French Minister for Public Action and Accounts Gerald Darmanin (L) adresses tobacconists, in front of by Philippe Coy (3R), President of the National Tobacconists Confederation, during the Congress of the Confederation in Paris, on October 10, 2019. In the last few years, the increase in the price of tobacco has been devastating for tobacconists. Since 2003, 500 shops have closed their doors every year. Today, tobacconists sell food and other products, and also serve as an intermediaries for the local city hall, often times as a pick-up point for packages. More services should continue to arise in the next years in the hopes that if tobacconists diversify their business, they will be able to survive.
Prise de vue: Jeudi 10 octobre 2019, à 13 h 21. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM; focale: 70 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/2.8, ISO 500, Compensation: +1/3. Flash: non
Résumé : 204 mots. Gérald Darmanin, le Ministre de l’Action et des Comptes publics, est intervenu devant les buralistes réunis au Novotel Paris Centre à l’occasion du Congrès de la Confédération nationale des buralistes, le 10 octobre 2019. La fiscalité sur les produits du tabac, y compris celle sur le tabac à rouler, ne sera pas augmentée dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécu, au-delà des hausses déjà « prévues », a assuré le ministre. « Je refuserai tout amendement parlementaire qui viendrait à augmenter la fiscalité du tabac qui n’était pas prévue, je tiendrai ma promesse », a-t-il affirmé devant les quelque 350 buralistes présents. « Je respecterai l’engagement qui consiste à ne pas faire de mauvaise surprise », a répété Gérald Darmanin, précisant : « Ce ne serait pas correct, vis-à-vis de vous, que de changer la fiscalité », en particulier celle du « tabac à rouler ». Les buralistes craignent que la fiscalité de ce produit ne soit alignée sur celle du paquet de cigarettes, plus élevée, ce qui ferait baisser les ventes, dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale 2020. Source
2014 Economics Nobel Prize laureate, Jean Tirole talks during a seminar on the theme « Economic reforms in France: first assessment, challenges and prospects » on March 15, 2019 at Bercy [French Economy and Finance Ministry] in Paris.
Prise de vue: Vendredi 15 mars 2019, à 9 h 51. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 400mm f/4 DO IS II USM; focale: 400 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 2000, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé : 210 mots. Jean Tirole, lauréat du prix Nobel d’économie en 2014, est intervenu le 15 février 2019 lors du séminaire intitulé « Les réformes économiques en France : premier bilan, défis et perspectives » organisé au ministère de l’Économie et des Finances, à Bercy. Dans une tribune au Journal du Dimanche, Jean Tirole a listé il y a quelques semaines ses propositions pour trouver une fin positive à la crise des « gilets jaunes ». Il affirme en particulier que, « pour les travailleurs modestes, une hausse du Smic n’est pas désirable, car elle risquerait d’aggraver leur sous-emploi ». « Mieux vaudrait augmenter la prime d’activité ». Mais il demande surtout au gouvernement de continuer ses réformes. « La révolte des « gilets jaunes » est l’occasion pour recréer le consentement à l’impôt », appelle Jean Tirole. Au risque de paraître impopulaire par les temps qui courent, Jean Tirole maintient que la taxe carbone « est une bonne taxe ». « En un mot, elle nous permettra de léguer à nos enfants une planète viable », défend l’économiste. Il regrette à ce titre un manque d’information économique, regrettant que les Français n’aient découvert le principe de la taxe carbone, instaurée en 2014, qu’en 2018, « perdant ainsi quatre années dans l’adaptation de leurs décisions au nouveau contexte ». (Source : www.europe1.fr, lien à la fin de l'article complet).
European Commissioner for Economic and Financial Affairs Pierre Moscovici talks during a seminar on the theme « Economic reforms in France: first assessment, challenges and prospects » on March 15, 2019 at Bercy [French Economy and Finance Ministry] in Paris.
Prise de vue: Vendredi 15 mars 2019, à 9 h 31. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 400mm f/4 DO IS II USM; focale: 400 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/4, ISO 1600, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé : 108 mots. Pierre Moscovici, Commissaire européen aux Affaires économiques et financières, à la Fiscalité et à l’Union douanière, en ouvrant à Bercy une journée de débats sur les réformes économiques en France, a jugé nécessaire de « garantir une fiscalité équitable pour lutter contre les inégalités ». « Il sera très difficile d’obtenir un consentement à l’impôt fort de la part des couches populaires et de certaines classes moyennes si elles ont le sentiment que les plus riches sont dans une forme d’évitement », a justifié M. Moscovici, tout en appuyant les objectifs fixés par Bruno Le Maire en matière de réformes économiques et de réduction de la dette publique. (Source : www.lunion.fr, lien à la fin de l'article complet).
Le Parti communiste français (PCF) appelait à un rassemblement près de l’Apple Store de l’Opéra , le 22 octobre 2016, pour que le géant américain de l’’informatique paye effectivement ses impôts à l’État français. Les ventes des 21 magasins que possède Apple sur le territoire national sont en effet enregistrées par Apple Retail, basée à Cork en Irlande, pays où la fiscalité est nettement plus favorable à la multinationale. Et le PCF de dénoncer les impacts de cette localisation opportuniste ; « Ce mécanisme permet aujourd’hui à Apple de ne payer que 0,005 % (!) d’impôts en France, quand la plupart des entreprises de notre pays doivent payer 33 % d’impôts. Il est urgent de mettre fin à un tel scandale. Un scandale mondial, car Apple vient d’être condamné à rembourser 13 milliards d’euros à l’Irlande. Comme le font remarquer les frères Alain et Éric Bocquet, dont le livre « Sans domicile fisc » vient de paraître, « ces 13 milliards d’impôts impayés par Apple au peuple irlandais correspondent au financement de vingt hôpitaux à 650 millions d’euros chacun ! ».
Dozens gather outside the Opera Apple Store in Paris on October 22, 2016 to demand that the company pays its tax to France.
Environ 150 personnes se sont rassemblées le samedi 30 novembre 2013 place du Châtelet, à Paris, pour manifester contre le « matraquage fiscal ». Une mobilisation initiée par la « Coordination Nationale des Mouvements de Protestation » (CNMP), un collectif regroupant plusieurs mouvements et communautés Facebook de contribuables mécontents de la politique fiscale du gouvernement. Alors que les actions violentes contre l’écotaxe se multiplient un peu partout en France, que la hausse de la TVA prévue pour le 1er janvier 2014 est contestée jusque dans les rangs de la majorité, la légitimité de la politique fiscale du gouvernement Ayrault n’a jamais été autant critiquée dans le pays. Si la persistance du chômage reste en tête des inquiétudes des Français (36%), la question des impôts se hisse pour la première fois du quinquennat à la deuxième place des sujets de préoccupation (13%), devant la protection sociale (11%) et la crise de la dette (9%).
« Trop tondu, Hollande on n’en veut plus ! »… Tel est le nouveau slogan choc du mouvement « les Tondus ». Exaspéré par le matraquage fiscal, le collectif d’entrepreneurs appelait tous les acteurs de l’économie – artisans, commerçants, professions libérales et chefs d’entreprises – à venir manifester devant les mairies de toutes les préfectures et sous-préfectures de France à l’occasion de la commémoration du 11 novembre. À Paris, le rendez-vous était fixé devant l’Hôtel de Ville, à midi. Il a été dispersé dans le calme avec des moyens policiers conséquents.