Protestor dressed in black sets fire to scooters on a street during the 'Act XXIII' demonstration (the 23th consecutive national protest on a Saturday) near Place de la Republique in Paris, France on April 20, 2019.
Prise de vue: Samedi 20 avril 2019, à 13 h 46. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/6.3, ISO 800, Compensation: -2/3. Flash: non
Les « gilets jaunes » ont tenu ce samedi 20 avril leur 23e journée de mobilisation avec un défilé à Paris en forme de nouvel « ultimatum » lancé à Emmanuel Macron. Alors que d’autres manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes de France, Paris a été l’épicentre de la mobilisation. La capitale a réuni 9000 manifestants, pour 27.900 dans toute la France, selon le ministère de l’Intérieur. Le chiffre national est en légère baisse par rapport au week-end précédent (31.100 manifestants, le 13 avril), mais en hausse pour la mobilisation parisienne (5000 manifestants, le 13 avril). Plus de 227 personnes ont été arrêtées, plus de 20.000 contrôles préventifs ont été opérés sur l’ensemble de la journée, selon la préfecture de police de Paris. Deux journalistes indépendants – Gaspard Glanz et Maxime Reynié – ont notamment été arrêtés par les forces de l’ordre. Plusieurs véhicules ont ainsi été incendiés en direction de la place de la République. A 16 heures, 122 personnes avaient été placées en garde à vue dans la capitale, dont quatre mineurs, selon le parquet. Source : www.lefigaro.fr.
Jerome Rodrigues (C), one of the leading figures of the "yellow vest" (gilets jaunes) movement, takes part in a march on February 2, 2019 in Paris, called to pacifically protest against police violence toward participants of the last three months demonstrations in France, as yellow vest protesters take to the streets for the 12th consecutive saturday today. Rodrigues claimed he was hit by a rubber bullet during clashes at the Bastille square on January 26, but the French junior
Prise de vue: Samedi 2 février 2019, à 10 h 11. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 4000, Compensation: -2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 195 mots. En pleine polémique sur les lanceurs de balles de défense , plusieurs dizaines de milliers de « gilets jaunes » ont défilé samedi 2 février 2019 à travers la France pour dénoncer les violences policières, lors d’un acte 12 de nouveau marqué par des heurts principalement à Paris et Bordeaux. Au lendemain de la décision du Conseil d’État de maintenir l’usage des LBD dans les manifestations, une « grande marche des blessés » s’est élancée vers midi à Paris deux mois et demi après le début de ce mouvement de contestation inédit. Parties du XIIe arrondissement, plusieurs milliers de personnes ont d’abord rallié dans le calme la place de la République en milieu d’après-midi derrière un kaléidoscope de visages tuméfiés et des banderoles réclamant « l’interdiction » des grenades et des LBD. Le cortège, dédié aux victimes de violences policières, a réservé un accueil de rock star au « gilet jaune » Jérôme Rodrigues, gravement blessé à l’œil droit le 26 février. « Ce sont des blessures qui mutilent, qui détruisent des vies alors que nous sommes des pacifistes », a affirmé Antonio, un des organisateurs de la marche, lui-même blessé par une grenade GLI-F4.
Plain clothes riot policemen tussle with a yellow vest protestor during an anti-government demonstration called by the "Yellow Vest" (Gilets Jaunes) movement in Paris on February 2, 2019. France's "yellow vest" movement demonstrated against alleged police violence in rallies across the country, as nearly 60 lawyers denounced the treatment of protesters in the courts. The latest marches came a day after France's top court threw out a bid to ban weapons that shoot 40-millimeter rubber projectiles blamed for a number of serious injuries.
Prise de vue: Samedi 2 février 2019, à 15 h 30. Appareil:Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 6400, Compensation: -1. Flash: non
RÉSUMÉ : 211 mots. Des échauffourées ont éclaté entre forces de l’ordre et « gilets jaunes » le 2 février 2019 à Paris, à la fin de la manifestation partie de la place Daumesnil. Trente trois manifestants ont été interpellés dans la capitale, selon la Préfecture de police, dont 21 personnes étaient à ce stade en garde à vue, a indiqué le parquet de Paris. L’un d’eux a été évacué par les pompiers après avoir été atteint au visage par un tir de lanceur de balles de défense. Louis Boyard, le président du syndicat lycéen UNL, a également affirmé sur Twitter avoir été victime d’un tir de LBD au pied. « Tout le pied semble cassé », écrit-il. « Si moins d’incidents sont à déplorer, je condamne fermement les dégradations et violences qui ont été commises », a tweeté en soirée Christophe Castaner, le ministre de l’Intérieur. Saisi d’une demande d’interdiction du LBD, le Conseil d’État avait estimé vendredi que le risque de violences rendait « nécessaire de permettre aux forces de l’ordre » de pouvoir y recourir. M. Castaner avait alors reconnu que cette arme – utilisée plus de 9.200 fois depuis le début de la contestation – pouvait « blesser » mais en a défendu l’utilisation « face aux émeutiers ».
A man wearing a yellow vest speaks to the press during a gathering of the "Yellow Vests" (Gilets jaunes) place de la Republique, in Paris, on January 3, 2019, in tribute to the dead since the beginning of the yellow vest movement and in support of Eric Drouet, a leader of this movement who was arrested in the evening of January 2, 2019 in Paris, for taking part in a non-declared gathering.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24mm f/1.4L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/1.8, ISO 12800, Compensation: -1. Flash: non
L’interpellation d’Éric Drouet mercredi 2 janvier a provoqué un tollé chez les gilets jaunes, ainsi que dans les rangs du Rassemblement National et de la France Insoumise. Ce jeudi 3 janvier 2019, des rassemblements ont donc été organisés un peu partout en France. Dans la journée, plusieurs appels à se réunir « en soutien à Éric Drouet » avaient émergé sur les pages Facebook des gilets jaunes. Celui qui s’est imposé comme l’une des figures emblématiques du mouvement est sorti de garde à vue en fin d’après-midi, dénonçant une interpellation « politique ». Mais les manifestants se sont malgré tout retrouvés sur la place de la République à Paris. Comme sur la place de la Concorde la veille, des bougies ont été allumées en hommage aux personnes blessées et décédées depuis le début du mouvement de contestation. Certains dénonçaient également l’interpellation jugée infondée d’Éric Drouet, ainsi que le rôle de la police. (Source : www.huffingtonpost.fr)
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Samedi 2 décembre 2017, à 15 h 01. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/320 s, f/8, ISO 640, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT Des membres de l’association de protection des droits des animaux One Voice se sont rassemblés place Balard, à Paris, le 2 décembre 2017, pour demander la fin des animaux sauvages au cirque. Une manifestation organisée non loin du chapiteau du cirque Bormann-Moreno, un cirque duquel s’était échappé, le 24 novembre 2017, un tigre de 200 kilos, avant d’être abattu par son propriétaire. Le cirque venait de s’installer dans le XVe arrondis-
sement de la capitale et prévoyait d’ouvrir ses portes au public le 3 décembre. « Le propriétaire était sous le choc. Lorsque nous sommes arrivés, le tigre était déja mort », a indiqué un porte-parole des pompiers. L’animal a été abattu « dans une allée, un renfoncement, il n’était pas en pleine rue, il n’y avait pas de passants », a-t-il ajouté. Selon une source policière, le propriétaire a été placé en garde à vue pour « mise en danger d’autrui »…
Members of the association One Voice, a French animal rights organisation, demonstrate near the Bormann-Moreno circus in Paris, on December 2, 2017, to ask for a ban of wild animals in circuses. On november 24, 2017, a tiger of this circus was shot by circus personnel following an escape in Paris. Firefighters had been called by people who saw the animal in the streets of 15th Arrondissement of the French capital.
Le dimanche 29 novembre 2015, en marge de la COP21, plusieurs centaines d’activistes, le visage masqué, jetant des projectiles dont des bougies provenant du mémorial aux victimes du 13 novembre, ont fait face aux policiers aux abords de la place de la République, à Paris. Les forces de l’ordre ont répliqué avec du gaz lacrymogène. 289 personnes ont été interpellées dont 174 garde à vue prononcées. « Ces actes doivent être condamnés avec la plus grande fermeté », a déclaré le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve. François Hollande a fustigé l’action « scandaleuse » d’« éléments perturbateurs » qui n’ont « rien à avoir avec les défenseurs de l’environnement ». Ces manifestants, plusieurs milliers bravant l’interdiction décrétée dans le cadre de l’état d’urgence après les attentats du 13 novembre, se sont rassemblés calmement à partir de midi sur la place à l’appel pour former une chaîne humaine. Mais tous ne l’entendaient pas ainsi. En début d’après-midi, une partie d’entre eux, le visage masqué par un foulard ou une capuche, se sont engouffrés sur l’avenue de la République, clamant « État d’urgence, État policier. On nous enlèvera pas le droit de manifester ».
Policemen fight with demonstrators on the Place de la République in Paris on November 29, 2015 as a gathering to support environment protection was disturbed by ultras. Clashes with the police were observed by witnesses such as tear gas launching and demonstrators throwing candles and diverse objects to the police forces.
L’ancien ministre de l’Intérieur Claude Guéant et l’ancien directeur général de la police nationale Michel Gaudin ont été entendus en garde à vue mardi 17 décembre 2013 dans l’enquête sur des primes de 10.000 euros mensuels, puisés dans les « frais d’enquête et de surveillance » des policiers, et « remis » à cette époque à M. Guéant en liquide. Les deux hommes ont été entendus dans les locaux de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales à Nanterre (Hauts-de-Seine). La garde à vue a débuté à 8 h du matin pour s’achever à 23 h 30, ce qui a représenté de longues heures d’attentes et de multiples directs télévisés et radio pour tous le médias qui s’étaient installé pour la circonstance face aux locaux de la garde à vue, au 101 rue des Trois Fontanot. Aucune des deux personnalités n’a finalement été filmée ni photographiée, leur sortie ayant eu lieu en voiture aux vitres fumées, depuis le parking souterrain de l’immeuble du Ministère de l’Intérieur.