Source : bfmtv.com, lien à la fin de l'article complet.
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À l’appel de ce mouvement, composé de 29 syndicats, associations féministes ou représentants d’étudiants, de nombreuses mobilisations sont organisées dans toute la France pour le 8 mars, y compris dans des entreprises ou des universités. Le collectif appelait également les femmes à cesser le travail à 15 h 40 le 8 mars, pour marquer le fait que les femmes sont payées en moyenne 26 % de moins que les hommes.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Mercredi 20 décembre 2017, à 10 h 51. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/250 s, f/8, ISO 800, Compensation: -2/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT : 123 mots
Plusieurs centaines de salariés de différentes enseignes ont manifesté mercredi 20 décembre 2017 à Paris pour demander le « retrait des ordonnances Macron » à l’appel de la CGT Commerce et services, qui juge la réforme du Code du travail « néfaste » pour des secteurs déjà « précaires ».
Au son des sifflets et dans la fumée colorée de nombreux fumigènes, le cortège d’environ 300 à 400 manifestants s’est ébranlé en
fin de matinée de la place de l’Opéra en direction du ministère du Travail, où une délégation devait être reçue.
Castorama, Vivarte, Carrefour, Auchan, Conforama, Seris sécurité, Leroy-Merlin, Sodexo, Amazon : les représentants de différentes entreprises, venus d’un peu partout en France, ont défilé pour exprimer aussi leurs craintes sur l’emploi…
French General Confederation of Labour (CGT) unionists hold smoke canisters as they gather in front of Paris' Opera Garnier on December 20, 2017, to protest against French President's executive orders on Labour law and violence in the workplace.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Lundi 20 novembre 2017, à 14 h 15. Appareil: Canon EOS-1D X, 1//250 s, f/7.1, ISO 800, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT
L’Assemblée générale du travail social en Île-de-France a lancé un appel à la grève et à la mobilisation dans la rue pour le 20 novembre 2017 afin de « refuser la marchandisation du secteur et le développement des politiques d’austérité ». Ce jour-là, les travailleurs des secteurs hospitaliers et médico-sociaux du service social étaient en grève et manifestaient à Paris, devant le
musée d’Orsay, pour dénoncer les réformes en cours dont ils redoutent les conséquences sur leurs métiers mais également « la casse des acquis sociaux facilitée par la loi Travail, la généralisation des appels à projets et le démantèlement des conventions collectives », ou encore les renforcements des mesures d’enfermement des mineurs, dont ils estiment…
Protesters hold banner reading ‘Who has the right to make it to children who really believe what say the politicians ?’ during a march in Paris, in front of the Orsay Museum, on November 20, 2017 to protect the rights of social workers of the specialized prevention, the integration, the asylum, the hospital, the medical and social, the handicap.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Jeudi 16 novembre 2017, à 17 h 18. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/250 s, f/4, ISO 1600, Compensation: -2/3, flash: non. Objectif, focale: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III, 192 mm.
EXTRAIT
Jeudi 16 novembre 2017, les manifestants ont maintenu la pression en défilant pour la quatrième fois en deux mois contre les ordonnances. Cette protestation contre la politique « libérale » d’Emmanuel Macron a réuni jeudi 80 000 participants dans toute la France, dont 8 000 à Paris, selon le ministère de l’Intérieur, qui avait recensé 40 000 manifestants au total lors de la précédente
journée d’action du 19 octobre contre la réforme du travail. La CGT a de son côté recensé 40 000 participants à Paris jeudi. Elle avait recensé 25 000 personnes en France lors de la journée du 19 octobre.
Des incidents ont été enregistrés à Paris où des vitres d’agences bancaires et d’assurances ont été notamment brisées…
Protesters gather with balloons, flares and banners during a demonstration as part of a nationwide protest day against the government's economic and social reforms, on November 16, 2017 in Paris.
A Fnac employee stands outside a Fnac store on the Champs Elysees in Paris on January 21, 2017 as employees went on strike to demand better wages.
Sur le site de Michel Stoupak : l'article.
Plusieurs dizaines de milliers d’opposants à la loi travail ont de nouveau manifesté samedi 9 avril 2016 dans les grandes de villes de France. Les défilés à Paris, Nantes et Rennes ont été émaillés d’incidents. À Paris, plusieurs milliers de personnes ont défilé l’après-midi de la place de la République à celle de la Nation, sous un ciel menaçant et dans une ambiance bon enfant malgré des incidents en fin de parcours, place de la Nation, opposant dans un face à face manifestants cagoulés et forces de l’ordre, qui ont répliqué avec des gaz lacrymogènes et de nombreuses charges.
Masked protesters stand together during a demo on April 9, 2016 in Paris, against the French government's proposed labour law reforms.
L’intersyndicale (CGT, FO, FSU, Solidaires, Unef, UNL, Fidl) avait appelé à plus de 200 manifestations et rassemblements partout en France contre ce projet qu’ils jugent trop libéral. Il s’agissait de la sixième journée d’action depuis le 9 mars, la troisième réunissant jeunes et travailleurs, mais aussi des retraités et des familles. Mais la « mobilisation importante » attendue était loin d’égaler celle de la précédente journée unitaire qui avait rassemblé le 31 mars entre 390.000 et 1,2 million de manifestants.
Demonstration against the law El Khomri. Young demonstrators raise their fists during a protest on April 9, 2016 in Paris, against the French government's proposed labour law reforms.
Sur le site de Michel Stoupak : l'article.
À l’appel des quatre syndicats (Ufap-Unsa Justice, SNP-FO Personnels de surveillance, SNJFO Personnels administratifs et CGT Pénitentiaire), plusieurs centaines de surveillants et agents techniques et administratifs du secteur pénitentiaire se sont rassemblés place du Châtelet à Paris, le 22 octobre 2015, afin de protester contre leurs conditions de travail.
Leurs revendications portaient notamment sur une revalorisation des indemnités, de nouvelles créations d’emplois et une négociation sur les questions d’hygiène et de sécurité dans les prisons.
Prison guards and staff take part in a national protest in Paris, on October 22, 2015 to denounce the safety and their bad working conditions.
Sur les sites de Michel Stoupak : l’article, l’album complet (20 photos).
Depuis le lundi 21 septembre 2015, un mouvement social chez la société prestataire de nettoyage de la gare de Bibliothèque François-Mitterrand, sur la ligne C du RER, ne permet plus d’assurer l’entretien de la gare.
La direction de ce prestataire est en négociation avec ses salariés pour une reprise du travail.
Paris : Litter builds up in the Bibliothèque François-Miterrand metro station, in Paris, on 26, September, 2015. A strike in the cleaning company inhibits the collection of garbage in this subway station since September 21st, 2015.
Sur les sites de Michel Stoupak : l’article, l’album complet (12 photos).
© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Samedi 26 octobre 2013, à 13 h 23. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF24-70mm f/2.8L II USM ; focale: 38 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/640e de s, ƒ/3.5, ISO 100. Flash: non
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dans une présentation différente
« On est putes, on est fières, le PS c’est la guerre », ont-elles répliqué. D’autres slogans et pancartes visaient la ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, qui s’est déclarée favorable à des sanctions contre les clients de prostituées.
Le texte prévoit la création d’une amende de 1.500 euros sanctionnant le recours à la prostitution, doublée en cas de récidive. « Vouloir abolir la prostitution, c’est vouloir abolir les putes. La pénalisation des clients est une mesure délétère » qui « mettra leur santé, leur sécurité et leur vie en danger », assurait un tract distribué par le Strass, le Syndicat du travail sexuel.
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01/20. La CNT défile contre la précarité et les profits. © Michel Stoupak. Sam 01.12.2012, 17:36.
La Confédération nationale du travail (CNT) faisait partie des organisations qui ont défilé le samedi 1er décembre 2012 entre la place de Stalingrad et la place de Clichy contre le chômage et la précarité, derrière une banderole sur laquelle était inscrit « Notre précarité, c’est leurs profits ».
Arrivée place de Clichy, la CNT a joué les prolongations en se rendant seule près de l’Opéra, en s’arrêtant au passage devant deux entreprises jugées symboliques. La première concernée était la société Altédia, un cabinet de reclassement ayant remporté le marché de suivi des ouvriers de l’usine Continental, payée selon la CNT 6 millions d’euros et n’ayant réussi à reclasser que 250 licenciés sur les 1120 recensés. Deuxième entreprise ciblée : les trois cinémas Gaumont Pathé du quartier de l’Opéra, dénoncée par la CNT pour la précarisation de ses emplois, notamment des projectionnistes.
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