French riot police stand guard outside the entrance of the Fresnes prison, near Paris, on January 15, 2018, during a demonstration by prison guards after three of their colleagues were injured in a blade attack by a German Al-Qaeda militant in Vendin-le-Vieil prison.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Lundi 15 janvier 2018, à 8 h 12. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/80 s, f/4, ISO 8000, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
Tag: "agression"
Peu après 21h30, les policiers se sont rassemblés par petits groupes, sous la pluie, devant la cathédrale, certains arborant leur brassard orange, et ont entonné une marseillaise. A chaque sirène de police qui passait à proximité, ils applaudissaient. Le mouvement, qui a fait tache d’huile depuis lundi avec des rassemblements notamment à Lyon, Lille, Toulouse, Bordeaux, Nancy, Toulon, Nice ou encore Marseille, fait suite à une violente attaque au cocktail Molotov d’un véhicule de police à Viry-Châtillon (Essonne), le 8 octobre.
Lors de cette agression, un adjoint de sécurité de 28 ans a été très grièvement brûlé. Il est toujours hospitalisé, plongé dans un coma artificiel mais n’est plus sous assistance respiratoire. Sa collègue, une gardienne de la paix de 39 ans, également grièvement touchée, a quitté l’hôpital mardi soir.
People take part in a rally of French police officers protesting over mounting attacks on officers in Paris, on October 21, 2016. Hundred of French police officers have been demonstrated for four nights in Paris and in the other cities in France.
Sur les sites de Michel Stoupak : l’article, l’album complet (20 photos).
© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Samedi 28 septembre 2013, à 15 h 07. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/2.8L II USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500e de s, ƒ/5.6, ISO 400. Flash: oui
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dans une présentation différente
À Paris, vêtues notamment de shorts et arborant pour certaines un soutien-gorge apparent, une centaine de personnes ont défilé jusqu’au Panthéon derrière une banderole qui portait l’inscription « Non, c’est non. Un viol n’est jamais ni consenti, ni provoqué, ni de la faute de la victime ! ».
Sur les pancartes, on pouvait lire « Ceci est une jupe, pas une invitation » ou encore « La honte doit changer de camp ». Certaines manifestantes avaient le torse frappé d’un « Non » ou « Pas touche ! ». Le phénomène des « Slutwalks » est né à Toronto, au Canada, en avril 2011, sous la forme d’une manifestation dénonçant les propos d’un policier qui avait dit que « les femmes devraient arrêter de s’habiller comme des salopes si elles ne veulent pas être victimes ». Plus de 250 villes dans le monde ont, depuis, organisé des marches similaires.
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© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Dimanche 26 mai 2013, à 20 h 15. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: focale: 165 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/800e de s, f/2.8, ISO 500. Flash: non
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La manifestation s’était déroulée dans un climat bon enfant. C’est à sa dispersion, à partir de 18 heures, que les incidents ont commencé.
Plusieurs centaines d’individus ont violemment affronté les forces de l’ordre et les journalistes sur l’Esplanade des Invalides. Dans un communiqué, le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, qui est venu en soirée à la préfecture de police pour suivre les événements, a imputé la responsabilité de ces heurts à l’ « extrême droite » et à la mouvance identitaire. Jets de bouteilles, de barrières métalliques voire de pavés sur les forces de l’ordre et les journalistes, agressions, slogans violents… Les fauteurs de troubles ont joué durant plus de deux heures au chat et à la souris sur l’Esplanade avec les forces de l’ordre. Présentes en nombre, celles-ci ont répliqué à coups de gaz lacrymogènes pour se dégager, couvrant le large espace faisant face aux Invalides d’un épais nuage de fumée une bonne partie de la soirée.
Des mouvements de foule épisodiques ont été déclenchés au rythme des charges et des contre-charges.
Au total, 293 personnes ont été interpellées au cours de la journée.
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