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Une première depuis 2011. L’annonce de la suppression de 2 650 postes dans les collèges et lycées publics, 550 dans le privé et 400 dans l’administration a entraîné un appel à la grève pour ce lundi 12 novembre 2018, lancé par tous les syndicats représentant l’ensemble des personnels de l’Éducation nationale. Du jamais-vu en sept ans.
À Paris une manifestation s’est élancé à 14 h pour rallier le ministère de l’Éducation nationale, pour dénoncer le budget de l’Education nationale qui sera examiné à l’Assemblée nationale mardi. Une unanimité syndicale qui a fait craindre d’importantes perturbations dans les établissements ce lundi.
Dans les collèges et les lycées certes, mais aussi dans les écoles primaires et maternelles. D’autant que la première fédération de parents d’élèves, la FCPE, appellait aussi les parents à se mobiliser et à rejoindre les cortèges syndicaux contre ces réductions de postes dans le second degré.
« Ce choix est d’autant plus incohérent que dans les réformes du bac et du lycée général et technologique, comme dans la réforme de l’enseignement professionnel, l’accompagnement des élèves est présenté comme central aussi bien pour leur réussite que pour construire leur parcours d’orientation. Or, cela nécessite des adultes formés et en nombre suffisant auprès des jeunes », argumente la FCPE. Source.
À Paris une manifestation s’est élancé à 14 h pour rallier le ministère de l’Éducation nationale, pour dénoncer le budget de l’Education nationale qui sera examiné à l’Assemblée nationale mardi. Une unanimité syndicale qui a fait craindre d’importantes perturbations dans les établissements ce lundi.
Dans les collèges et les lycées certes, mais aussi dans les écoles primaires et maternelles. D’autant que la première fédération de parents d’élèves, la FCPE, appellait aussi les parents à se mobiliser et à rejoindre les cortèges syndicaux contre ces réductions de postes dans le second degré.
« Ce choix est d’autant plus incohérent que dans les réformes du bac et du lycée général et technologique, comme dans la réforme de l’enseignement professionnel, l’accompagnement des élèves est présenté comme central aussi bien pour leur réussite que pour construire leur parcours d’orientation. Or, cela nécessite des adultes formés et en nombre suffisant auprès des jeunes », argumente la FCPE. Source.
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