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Une foule de manifestants vêtus de rouge, couleur viande, a défilé samedi 10 juin 2017 à Paris pour demander la « fermeture des abattoirs », à l’appel de l’association de défense des animaux L214 dont deux militants doivent être jugés lundi à Versailles.
Aux cris de : « Ouvrons les consciences, fermons les abattoirs », ou : « Stoppons le carnage, le sang a assez coulé, justice pour les animaux », les manifestants, dont beaucoup de jeunes, ont défilé dans le quartier République à Paris.
Biscuits véganes pour humains ou pour chiens, masques de réalité virtuelle pour plonger à 360 degrés dans un abattoir de
porcs, radio « paroles d’animaux », la manifestation qui accueillait un « village végane » sur la place de la République, doit servir aux militants anti-viande à « prendre des forces », selon l’expression utilisée par la cofondatrice de l’association Brigitte Gothière.
L214 a recensé « 3 600 participants » selon un de ses militants chargé du comptage. « Nous en avions 2 500 l’an passé, la marche prend de l’ampleur et elle s’accompagne d’autres marches dans d’autres pays, notamment au Japon et en Allemagne », a dit Sébastien Arsac, l’autre cofondateur de l’association.
Participants demonstrate with placards during a march organised by the L214 association for the abolishment of slaughterhouses in Paris on June 10, 2017.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet (26 photos).
Environ un millier de personnes se sont rassemblées samedi 30 janvier 2015 après-midi, place de la République, à Paris, pour dénoncer le projet de déchéance de nationalité pour les personnes condamnées pour des activités terroristes et contre l’état d’urgence instauré après les attentats de novembre 2015, alors qu’un projet de loi le prolongeant sera examiné dans les jours qui viennent au Parlement. Une manifestation organisée comme d’autres en province, à l’appel des collectifs « Nous ne céderons pas » et « Stop état d’urgence », regroupant notamment des syndicats (CGT, FSU, Syndicat de la magistrature), des associations (Attac, Droit au logement, Droits devant, MRAP) et des organisations de défense des droits de l’homme (FIDH).
Protesters dressed as prisoners attend a demonstration held against state of emergency in Paris on January 30, 2016.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet (20 photos).
© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Samedi 9 mars 2013, à 16 h 13. Appareil: Leica M9 Digital Camera. Objectif: Super-Elmar-M 18mm f/3.8 ; focale: 18 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/125 s, f/8, ISO 160. Flash: non
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À la veille du deuxième anniversaire de la catastrophe nucléaire de Fukushima, des milliers de manifestants anti-nucléaires – plus de 20.000 manifestants, selon les organisateurs – encadrés par le réseau « Sortir du nucléaire », ont organisé samedi 9 mars 2013 une chaîne humaine dans 18 points différents de Paris.
Réclamant la fin du nucléaire, les manifestants ont encerclé une série de « lieux de pouvoir » qui contribuent, selon eux, à promouvoir l’énergie nucléaire, comme l’Assemblée nationale et le Sénat, plusieurs ministères, dont ceux de la Défense et de l’Ecologie, l’Autorité de Sûreté nucléaire (ASN), les sièges d’EDF et d’Areva dans le quartier la Défense, ainsi que plusieurs banques, notamment la BNP Paribas et le Crédit Agricole qui financent des projets de centrales.
Selon un récent sondage, le niveau d’inquiétude suscitée par les centrales nucléaires françaises tout en restant relativement élevé a néanmoins sensiblement reflué depuis deux ans, passant de 56% deux semaines après l’accident de Fukushima à 42% actuellement.
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