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PHOTO 1 Protesters wearing yellow vests (gilets jaunes) demonstrate in front of the Opera Garnier in Paris against rising costs of living blamed on high taxes on December 15, 2018. The "Yellow Vests" (Gilets Jaunes) movement in France originally started as a protest about planned fuel hikes but has morphed into a mass protest against President's policies and top-down style of governing.
PHOTO 2 Mounted police units take security measures at the place de l'Opera in front of the Opera Garnier, in Paris on December 15, 2018, during a demonstration called by the yellow vest (gilet jaune) to protest against rising costs of living they blame on high taxes. The "Yellow Vests" (Gilets Jaunes) movement in France originally started as a protest about planned fuel hikes but has morphed into a mass protest against President's policies and top-down style of governing.
PHOTO 1 Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 4000, Compensation: -2/3. Flash: non
PHOTO 2 Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 2500, Compensation: -1/3. Flash: non
Le contraste est spectaculaire. À 9 heures ce matin, ce samedi 15 décembre 2018, quelques centaines de « gilets jaunes » seulement étaient réunis en haut des Champs-Elysées, aux abords de la place de l’Étoile. C’est pourtant le lieu de rassemblement emblématique de la mobilisation, chaque samedi, depuis le 17 novemre. La semaine passée, le 8 décembre, à la même heure, ils étaient déjà quelques milliers à former une marée jaune en haut de l’avenue. La semaine d’avant, le 1er décembre, c’est dès le matin que l’Arc de triomphe avait été pris d’assaut. Pour la première fois depuis le début du mouvement il y a un mois, on constatait samedi 15 décembre un réel et spectaculaire recul de la mobilisation sur la grande avenue parisienne. En nombre de manifestants (ils étaient moins de 3 000, selon le ministère de l’intérieur, 33 000 dans toute la France), comme en intensité. En début d’après-midi, on a observé quelques face-à-face tendus entre « gilets jaunes » et forces de l’ordre, avant l’usage de grenades lacrymogènes sur les Champs-Elysées – sans commune mesure avec les samedis précédents. Source.
« Gilets jaunes » : la police montée déployée à Paris
Extrait : 225 mots. Pour encadrer le mouvement des gilets jaunes à Paris ce samedi 15 décembre 2018, la brigade équestre de la Préfecture de Police de Paris a été appelée à sécuriser la capitale aux côtés d’autres sections des forces de l’ordre. Ces policiers et leurs chevaux impressionnent autant qu’ils intéressent touristes comme manifestants. Mais quel est leur rôle ? « Tout l’intérêt du dispositif qui a été mis en place par le préfet de police c’est de pouvoir aller, avec des forces de l’ordre, à tout endroit de la capitale où il y a un rassemblement », a déclaré sur l’antenne de BFMTV Johanna Primevert, porte-parole de la préfecture de police. Parmi ces forces de l’ordre, la brigade équestre de la direction de sécurité de proximité de l’agglomération parisienne, qui était positionnée samedi matin devant l’Opéra Garnier, où des gilets jaunes étaient rassemblés pacifiquement. « On avait besoin de beaucoup de monde, donc c’est 100 % de présence, tous les policiers sont rappelés, la brigade équestre également », explique la porte-parole. Cette unité équestre est particulièrement adaptée à la ville, parmi ses missions opérationnelles : la surveillance et la sécurisation de centres villes, de manifestations locales, des abords des établissements scolaires et également des Champs-Élysées, explique le site du ministère de l’Intérieur. Source.
Demonstrators gather on March 5, 2018, in front of the prefecture of the Seine-Saint-Denis department, in the Paris northeastern suburban city of Bobigny, to obtain a better acces of foreigners to governement services.
Au son du mégaphone et des battements de djembés, une centaine de personnes sont venues se faire entendre le lundi 5 mars 2018 sous les fenêtres de la préfecture de Seine-Saint-Denis à Bobigny. Le rassemblement, à l’initiative de Réseau éducation sans frontières (RESF) qui milite pour la défense des sans-papiers, visait à exiger un accès plus rapide et égalitaire des étrangers au service public, notamment la délivrance d’un récépissé dès le premier rendez-vous et une décision rendue dans un délai de quatre mois.
Protesters shout slogans and hold banners as they take part in a demonstration against a French government's proposed reform of university applications and a project to reform the French baccalaureate high school exit exam on February 6, 2018, in Paris.
Des syndicats lycéens, étudiants et enseignants ont appelé à une nouvelle journée de mobilisation, mardi 6 février 2018, pour demander le retrait de la réforme de l’accès à l’université et du projet d’un nouveau baccalauréat. L’objectif était d’« amplifier » la mobilisation commune lancée jeudi 1er février, avec un faible succès. Vingt mille manifestants y avaient pris part, selon les organisateurs, dont dix mille à Paris. Mais la préfecture n’avait dénombré que deux mille quatre cents personnes défilant dans la capitale.
Vingt-deux personnes ont été interpellées, dans la nuit du vendredi 15 au samedi 16 avril 2016, en marge de la « Nuit debout », après des violences contre les forces de l’ordre et des dégradations commises dans le nord-est de Paris, a annoncé la préfecture de police. Quelques manifestants ont été incommodés par des gaz lacrymogènes, et quatre policiers et gendarmes ont été blessés légèrement. Alors que 3 000 personnes ont participé, dans la nuit du vendredi 15 au samedi 16 avril 2016, à la manifestation de la « Nuit debout », place de la République, « une centaine d’individus déterminés » ont rassemblé, vers 1 h 30, poubelles et autres panneaux de chantiers puis ont brûlé des palettes et des détritus, avant de jeter « à de nombreuses reprises » des projectiles (bouteilles, canettes, pavés) sur les forces de l’ordre, expliquait la préfecture de police dans un communiqué. Celles-ci ont répliqué par des tirs de gaz lacrymogène puis ont repoussé hors de la place de la République « le groupe de casseurs », qui s’est dispersé dans le secteur des Buttes-Chaumont, dans le nord-est de la capitale, en commettant « un certain nombre de dégradations ». Deux agences bancaires et un chantier ont notamment été vandalisés sur son passage. Vingt-deux personnes ont au total été interpellées pour « jets de projectiles, violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique, recel de vol », a indiqué la préfecture.
A newspaper stand is covered by graffitis reading ‘No advertising, no regret’ and ‘Objectified woman, citizen republic’ on Place de la République in Paris on April 16, 2016, outside the Nuit Debout (Night Rising) movement.
Il n’y a plus de témoins directs de la crue de la Seine en 1910. Mais cet événement et les énormes dégâts qu’il a causés, sont restés dans les mémoires. Malgré tous les aménagements réalisés autour du fleuve, les prévisionnistes sont formels : le risque qu’une crue de même importance se reproduise est bien réel. Pour se préparer à ce scénario catastrophe, la préfecture de police de Paris organisait du 7 au 18 mars 2016 un exercice de gestion de crise sans précédent baptisé EU Sequana 2016, du nom de la nymphe latine des sources de la Seine. Sur le site du Parc de la Plage Bleue, à Valenton dans le Val-de-Marne, se sont déroulés différents exercices, comportant notamment des évacuations simulées de populations par hélicoptères et embarcations.
Rescuers of the Department of Civil Defence and Emergency Preparedness (Securite Civile) take part in an evacuation drill on March 12, 2016 in Valenton, southeast of Paris, as part of the EU Sequana 2016, an emergency exercise in case of a major flood of the Seine river in the Ile-de-France region, that takes place through March 7-18. Rescuers simulated the evacuation of a retirement home by helicopters and boats, the search for missing persons through Cynotechnic teams, the installation of a water treatment plant and an Advanced Medical Post.
À l’appel de l’union des maires de France, de nombreux élus du département de l’Essonne se sont rassemblés devant la préfecture, le 19 septembre 2015, dans le cadre de la journée nationale d’action des élus pour alerter les pouvoirs publics sur les dangers d’une baisse des dotations de l’État aux collectivités. Étaient notamment présents Nicolas Dupont-Aignan, député-maire d’Yerres, et Serge Dassault, sénateur et ancien maire de Corbeil-Essonnes.
Données techniques de cette photo : Ouverture: ƒ/8 Appareil photo: Canon EOS-1D Mark III Prise de vue: 5 octobre 2014 Focale: 155 mm ISO: 400 Vitesse d’obturation: 1/400 s
Après le vote de la loi Taubira sur le mariage gay, la Manif pour tous organisée dimanche 5 octobre 2014 s’est trouvé de nouveaux arguments (GPA, PMA…). Mais si le discours a évolué, une polémique reste identique : le décompte du nombre de manifestants. Si la manifestation de dimanche n’est pas celle qui a mobilisé le plus depuis le début du mouvement, elle remporte la palme du plus grand écart entre les estimations des organisateurs et de la police. Selon les premiers, le cortège a rassemblé 500 000 personnes à Paris, et 30 000 à Bordeaux. Pour la préfecture, en revanche, les manifestants n’étaient que 70 000 dans la capitale et 7 500 en Aquitaine. A Paris, le différentiel d’estimation est de 1 à plus de 7 (7,14 précisément), ce qui dépasse le précédent record établi le 26 mai 2013.
La préfecture de police de Paris, sur l’île de la Cité, veut se doter d’une nouvelle salle d’accueil du public. A l’occasion de ce chantier, des fouilles d’archéologie préventive ont été entamées en avril 2013 par une équipe de l’Inrap. Aujourd’hui, les scientifiques sont à cinq mètres sous la surface, attaquant l’époque romaine. Creuser le sol de l’île de la Cité est toujours un moment exceptionnel, comme si on sondait le cœur de l’histoire de France. Et la grande question reste : la Lutèce gauloise que décrit Jules César dans la Guerre des Gaules, cet oppidum des Parisii situé sur une île de la Seine, est-ce bien celle de la Cité, et donc le berceau de Paris ? On l’a tenu pour acquis pendant longtemps, on n’en est plus trop sûr aujourd’hui. Nulle trace d’une occupation pré-romaine n’a pour l’heure été trouvée sous la Cité. Recherche d’autant complexe que l’île, à l’époque des Parisii, n’était encore qu’un agrégat d’îlots à la surface très réduite. Pour l’heure, le niveau le plus ancien repéré par les archéologues de l’Inrap est un dépôt de crue contenant de la céramique du début de notre ère. Le chantier était exceptionnellement ouvert au public les 8 et 9 juin, à l’occasion des 4e journées nationales de l’archéologie.
A l’issue de la manifestation contre le mariage pour tous organisée le dimanche 26 mai 2013 à Paris, des affrontements ont opposé pendant plusieurs heures des centaines d’individus et les forces de l’ordre. La manifestation s’était déroulée dans un climat bon enfant. C’est à sa dispersion, à partir de 18 heures, que les incidents ont commencé. Plusieurs centaines d’individus ont violemment affronté les forces de l’ordre et les journalistes sur l’Esplanade des Invalides. Dans un communiqué, le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, qui est venu en soirée à la préfecture de police pour suivre les événements, a imputé la responsabilité de ces heurts à l’ « extrême droite » et à la mouvance identitaire. Jets de bouteilles, de barrières métalliques voire de pavés sur les forces de l’ordre et les journalistes, agressions, slogans violents… Les fauteurs de troubles ont joué durant plus de deux heures au chat et à la souris sur l’Esplanade avec les forces de l’ordre. Présentes en nombre, celles-ci ont répliqué à coups de gaz lacrymogènes pour se dégager, couvrant le large espace faisant face aux Invalides d’un épais nuage de fumée une bonne partie de la soirée. Des mouvements de foule épisodiques ont été déclenchés au rythme des charges et des contre-charges. Au total, 293 personnes ont été interpellées au cours de la journée.
Ce mercredi 8 mai 2013, le département de l’Aube était encore en vigilance orange aux crues, et plusieurs villages avaient les pieds dans l’eau. A Paris, la Seine monte et le pic est attendu dans la soirée, même si la crue devrait rester très limitée.
Depuis mardi, le fleuve est sous surveillance, car toutes les conditions pour qu’il sorte de son lit semblent réunies. Normalement à un niveau de 2 mètres, l’eau est actuellement à 3 mètres 20, et ça devrait encore continuer un peu. « Pour l’instant, la Seine monte tout doucement, on n’est pas vraiment dans une phase critique », rassure le général et chef d’Etat-major Serge Garrigues à la préfecture de police de Paris. « On a en général deux jours d’écart par rapport à ce qu’il s’est passé à Troyes ou Auxerre, donc le pic de la crue devrait arriver ce mercredi soir. On devrait monter jusqu’à 3 mètres 60. Les Parisiens, tout ce qu’ils verront, ce seront quelques voies sur berge fermées. Ça tombe heureusement un jour férié, donc il n’y aura pas d’impact très important ».
Loin, en effet, des crues historiques comme celle de 1910, où la Seine était montée à 8 mètres 62.