A dozen of lawyers and from the avocature, made an action on the square of the high court of Bobigny, France, the tGI, on 22 January 2020, to protest against the pension reform of the governement. They sang some song, made a rugby Aka, to show their anger.
Prise de vue: Mercredi 22 janvier 2020, à 17 h 12. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 21 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/4, ISO 640, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 261 mots. « Belloubet, ta réforme, non, non ! Avocats au combat aaaah ah ! » : avec la même rage que les All Blacks, une cinquantaine d’avocats ont fait un haka mercredi 22 janvier 2020 sur le parvis du tribunal de Bobigny pour dire leur colère face à la réforme des retraites. En appui sur leurs genoux, chauffés à blanc par un homme au mégaphone, ces avocats de Seine-Saint-Denis – deux traits tracés au noir sur leurs joues, écharpe rouge sur leur robe – ont repris la célèbre danse rituelle des guerriers maoris pratiquée par l’équipe de rugby de Nouvelle-Zélande, frappant leurs genoux, leur torse, leurs coudes. « Les avocats sont toujours mobilisés, le haka c’est une danse de guerrier, c’est symbolique, c’est pour montrer qu’on va combattre jusqu’au retrait du projet », a déclaré à l’AFP Meriem Ghenim, avocate affiliée au SAF, le syndicats des avocats de France. « En Seine-Saint-Denis, 70 % de la population est éligible à l’aide juridictionnelle. Or l’Etat ne va jamais augmenter le montant de l’aide juridictionnelle, comme il le fait avec les enseignants en augmentant leurs salaires. Il n’y aura pas pour les avocats de mesure compensatoire», a expliqué Me Yves Tamet, ancien bâtonnier de Seine-Saint-Denis. « Les avocats de Seine-Saint-Denis sont aux premières loges des catégories sociales les plus pauvres et les plus populaires. Tous ces avocats vont devoir fermer leurs cabinets si la réforme des retraites passe », a surenchéri Raquel Garrido, avocate et cheffe de file de La France insoumise aux municipales de Bagnolet. Source.
Demonstrators gather on March 5, 2018, in front of the prefecture of the Seine-Saint-Denis department, in the Paris northeastern suburban city of Bobigny, to obtain a better acces of foreigners to governement services.
Au son du mégaphone et des battements de djembés, une centaine de personnes sont venues se faire entendre le lundi 5 mars 2018 sous les fenêtres de la préfecture de Seine-Saint-Denis à Bobigny. Le rassemblement, à l’initiative de Réseau éducation sans frontières (RESF) qui milite pour la défense des sans-papiers, visait à exiger un accès plus rapide et égalitaire des étrangers au service public, notamment la délivrance d’un récépissé dès le premier rendez-vous et une décision rendue dans un délai de quatre mois.
Plusieurs centaines de manifestants, dont de nombreux jeunes, se sont rassemblés le samedi 11 février 2016 à Bobigny, en Seine-Saint-Denis, en soutien à Théo, jeune homme victime d’un viol présumé lors d’une interpellation brutale à Aulnay-sous-Bois le 2 février. « La police viole », « je ne suis pas un bamboula », « la police tue des innocents », pouvait-on lire sur des pancartes.
Encadrés par un impressionnant déploiement policier, les manifestants, dont de nombreux jeunes, s’étaient réunis devant le tribunal de Bobigny. La préfecture de Seine-Saint-Denis n’est qu’à
une dizaine de kilomètres d’Aulnay-sous-Bois, où le jeune homme de 22 ans a été interpellé le 2 février dans la cité des 3.000. Après plus d’une heure de manifestation, des policiers postés sur une passerelle ont reçu des projectiles. Des cris, des bruits de pétards et des mouvements de foule ont suivi. Des casseurs s’en sont pris à des vitres d’immeubles, à des abribus et au mobilier urbain. « Plusieurs centaines d’individus violents et très mobiles » ont commis diverses « exactions et dégradations », a affirmé la préfecture de police de Paris, qui chiffre le nombre des manifestants à « près de 2.000 personnes ».
Thousands gather with signs during a protest in Bobigny, a district of northeast Paris, on February 11, 2017, to denounce police brutality after a black man was allegedly sodomized with a baton while in custody earlier this month. One officer has been charged with rape and three others with assault over the incident in the northeastern suburb of Aulnay-sous-Bois which has revived past controversies over alleged police brutality.
En marge du rassemblement organisé en soutien à Théo, le samedi 11 février 2017 à Bobigny, en Seine-Saint-Denis, une camionnette aux couleurs de la radio RTL a été saccagée, pillée puis brulée devant le Palais de Justice. Dans une déclaration, la radio a indiqué que son équipe sur place
a été « choquée mais pas blessée » et « condamne cet acte de violence », assurant « qu’elle ne cédera à aucune forme d’intimidation ». Sous les gaz lacrymogènes, la manifestation a pris fin en début de soirée.
A van of French radio station RTL is burning during a protest in Bobigny, a district of northeast Paris, on February 11, 2017, to denounce police brutality after a black man was allegedly sodomized with a baton while in custody earlier this month. One officer has been charged with rape and three others with assault over the incident in the northeastern suburb of Aulnay-sous-Bois which has revived past controversies over alleged police brutality.
Les portes des magasins Leroy Merlin de Vitry-sur-Seine et d’Ivry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne, se sont ouvertes normalement ce dimanche 29 septembre 2013 au matin. Viennoiseries, café et pétitions à signer : les salariés, portant pour la plupart T-Shirt frappé du slogan du collectif, « Yes week-end », avaient cependant prévu d’accueillir chaleureusement des clients en grande majorité solidaires de leur lutte pour le droit au travail dominical. Ces enseignes, situées à la lisière de Paris, font partie en effet des 15 magasins Castorama et Leroy Merlin condamnés jeudi 26 septembre 2013 par le tribunal de commerce de Bobigny à baisser le rideau le dimanche, sous peine d’une astreinte de 120.000 euros par magasin et par jour. Malgré les rappels à l’ordre du gouvernement, 14 magasins ont ouvert leurs portes ce dimanche, le 15e étant fermé depuis plusieurs mois. Celui d’Ivry-sur-Seine en toute légalité, puisqu’il avait obtenu la veille une autorisation de la préfecture, a indiqué une source interne à Leroy Merlin. Sur les quelque 300 salariés du magasin d’Ivry-sur-Seine, environ un tiers travaille le dimanche, pour la plupart des étudiants. Du côté du magasin Castorama de Créteil, dans le Val-de-Marne, on avait également ouvert mais aucune banderole ou affiche n’appelait l’attention sur le caractère particulier de cette ouverture dominicale.