2014 Economics Nobel Prize laureate, Jean Tirole talks during a seminar on the theme « Economic reforms in France: first assessment, challenges and prospects » on March 15, 2019 at Bercy [French Economy and Finance Ministry] in Paris.
Prise de vue: Vendredi 15 mars 2019, à 9 h 51. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 400mm f/4 DO IS II USM; focale: 400 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 2000, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé : 210 mots. Jean Tirole, lauréat du prix Nobel d’économie en 2014, est intervenu le 15 février 2019 lors du séminaire intitulé « Les réformes économiques en France : premier bilan, défis et perspectives » organisé au ministère de l’Économie et des Finances, à Bercy. Dans une tribune au Journal du Dimanche, Jean Tirole a listé il y a quelques semaines ses propositions pour trouver une fin positive à la crise des « gilets jaunes ». Il affirme en particulier que, « pour les travailleurs modestes, une hausse du Smic n’est pas désirable, car elle risquerait d’aggraver leur sous-emploi ». « Mieux vaudrait augmenter la prime d’activité ». Mais il demande surtout au gouvernement de continuer ses réformes. « La révolte des « gilets jaunes » est l’occasion pour recréer le consentement à l’impôt », appelle Jean Tirole. Au risque de paraître impopulaire par les temps qui courent, Jean Tirole maintient que la taxe carbone « est une bonne taxe ». « En un mot, elle nous permettra de léguer à nos enfants une planète viable », défend l’économiste. Il regrette à ce titre un manque d’information économique, regrettant que les Français n’aient découvert le principe de la taxe carbone, instaurée en 2014, qu’en 2018, « perdant ainsi quatre années dans l’adaptation de leurs décisions au nouveau contexte ». (Source : www.europe1.fr, lien à la fin de l'article complet).
European Commissioner for Economic and Financial Affairs Pierre Moscovici talks during a seminar on the theme « Economic reforms in France: first assessment, challenges and prospects » on March 15, 2019 at Bercy [French Economy and Finance Ministry] in Paris.
Prise de vue: Vendredi 15 mars 2019, à 9 h 31. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 400mm f/4 DO IS II USM; focale: 400 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 1600, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé : 108 mots. Pierre Moscovici, Commissaire européen aux Affaires économiques et financières, à la Fiscalité et à l’Union douanière, en ouvrant à Bercy une journée de débats sur les réformes économiques en France, a jugé nécessaire de « garantir une fiscalité équitable pour lutter contre les inégalités ». « Il sera très difficile d’obtenir un consentement à l’impôt fort de la part des couches populaires et de certaines classes moyennes si elles ont le sentiment que les plus riches sont dans une forme d’évitement », a justifié M. Moscovici, tout en appuyant les objectifs fixés par Bruno Le Maire en matière de réformes économiques et de réduction de la dette publique. (Source : www.lunion.fr, lien à la fin de l'article complet).
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Mardi 14 novembre 2017, à 18 h 39. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/200 s, f/3.2, ISO 12800, Compensation: -1, flash: non. Objectif, focale: EF 24mm f/1.4L II USM, 24 mm.
EXTRAIT Trois associations de femmes appelaient à manifester le 14 novembre 2017 devant le ministère de la Justice, place Vendôme, à Paris, pour faire changer la loi à propos du consentement des mineurs à des actes sexuels. Intitulée : « Pédocriminel acquitté: tou.te.s place Vendôme pour manifester ! », cette manifestation était annoncée par le Collectif féministe contre le viol, le Collectif
droits des femmes et Osez le féminisme. En droit français, rien n’interdit de considérer que des enfants peuvent consentir à des relations sexuelles avec des adultes. Mais plusieurs décisions de justice récentes remettent la question de l’absence de présomption de non-consentement au cœur des débats…
A woman holds placards reading « The violence after the violence», « Sarah, 11 years old, raped» and « Disgusting patriarchal society» as she takes part in a demonstration in front of the French Justice Ministry, in Paris, on November 14, 2017 called by different feminists associations to protest against the acquittal for rape of a man who had sex with an 11 year old. Two court decisions involving 11-year-old girls have recently highlighted the shortcomings of French law that the government intends to tackle in 2018.
Plusieurs centaines de manifestants, essentiellement des jeunes femmes, ont participé dans plusieurs villes de France, le samedi 28 septembre 2013, à la « Marche des salopes » (« SlutWalk ») pour protester contre « la culpabilisation des victimes d’agressions sexuelles » et « le sexisme ». À Paris, vêtues notamment de shorts et arborant pour certaines un soutien-gorge apparent, une centaine de personnes ont défilé jusqu’au Panthéon derrière une banderole qui portait l’inscription « Non, c’est non. Un viol n’est jamais ni consenti, ni provoqué, ni de la faute de la victime ! ». Sur les pancartes, on pouvait lire « Ceci est une jupe, pas une invitation » ou encore « La honte doit changer de camp ». Certaines manifestantes avaient le torse frappé d’un « Non » ou « Pas touche ! ». Le phénomène des « Slutwalks » est né à Toronto, au Canada, en avril 2011, sous la forme d’une manifestation dénonçant les propos d’un policier qui avait dit que « les femmes devraient arrêter de s’habiller comme des salopes si elles ne veulent pas être victimes ». Plus de 250 villes dans le monde ont, depuis, organisé des marches similaires.