© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Samedi 28 septembre 2013, à 15 h 07. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/2.8L II USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500e de s, ƒ/5.6, ISO 400. Flash: oui
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Plusieurs centaines de manifestants, essentiellement des jeunes femmes, ont participé dans plusieurs villes de France, le samedi 28 septembre 2013, à la « Marche des salopes » (« SlutWalk ») pour protester contre « la culpabilisation des victimes d’agressions sexuelles » et « le sexisme ».
À Paris, vêtues notamment de shorts et arborant pour certaines un soutien-gorge apparent, une centaine de personnes ont défilé jusqu’au Panthéon derrière une banderole qui portait l’inscription « Non, c’est non. Un viol n’est jamais ni consenti, ni provoqué, ni de la faute de la victime ! ».
Sur les pancartes, on pouvait lire « Ceci est une jupe, pas une invitation » ou encore « La honte doit changer de camp ». Certaines manifestantes avaient le torse frappé d’un « Non » ou « Pas touche ! ». Le phénomène des « Slutwalks » est né à Toronto, au Canada, en avril 2011, sous la forme d’une manifestation dénonçant les propos d’un policier qui avait dit que « les femmes devraient arrêter de s’habiller comme des salopes si elles ne veulent pas être victimes ». Plus de 250 villes dans le monde ont, depuis, organisé des marches similaires.
À Paris, vêtues notamment de shorts et arborant pour certaines un soutien-gorge apparent, une centaine de personnes ont défilé jusqu’au Panthéon derrière une banderole qui portait l’inscription « Non, c’est non. Un viol n’est jamais ni consenti, ni provoqué, ni de la faute de la victime ! ».
Sur les pancartes, on pouvait lire « Ceci est une jupe, pas une invitation » ou encore « La honte doit changer de camp ». Certaines manifestantes avaient le torse frappé d’un « Non » ou « Pas touche ! ». Le phénomène des « Slutwalks » est né à Toronto, au Canada, en avril 2011, sous la forme d’une manifestation dénonçant les propos d’un policier qui avait dit que « les femmes devraient arrêter de s’habiller comme des salopes si elles ne veulent pas être victimes ». Plus de 250 villes dans le monde ont, depuis, organisé des marches similaires.
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