Partager sur : |
Tag: "rue"
Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, espère une plus vaste mobilisation à l’avenir. Mais les syndicats sont déjà divisés pour le 1er mai. Force ouvrière et CFDT indiquent ce jeudi qu’ils ne seront pas au côté de la CGT pour la fête du Travail. Le front syndical reste à construire.
Partager sur :: |
Si les avocats ont obtenu des concessions de la part de la Chancellerie sur le projet de loi de programmation pour la Justice, ils ne sont toujours pas satisfaits du texte. Le Conseil national des barreaux (CNB) veut « une justice présente sur tous les territoires de la République, une justice moderne où le numérique demeure un moyen et ne se substitue pas au juge, une justice qui préserve les droits de tous, des victimes comme de la défense ».
Pour Jérôme Gavaudan, Président de la Conférence des Bâtonniers : « L’une des grandes missions de l’État est précisément de faciliter l’accès au droit et à la justice pour tous, partout.
De ce point de vue en particulier, la réforme, en l’état, affaiblit l’institution judiciaire et fragilise fort inutilement, le lien déterminant que jouent quotidiennement la justice et les avocats auprès des Français, notamment dans les territoires ».
Partager sur :: |
People gather outside the French Ministry for Solidarity and Health in Paris on January 30, 2018 during a national day of action and strike by EHPAD (Establishment for the Housing of Elderly Dependant People) workers to demand more resources for the care of the elderly.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Mardi 30 janvier 2018, à 14 h 03. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/640 s, f/5, ISO 250, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
À l’appel d’une large intersyndicale (CGT, CFDT, FO, Unsa, CFTC, CFE-CGC et SUD), avec le soutien de l’association des directeurs au service des personnes âgées (AD-PA) et d’associations de retraités, des débrayages étaient prévus dans des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) et dans des services d’aide et de soins à domicile. Le plus grand rassemblement avait lieu à Paris, où plusieurs centaines de personnes se tenaient à proximité du ministère des Solidarités et de la Santé.
Demonstrators protest , on January 1st, 2018 in Paris, in front of the former Val de Grace hospital, closed by the French Defence ministry, to ask that these buildings serve as shelter for the homeless. French President Emmanuel Macron said in July, 2017, he wanted ‘emergency shelters everywhere for homeless migrants by the year’ but while failing that target, with thousands continuing to sleep rough in cities and woodlands, the government is now focussing on tougher measures to expel migrants.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Lundi 1er janvier 2018, à 15 h 12. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/320 s, f/8, ISO 1600, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Lundi 20 novembre 2017, à 14 h 15. Appareil: Canon EOS-1D X, 1//250 s, f/7.1, ISO 800, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT
L’Assemblée générale du travail social en Île-de-France a lancé un appel à la grève et à la mobilisation dans la rue pour le 20 novembre 2017 afin de « refuser la marchandisation du secteur et le développement des politiques d’austérité ». Ce jour-là, les travailleurs des secteurs hospitaliers et médico-sociaux du service social étaient en grève et manifestaient à Paris, devant le
musée d’Orsay, pour dénoncer les réformes en cours dont ils redoutent les conséquences sur leurs métiers mais également « la casse des acquis sociaux facilitée par la loi Travail, la généralisation des appels à projets et le démantèlement des conventions collectives », ou encore les renforcements des mesures d’enfermement des mineurs, dont ils estiment…
Protesters hold banner reading ‘Who has the right to make it to children who really believe what say the politicians ?’ during a march in Paris, in front of the Orsay Museum, on November 20, 2017 to protect the rights of social workers of the specialized prevention, the integration, the asylum, the hospital, the medical and social, the handicap.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Samedi 18 novembre 2018, à 11 h 08. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/320 s, f/8, ISO 1000, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT
C’était il y a deux ans jour pour jour. Le 18 novembre 2015, le Raid prenait d’assaut l’immeuble du 48 rue de la République à Saint-Denis, dans lequel logeaient le terroriste Abdelhamid Abaaoud et deux de ses complices. Réveillés par les tirs, les habitants de cet immeuble avaient attendu pendant plusieurs heures avant de pouvoir être évacués au petit matin. Dans la foulée, ils avaient été mis à l’abri pendant dix jours dans un gymnase avant d’être relogés temporairement dans des hôtels ou des résidences sociales. Depuis, 27 familles sur les 47 concernées ont été relo-
gées durablement, selon France Bleu. L’association Droit au logement (DAL), elle, met en avant d’autres chiffres : seuls 17 ménages auraient été relogés de manière pérenne sur les 46, avance Marie Hiban, militante au DAL. (…) Dans l’espoir de se faire entendre, d’anciens habitants se sont réunis vendredi soir devant l’immeuble et ont installé plusieurs toiles de tentes pour y passer la nuit. Ce samedi matin, ils poursuivaient leur mobilisation avec un nouveau rassemblement au pied du batiment, aujourd’hui laissé à l’abandon et fermé.
French housing association DAL (Housing Right) protest in the northern Paris suburb of Saint-Denis city center on November 18, 2017, in front of a buiding where French Police special forces arrested Belgian Abdelhamid Abaaoud, the suspected mastermind of the terrorist attacks in Paris on November 13, 2015. The DAL asked that the government gives new housing for the occupants of this building, destroyed by the police during the operation.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Mardi 10 octobre 2017, à 15 h 29. Appareil: Canon EOS-1D Mark III, 1/800 s, f/8, ISO 1000, flash: non. Objectif, focale: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x, 240 mm.
EXTRAIT Des soignants aux enseignants, des ministères aux collectivités, les 5,4 millions d’agents du service public se mobilisaient en faisant grève et manifestant ce mardi 10 octobre 2017, pour protester contre des mesures « inacceptables » du gouvernement, à l’appel de tous leurs syndicats, une première depuis dix ans. Selon les premières estimations de la CGT, le mouve-
ment a rassemblé 400.000 manifestants dans toute la France, dont 45.000 à Paris. D’après la préfecture de police, il y en aurait eu 26.000 à Paris.
Suppressions de 120.000 postes d’ici à la fin du quinquennat, gel des rémunérations, rétablissement du jour de carence, remise en cause de leur statut…
Thousands of public sector workers march through Paris on October 10, 2017, as part of a nationwide strike organized by the country's nine major labor unions against the flagship labor reforms of French President Emmanuel Macron which plans to freeze pay, tighten rules for sick days and to cut 120,000 jobs in the public sector by 2022.
Les partis de gauches défilent… chacun sur leur trottoir
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Mardi 10 octobre 2017, à 14 h 11. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/9, ISO 1250, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 22 mm.
EXTRAIT C’est à un appel commun à toutes les centrales syndicales qu’ont défilé, ce mercredi, les fonctionnaires. Une première depuis dix ans, qui n’a pas manqué d’inspirer quelques instants l’opposition de gauche à Emmanuel Macron. France insoumise, Parti communiste, Mouvement du 1er juillet, et même – fur-
tivement – le Parti socialiste étaient dans la rue. Chacun sur leur trottoir, ils ont préféré ne pas traverser la chaussée pour se saluer. Ambiguë sur son soutien aux dernières manifestations contre les ordonnances à l’appel de la CGT, le PS avait, cette fois-ci, clairement relayé l’appel à se mobiliser…
La France Insoumise (LFI) leftist party's members of Parliament Eric Coquerel (R) meets former French presidential election candidate for the far-left New Anticapitalist Party (NPA) Philippe Poutou (L) during a demonstration in Paris, France, on October 10
Évry. Contre la baisse des dotations
Étaient notamment présents Nicolas Dupont-Aignan, député-maire d’Yerres, et Serge Dassault, sénateur et ancien maire de Corbeil-Essonnes.
Sur le site de Michel Stoupak : l’article.
► Page 1 : Évry. Contre la baisse des dotations
► Page 2 : Évry. Serge Dassault dans la rue
Pages: 1· 2
Un rassemblement spontané a eu lieu le samedi 2 mai 2015 après midi à Trappes, dans les Yvelines, où un adolescent de 14 ans a trouvé la mort la veille, tué par balles en pleine rue. Un hommage organisé dans l’Espace Anatole France, non loin du lieu où s’est déroulé le drame, et où se sont rendus la famille et les proches de la victime.
Les coups de feu ont éclaté vendredi à 15 h 30 au square Albert-Camus de Trappes, une ville de banlieue populaire, théâtre, depuis plusieurs semaines, d’échauffourées et de règlements de comptes sur fond de trafic de stupéfiants. Une douzaine de douilles ont été retrouvées sur place. Les auteurs, dont on ignore le nombre, ont pris la fuite à bord d’une Renault Clio noire avant d’abandonner et d’incendier leur véhicule retrouvé par les gendarmes à Beynes, à quelques kilomètres de Trappes.
Le maire de Trappes Guy Malandain, a évoqué un garçon « adorable » qu’il « connaissait bien » en parlant de Moussa devant les médias.
Sur les sites de Michel Stoupak : l’article, l’album complet.