Demonstrators walk in the rue de Rivoli during a 'Day of strikes' called by the France's General Confederation of Labour (CGT) French worker's union in the French capital Paris on February 5, 2019.
Prise de vue: Mardi 5 février 2019, à 15 h 48. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 245 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 400, Compensation: -1/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 260 mots. Quelque 30.000 personnes, dont de nombreux « gilets jaunes », ont manifesté mardi à Paris pour l’augmentation du pouvoir d’achat et la justice fiscale à l’appel notamment de la CGT, selon le comptage de ce syndicat, la préfecture de police dénombrant de son côté 18.000 manifestants. Le cabinet Occurrence, mandaté par un collectif de médias dont l’AFP, a pour sa part comptabilisé 14.000 participants à ce défilé entre l’Hôtel-de-ville et la Concorde. Lors de sa dernière mobilisation dans la capitale, le 14 décembre, la CGT avait dénombré 15.000 manifestants dans la capitale. « Aujourd’hui c’est un succès qui en appelle d’autres », s’est réjoui le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez, voyant dans la fermeture de la Tour Eiffel, dont les salariés ont répondu à l’appel à la grève du syndicat, le symbole « d’une journée de réussite ». « À part la couleur des gilets je ne vois pas beaucoup de différences », a ajouté le responsable syndical. En novembre pourtant, il avait refusé tout lien avec le mouvement des « gilets jaunes » à cause de son discours anti-fiscal et des risques de récupération par l’extrême droite. Il a révisé son discours lorsque les revendications des « gilets jaunes » se sont élargies à la hausse du Smic, la « justice fiscale » ou davantage de services publics. À côté de la CGT, appelaient également à manifester Solidaires, le NPA, le PCF, la France insoumise, Attac, des organisations de jeunesse comme l’Unef, l’UNL ou la Jeunesse ouvrière.
Source : www.europe1.fr, le lien à la fin de l'article complet.
PHOTO 1 Pensioners take part to a protest organized by French retired pensioners union or association in front of the Ministry of Finance in Paris on December 18, 2018, to defend their purchasing power and despite the abandonment of the project to increase fuel taxes and announcements by Emmanuel Macron (revaluation of the activity bonus for employees at the SMIC, tax exemption for overtime, cancellation of the increase in the CSG for pensioners receiving a pension of less than 2,000 € per month).
PHOTO 2 The new French communist party national secretary Fabien Roussel (C) takes part in a demonstration of pensionners in front of the Ministry of Finance in Paris on December 18, 2018, to defend their purchasing power and despite the abandonment of the project to increase fuel taxes and announcements by Emmanuel Macron (revaluation of the activity bonus for employees at the SMIC, tax exemption for overtime, cancellation of the increase in the CSG for pensioners receiving a pension of less than 2,000 € per month).
PHOTO 1 Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 500, Compensation: -2/3. Flash: non
PHOTO 2 Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/5, ISO 160, Compensation: -2/3. Flash: non
EXTRAIT : 275 mots. Colère et revendications persistent chez les retraités, conjointement au mouvement des « gilets jaunes ». Malgré le geste d’Emmanuel Macron sur la CSG – finalement décalé de plusieurs mois –, plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées mardi 18 décembre 2018 à Paris devant le ministère de l’Économie à l’appel d’une intersyndicale pour réclamer la suppression de la hausse de la CSG pour tous les retraités et une augmentation des pensions. « Retraités, exploités, révoltés », « Macron voleur, rends-moi ma retraite », pouvait-on lire sur les pancartes des manifestants, réunis autour d’un sapin de Noël aux branches duquel pendaient des cadeaux « hausse de la CSG », « stop aux taxes », « augmentation des pensions ». Neuf organisations syndicales (UCR-CGT, UCR-FO, UNAR-CFTC, UNIR CFE-CGC, FSU-Retraités, Solidaires, FGR-FP, LSR, Ensemble et solidaires) ont maintenu leur journée d’action parisienne en dépit du geste d’Emmanuel Macron. (…) Les retraités réclament également la revalorisation de toutes les pensions, notamment par la fin du gel de ces dernières. Pour réaliser des économies, le gouvernement prévoit de sous-revaloriser les pensions de 0,3% en 2019 et en 2020, nettement en deçà de l’inflation qui tourne actuellement à 1,9%. Autres revendications: l’indexation des pensions sur les salaires, le maintien des pensions de réversion et la prise en charge intégrale par la Sécurité sociale de la perte d’autonomie. Enfin, ils réclament l’amélioration des moyens budgétaires, notamment dans les Ehpad ainsi que le développement et le renforcement des services publics de qualité. En dernier lieu, ils reprochent à Emmanuel Macron la suppression de l’ISF. « Ne nous laissons pas faire, revendiquons », martèle l’appel à manifester. Source.
Fabien Roussel, nouveau patron du Parti communiste
EXTRAIT : 206 mots. Le député Fabien Roussel a été élu le 25 novembre 2018 à la tête du Parti communiste, lors du 38e congrès du parti à Ivry-sur-Seine. Il succède à Pierre Laurent, qui occupait le poste de secrétaire national depuis 2010. Cet ancien journaliste, lui-même fils d’un reporter de L’Humanité et d’une employée de banque, a été élu local et collaborateur de parlementaires communistes entre 2012 et 2017, date de son élection à l’Assemblée nationale. À ce titre, il a gagné, selon sa déclaration d’intérêts, 4.136 euros net par mois en 2016. Il aura désormais pour lourde mission de redresser un parti en dangereuse perte de vitesse, et ce depuis de nombreuses années. Incarnant au sein de sa formation une ligne dite en interne « identitaire », comprendre attachée à l’indépendance du PCF vis-à-vis des autres forces politiques, Fabien Roussel explique vouloir défendre « un PCF fort, conquérant, ambitieux ». Fabien Roussel, connu pour son franc-parler, à l’inverse du discret Pierre Laurent, pourrait dépoussiérer l’image du parti et permettre aux communistes d’exister médiatiquement face à un Jean-Luc Mélenchon qui prend une grande partie de la lumière à gauche. (…) Source
Employees of the Parisian metro company RATP members of French CGT union gather at the compagny headquarters in Paris, on April 19, 2018, during a demonstration by railway operators unions to demand better wages and improved working conditions for employees. The demonstration was a part of a multi branch day of protest called by French unions CGT and Solidaires against French President's policies amid a rail strike and spreading student sit-ins.
Va-t-on assister à une convergence des luttes entre la RATP et la SNCF ?
Au lendemain du vote écrasant des députés en faveur du projet de réforme de la SNCF que porte le gouvernement, c’est en tout cas l’ambition de la CGT. Premier syndicat représentatif au sein de l’opérateur historique du métro parisien, la CGT RATP a en effet déposé un préavis de grève « du mercredi 18 avril 2018 22 h 00 au samedi 21 avril 7 h 00 », à l’occasion de la journée de mobilisation interprofessionnelle à l’appel de la CGT et de Solidaires. Parallèlement, la centrale dirigée par Philippe Martinez mobilise tous azimuts. Ainsi, sa fédération Mines-énergies a-t-elle annoncé des coupures d’électricité ciblées dans les jours à venir. « Des assemblées générales seront organisées pour que les agents puissent décider collectivement des suites à donner au mouvement social », précise le communiqué de la confédération qui avait prévu un rassemblement devant le siège de la RATP, le jeudi 18 avril à 10 h 30 avant de rejoindre la manifestation des cheminots qui partait à 14 h de la gare Montparnasse pour rejoindre la place d’Italie.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Samedi 25 novembre 2017, à 14 h 32. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/8, ISO 640, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT « Toujours et partout contre les violences faites aux femmes ». Derrière ce slogan, environ un millier de personnes manifestaient samedi 25 novembre à Paris à l’occasion de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. La manifestation, qui prenait cette année une résonance particulière avec le contrecoup du scandale Weinstein, s’est déroulée entre les
places de la République et de l’Opéra. Comme chaque année, organisations féministes, partis de gauche (PCF, NPA, LO) et syndicats (Solidaires notamment) appelaient à défiler pour dénoncer les violences subies par les femmes. Seins nus, plusieurs Femen, dont Inna Shevchenko, une des figures majeures du mouvement, étaient aussi présentes…
Activists from women's rights movement Femen, including leader Inna Shevchenko (4th R), stand topless while holding signs on the Place de la Republic in Paris on November 25, 2017 during a demonstration against violence against women. November 25 is the International Day for the Elimination of Violence Against Women.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Jeudi 19 octobre 2017, à 14 h 23. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/4.5, ISO 640, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT La CGT et Solidaires ont appelé à un rassemblement le jeudi 19 octobre 2017 dans tout le pays, pour protester contre la réforme du code du travail. C’est la troisième manifestation à l’appel de syndicats, après celles organisées les 12 et 21 septembre, qui avaient rassemblé 223 000, puis 132 000 personnes
dans toute la France, selon la police. Alors que les cinq ordonnances réformant le code du travail ont été publiées le 23 septembre au Journal officiel, les deux syndicats tentent de faire reculer le gouvernement et la majorité parlementaire…
French La France Insoumise (LFI) leftist party members of parliament Adrien Quatennens (L) and Alexis Corbiere (R) take part in a demonstration called by the CGT workers' union against the French president's labour law reforms, on October 19, 2017 in Paris.
Prise de vue: Lundi 18 septembre 2017, à 18 h 47."> App.: Canon EOS-1D X, 1/640 sec, f/8, ISO 5000, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
Déterminés à ne pas abandonner le « 16, rue Jean-Jaurès », plus de cent manifestants se sont massés sur le parvis de l’hôtel de ville de Villejuif, en marge du conseil municipal, le lundi 18 septembre 2017 en soirée.
Réunies pour la troisième fois en trois semaines, les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires et Unef ont de nouveau crié leur refus de voir disparaître la Bourse du travail de Villejuif. Et avec elles, une centaine de manifestants s’est massée sur le parvis de l’hôtel de ville à 18 h 30. Trente minutes plus tard,
le maire, Franck Le Bohellec (LR), réunissait l’assemblée municipale pour un conseil extraordinaire. Une séance réclamée par plusieurs élus d’opposition ces dernières semaines. Car, comme ils l’ont écrit au préfet le 7 septembre, la vente de la maison des syndicats n’a fait l’objet d’« aucun débat ». Mais en dépit des espoirs nourris, à l’annonce de la convocation de l’assemblée, l’avenir du « 16, rue Jean-Jaurès » ne figurait pas à l’ordre du jour. Drapeaux levés, devant les grilles gardées par une demi-douzaine de policiers, la CGT déplorait ce lundi une « énième provocation ».
Members of several labor unions, as CGT, FO, FSU Solidaires and Unef, demonstrate in front of the Villejuif’s town hall, a southern Paris suburb, on September 18, 2017 to protest against the labour exchange sale. A banner reads « The labor exchange is not to sale »
Plusieurs dizaines de milliers d’opposants à la loi travail ont de nouveau manifesté samedi 9 avril 2019 en France, mais les défilés, organisés pour la première fois un week-end et pendant les vacances scolaires, émaillés d’incidents, ont nettement moins mobilisé que le 31 mars. L’intersyndicale (CGT, FO, FSU, Solidaires, Unef, UNL, Fidl) avait appelé à plus de 200 manifestations et rassemblements partout en France contre ce projet qu’ils jugent trop libéral. Il s’agissait de la sixième journée d’action depuis le 9 mars, la troisième réunissant jeunes et travailleurs, mais aussi des retraités et des familles. Mais la « mobilisation importante » attendue était loin d’égaler celle de la précédente journée unitaire qui avait rassemblé le 31 mars entre 390.000 et 1,2 million de manifestants.
Demonstration against the law El Khomri. Young demonstrators raise their fists during a protest on April 9, 2016 in Paris, against the French government's proposed labour law reforms.
Le président d’honneur du Front national, Jean-Marie Le Pen, s’est rendu à Champigny-sur-Marne (Val -de-Marne), le 7 novembre 2013, pour soutenir le lancement de la campagne aux municipales de la liste menée par Jean-Marie Rougier, ex-candidat FN aux législatives dans la 5e circonscription. En réaction, environ 250 personnes se sont rassemblées devant l’hôtel-de-ville pour protester contre cette venue. Le rassemblement se tenait à l’appel de différents syndicats (CGT, Solidaires et Snuipp) et était soutenu par des formations politiques de gauche telles que le Parti communiste, le Parti de gauche ou le Nouveau parti anticapitaliste. Le sénateur et président (PC) du conseil général Christian Favier, élu dans la ville de Champigny, a pris la parole pour affirmer que « les valeurs portées par le département sont l’inverse de celles portées par le Front national », citant « la fraternité », « la démocratie » ou encore « la régularisation de tous les sans-papiers ».