 28 février au jeudi 1er mars dans les rues de Paris, en pleine vague de froid, pour réclamer une meilleure prise en charge des sans-abri. L’événement doit rassembler « des élus locaux (…) de tous partis confondus », a expliqué son initiatrice, Mama Sy, adjointe LR à la mairie d’Étampes. Les élus doivent se retrouver à 21 heures à la gare d’Austerlitz, « tous avec un duvet », a-t-elle précisé. Charge ensuite à chacun de trouver comment se réchauffer et passer la nuit dans les rues alentour alors que Météo France annonce des températures légèrement négatives pour la nuit de mercredi à jeudi. Avec cette initiative, les élus veulent dénoncer un « déni de dignité et de solidarité » face à « l’explosion (…) inacceptable » du nombre de sans-abri en France, selon un communiqué. Au moins 3000 sans-abri ont été comptabilisés la nuit à Paris lors d’un récent recensement organisé par la mairie. A Paris, l’opération est loin de faire l’unanimité…
Prise de vue: Lundi 18 septembre 2017, à 18 h 47."> App.: Canon EOS-1D X, 1/640 sec, f/8, ISO 5000, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
Déterminés à ne pas abandonner le « 16, rue Jean-Jaurès », plus de cent manifestants se sont massés sur le parvis de l’hôtel de ville de Villejuif, en marge du conseil municipal, le lundi 18 septembre 2017 en soirée.
Réunies pour la troisième fois en trois semaines, les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires et Unef ont de nouveau crié leur refus de voir disparaître la Bourse du travail de Villejuif. Et avec elles, une centaine de manifestants s’est massée sur le parvis de l’hôtel de ville à 18 h 30. Trente minutes plus tard,
le maire, Franck Le Bohellec (LR), réunissait l’assemblée municipale pour un conseil extraordinaire. Une séance réclamée par plusieurs élus d’opposition ces dernières semaines. Car, comme ils l’ont écrit au préfet le 7 septembre, la vente de la maison des syndicats n’a fait l’objet d’« aucun débat ». Mais en dépit des espoirs nourris, à l’annonce de la convocation de l’assemblée, l’avenir du « 16, rue Jean-Jaurès » ne figurait pas à l’ordre du jour. Drapeaux levés, devant les grilles gardées par une demi-douzaine de policiers, la CGT déplorait ce lundi une « énième provocation ».
Members of several labor unions, as CGT, FO, FSU Solidaires and Unef, demonstrate in front of the Villejuif’s town hall, a southern Paris suburb, on September 18, 2017 to protest against the labour exchange sale. A banner reads « The labor exchange is not to sale »
François Fillon, candidat de la droite pour la Présidentielle, a voté à Paris, le 23 avril 2017 peu avant midi, dans la mairie du VIIe arrondissement, pour le premier tour de l’élection présidentielle. Après avoir patienté pendant quelques minutes dans la file d’attente, le prétendant LR à l’Elysée et député de la capitale a glissé un bulletin dans l’urne. Celle-ci avait été placée sous haute protection, dans un contexte de menace terroriste pesant également
sur les candidats. Vainqueur triomphal de la primaire de droite, l’ancien Premier ministre a été grandement fragilisé par les affaires judiciaires, après la révélation fin janvier par Le Canard enchaîné de l’emploi souçonné fictif de son épouse comme collaboratrice parlementaire, pour lequel la justice l’a mis en examen. Pour sa part, Pénélope Fillon avait voté à 8 h 15 à Solesmes dans la Sarthe avec deux de ses enfants.
French presidential election candidate for the right-wing Les Republicains (LR) party Francois Fillon enters to vote at a polling station in Paris, on April 23, 2017, during the first round of the presidential election.