Members and supporters of the French nationalist party "Les Patriotes" (The Patriots) holding French flags demonstrate in front of the Louvre Museum in Paris on November 20, 2021, against the COVID-19 vaccination, the health pass and restricting access to certain places for certain people.
Prise de vue: Samedi 20 novembre 2021, à 14 h 48. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 1000, Compensation: -4/3. Flash: non
Anti-pass sanitaire, anti-vaccins, complotistes ou anti-système se sont donné rendez-vous le 20 novembre 2021 devant le Conseil d’État puis le ministère de la Santé, à Paris. Un rassemblement organisé à l’appel du mouvement « Les Patriotes » de Florian Philippot, présent à chaque manifestation contre le pass sanitaire. (…) En pointe dans les manifestations, hyperactif sur les réseaux sociaux, l’ancien numéro deux du FN a annoncé sa candidature à la présidentielle de 2022, lui qui n’a plus de mandat aujourd’hui… l'article complet »
Jerome Rodrigues (C), one of the leading figures of the "yellow vest" (gilets jaunes) movement, takes part in a march on February 2, 2019 in Paris, called to pacifically protest against police violence toward participants of the last three months demonstrations in France, as yellow vest protesters take to the streets for the 12th consecutive saturday today. Rodrigues claimed he was hit by a rubber bullet during clashes at the Bastille square on January 26, but the French junior
Prise de vue: Samedi 2 février 2019, à 10 h 11. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 4000, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 195 mots. En pleine polémique sur les lanceurs de balles de défense , plusieurs dizaines de milliers de « gilets jaunes » ont défilé samedi 2 février 2019 à travers la France pour dénoncer les violences policières, lors d’un acte 12 de nouveau marqué par des heurts principalement à Paris et Bordeaux. Au lendemain de la décision du Conseil d’État de maintenir l’usage des LBD dans les manifestations, une « grande marche des blessés » s’est élancée vers midi à Paris deux mois et demi après le début de ce mouvement de contestation inédit. Parties du XIIe arrondissement, plusieurs milliers de personnes ont d’abord rallié dans le calme la place de la République en milieu d’après-midi derrière un kaléidoscope de visages tuméfiés et des banderoles réclamant « l’interdiction » des grenades et des LBD. Le cortège, dédié aux victimes de violences policières, a réservé un accueil de rock star au « gilet jaune » Jérôme Rodrigues, gravement blessé à l’œil droit le 26 février. « Ce sont des blessures qui mutilent, qui détruisent des vies alors que nous sommes des pacifistes », a affirmé Antonio, un des organisateurs de la marche, lui-même blessé par une grenade GLI-F4.
Plain clothes riot policemen tussle with a yellow vest protestor during an anti-government demonstration called by the "Yellow Vest" (Gilets Jaunes) movement in Paris on February 2, 2019. France's "yellow vest" movement demonstrated against alleged police violence in rallies across the country, as nearly 60 lawyers denounced the treatment of protesters in the courts. The latest marches came a day after France's top court threw out a bid to ban weapons that shoot 40-millimeter rubber projectiles blamed for a number of serious injuries.
Prise de vue: Samedi 2 février 2019, à 15 h 30. Appareil:Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 6400, Compensation: -1. Flash: non
RÉSUMÉ : 211 mots. Des échauffourées ont éclaté entre forces de l’ordre et « gilets jaunes » le 2 février 2019 à Paris, à la fin de la manifestation partie de la place Daumesnil. Trente trois manifestants ont été interpellés dans la capitale, selon la Préfecture de police, dont 21 personnes étaient à ce stade en garde à vue, a indiqué le parquet de Paris. L’un d’eux a été évacué par les pompiers après avoir été atteint au visage par un tir de lanceur de balles de défense. Louis Boyard, le président du syndicat lycéen UNL, a également affirmé sur Twitter avoir été victime d’un tir de LBD au pied. « Tout le pied semble cassé », écrit-il. « Si moins d’incidents sont à déplorer, je condamne fermement les dégradations et violences qui ont été commises », a tweeté en soirée Christophe Castaner, le ministre de l’Intérieur. Saisi d’une demande d’interdiction du LBD, le Conseil d’État avait estimé vendredi que le risque de violences rendait « nécessaire de permettre aux forces de l’ordre » de pouvoir y recourir. M. Castaner avait alors reconnu que cette arme – utilisée plus de 9.200 fois depuis le début de la contestation – pouvait « blesser » mais en a défendu l’utilisation « face aux émeutiers ».
Members of associations rally to protest against a French bill relating to the right of asylum and immigration outside the Council of State, in Paris, on February 21, 2018. French President Emmanuel Macron's government is presenting its first big immigration bill, which human rights organizations criticize as repressive toward asylum-seekers. The plan will reduce the period of application for asylum to six months maximum, down from about one year including appeal.
Alors qu’une manifestation a été organisée dès le mercredi 21 février 2018 devant le conseil d’Etat, Gérard Collomb a présenté son projet de loi sur l’asile et l’immigration, «totalement équilibré» selon le ministre de l’Intérieur. Ce texte vise à réduire à six mois les délais d’instruction de la demande d’asile et à faciliter la reconduite à la frontière pour les déboutés. Le Premier ministre Édouard Philippe disait ce mardi que le texte s’inscrivait dans le cadre plus large de « notre politique d’immigration et d’asile » qui « repose sur deux principes, humanité et efficacité ». Le projet est très critiqué par les associations et fait des vagues jusque dans la majorité pour sa logique de fermeté. Plusieurs acteurs de l’asile se sont mis en grève aujourd’hui : l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides), mais aussi la Cour nationale du droit d’asile qui entame son neuvième jour de grève.
Gérée par la gauche depuis 17 ans, la première région de France est finalement tombée cinq ans plus tard dans l’escarcelle de la droite et de Valérie Pécresse. Qui devient à cette occasion la première femme à la tête de la région Ile-de-France. Valérie Pécresse, 48 ans, est une ancienne ministre, ex-maître de requête au Conseil d’Etat, chef de l’opposition en Ile-de-France et députée des Yvelines. Conseillère à l’Elysée en 1997, elle devient ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche en 2007. A ce titre, elle mène l’une des réformes phares du quinquennat de Nicolas Sarkozy, celle de l’autonomie des universités. Elle reste quatre ans dans cette fonction, puis est nommée, en 2011, ministre du Budget et de la réforme de l’Etat et devient porte-parole du gouvernement. Née le 14 juillet 1967 à Neuilly-sur-Seine, Valérie Pécresse a obtenu son baccalauréat à 16 ans, a fait HEC puis l’ENA. Elle a récemment démissionné de la fonction publique pour se consacrer à une campagne électorale lancée très tôt.