French Economy Minister Bruno Le Maire (R) meets with his Dutch counterpart Wopke Hoekstra (L) at the Economy Ministry in Paris on March 1, 2019 after the Netherlands upped its stake in the binational holding Air France-KLM, putting it on equal footing with Paris in a bid to gain more oversight over the company. Le Maire accused the Dutch government of "destroying value and creating instability" after lifting its stake to 14 percent, just shy of the 14.3 percent held by France.
Prise de vue: Vendredi 1er mars 2019, à 8 h 00. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, Program AE, 1/250 sec, f/2.8, ISO 2000, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 175 mots. La France et les Pays-Bas vont lancer un « processus de travail » pour améliorer les performances d’Air France-KLM, a annoncé le ministre français de l’Economie Bruno Le Maire après un entretien avec son homologue néerlandais. La prise de participation surprise de 14% de l’État néerlandais dans le groupe aérien franco-néerlandais « n’est pas orthodoxe », a reconnu le ministre néerlandais des Finances, Wopke Hoekstra, après une rencontre avec M. Le Maire, destinée à apaiser les tensions entre les deux gouvernements, suscitées par un raid boursier dévoilé en début de semaine par La Haye. « Nous nous nous sommes expliqués », a dit le ministre français. « Nous avons surtout voulu nous tourner vers l’avenir avec, comme seul objectif, de faire d’Air France-KLM la compagnie aérienne la plus performante au monde ». « Pour cela, un processus de travail a été mis en place. Il rendra ses conclusions d’ici la fin du mois de juin et travaillera en parfaite intelligence avec Ben Smith », le patron d’Air France-KLM, a-t-il ajouté. Source : bfmtv.com, lien à la fin de l'article complet.
Plusieurs milliers de manifestants se sont rassemblés devant l’ambassade d’Israël à Paris dimanche, à l’appel du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) contre la conférence de Paris. Organisée le même jour dans la capitale, cette conférence réunissait quelque 75 pays et organisations internationales pour tenter de raviver le processus de paix israélo-palestinien et réaffirmer leur attachement à la solution à deux États. Une démarche lancée à cinq jours de l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche, lourde d’incertitudes avec l’engagement du nouveau président américain de transférer l’ambassade des États-Unis à Jérusalem.
Protesters during a protest in Paris on January 15, 2017 as hundreds gather against the Mideast peace conference in the French capital.