À l’appel de ce mouvement, composé de 29 syndicats, associations féministes ou représentants d’étudiants, de nombreuses mobilisations sont organisées dans toute la France pour le 8 mars, y compris dans des entreprises ou des universités. Le collectif appelait également les femmes à cesser le travail à 15 h 40 le 8 mars, pour marquer le fait que les femmes sont payées en moyenne 26 % de moins que les hommes.
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À l’appel de ce mouvement, composé de 29 syndicats, associations féministes ou représentants d’étudiants, de nombreuses mobilisations sont organisées dans toute la France pour le 8 mars, y compris dans des entreprises ou des universités. Le collectif appelait également les femmes à cesser le travail à 15 h 40 le 8 mars, pour marquer le fait que les femmes sont payées en moyenne 26 % de moins que les hommes.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Mercredi 22 novembre 2017, à 14 h 39. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/640 s, f/4, ISO 250, Compensation: -2/3, flash: non. Objectif, focale: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III, 230 mm.
EXTRAIT
Alors que le Plan étudiant était présenté le mercredi 22 novembre 2017 en Conseil des ministres, une quinzaine d’organisations étudiantes et lycéennes appelaient à manifester contre ce qu’ils considèrent comme une sélection à l’entrée dans l’Enseignement supérieur. Une mobilisation qui a trouvé peu d’écho dans les lycées et les universités.
À Paris, une manifestation prévue à 13 h n’a rassemblé qu’environ 500 personnes, selon la préfecture de police. Sur une banderole, on pouvait notamment lire « Tri sélectif à la fac, poubelles devant les lycées », en référence aux blocages complets ou partiels des accès à une dizaines de lycées parisiens opérés plus tôt dans la journée…
Students hold a banner reading 'Their selection, our future' as hundreds march in Paris on November 22, 2017 to protest against a reform on university entry requirements.
Gérée par la gauche depuis 17 ans, la première région de France est finalement tombée cinq ans plus tard dans l’escarcelle de la droite et de Valérie Pécresse. Qui devient à cette occasion la première femme à la tête de la région Ile-de-France.
Valérie Pécresse, 48 ans, est une ancienne ministre, ex-maître de requête au Conseil d’Etat, chef de l’opposition en Ile-de-France et députée des Yvelines. Conseillère à l’Elysée en 1997, elle devient ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche en 2007. A ce titre, elle mène l’une des réformes phares du quinquennat de Nicolas Sarkozy, celle de l’autonomie des universités.
Elle reste quatre ans dans cette fonction, puis est nommée, en 2011, ministre du Budget et de la réforme de l’Etat et devient porte-parole du gouvernement.
Née le 14 juillet 1967 à Neuilly-sur-Seine, Valérie Pécresse a obtenu son baccalauréat à 16 ans, a fait HEC puis l’ENA. Elle a récemment démissionné de la fonction publique pour se consacrer à une campagne électorale lancée très tôt.
Sur le site de Michel Stoupak : l’article