Protesters walk in the streets of Versailles, outside Paris, on January 21, 2019, during a rally called by the General Confederation of Labour (Confederation generale du travail - CGT) trade union, near the Palace of Versailles where French President Emmanuel Macron is hosting 150 international business leaders in hopes of producing support for his agenda as yellow vest protesters keep up their demonstrations to his government's economic policies. The CEOs or top executives of Microsoft, Uber, General Electric, Procter & Gamble and Coca-Cola are among those expected at the evening event, where Macron wants to promote tax changes and other measures intended to attract foreign investors.
Prise de vue: Lundi 21 janvier 2019, à 10 h 51 Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale:16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/7.1, ISO 200, Compensation: +2/3. Flash: non
RÉSUMÉ : 183 mots. Pas de forum de Davos pour Emmanuel Macron cette année. En revanche, le chef de l"État réunissait 150 patrons à Versailles ce 21 janvier 2019 à partir de 13 h pour le sommet « Choose France », consacré à l’attractivité française. Cette édition diffère quelque peu de celle de l’an dernier, lors de laquelle 140 dirieants de grands groupes internationaux étaient venus dîner dans les salons de Versailles, apportant quelques annonces d’investissements en France. Cette fois, l’objectif était de montrer en exemple des entreprises ayant bénéficié d’investissements étrangers, souligne la présidence. Selon le programme de la journée, les patrons sont arrivés à Versailles à 13 h et les rencontres bilatérales ont eu lieu de 15 h à 18 h, avant un dîner dans l’ancien château royal en présence du président français à partir de 20 h. Dans la lignée du mouvement des Gilets jaunes et du mal-être social qui traverse le territoire français, la Confédération générale du travail d’Ile-de-France a pour sa part lancé un appel à manifester à partir de 10 h, à la gare RER de Versailles Chantier. Source : francais.rt.com, lien à la fin de l'article complet.
Students demonstrate in front of the Campus France, the agency in charge of the promotion of French higher education to foreign students, against French government Education reforms on December 6, 2018 in Paris. About 200 high schools and colleges are blocked or disrupted again in France on December 6, 2018 and several incidents have been identified, leading in particular to mass arrests in the Paris region.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 23 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 4000, Compensation: -2/3. Flash: non
De nombreux étudiants se sont rassemblés le 6 décembre 2018 devant les locaux de Campus France à Paris, l’organisme en charge de valoriser et de promouvoir à l’étranger le système d’enseignement supérieur et de formation professionnelle français. Une mobilisation contre la hausse des frais d’inscription à l’université pour les étudiants étrangers non ressortissants de l’Union européenne, qui doivent considérablement augmenter à la rentrée 2019. L’année de licence coûtera en effet 2 770 euros contre 170 euros actuellement et il faudra débourser 3 770 euros pour une année en master ou de doctorat (contre 243 euros et 380 euros respectivement). Cette augmentation fait partie de la « stratégie d’attractivité » lancée par le gouvernement qui veut attirer d’ici 2027, 5000 étudiants internationaux, « les plus brillants et les plus méritants ». Il promet en contre-partie la mise en place d’un panel de bourses plus accessibles pour ces étudiants étrangers.
Demonstrators gather on March 5, 2018, in front of the prefecture of the Seine-Saint-Denis department, in the Paris northeastern suburban city of Bobigny, to obtain a better acces of foreigners to governement services.
Au son du mégaphone et des battements de djembés, une centaine de personnes sont venues se faire entendre le lundi 5 mars 2018 sous les fenêtres de la préfecture de Seine-Saint-Denis à Bobigny. Le rassemblement, à l’initiative de Réseau éducation sans frontières (RESF) qui milite pour la défense des sans-papiers, visait à exiger un accès plus rapide et égalitaire des étrangers au service public, notamment la délivrance d’un récépissé dès le premier rendez-vous et une décision rendue dans un délai de quatre mois.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Mardi 26 septembre 2017, à 14 h 09. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/250 s, ƒ/8, ISO: 160, Compensation: -2/3, flash: oui. Focale: 23 mm.
EXTRAIT Le quartier de la Sorbonne était entièrement bouclé sur un large périmètre le mardi 26 septembre 2017 avant le discours sur l’Europe que devait y prononcer Emmanuel Macron vers 15 h, alors que quelque 200 jeunes manifestants s’étaient
rassemblés à l’appel de l’Unef et des Jeunes Insoumis. Le Grand amphithéâtre de la Sorbonne, d’une capacité d’environ 800 personnes, se remplissait d’un public composé d’étudiants, notamment des étudiants en affaires européennes et…
Rally against French President Emmanuel Macron in front of the Sorbonne University, while the President delivers a speech on the European Union on September 26, 2017 in Paris.
Des associations et sympathisants se sont rassemblés le 4 avril 2016 dans le 16e arrondissement de Paris pour rendre un dernier hommage à Fidel Castro, le père de la Révolution cubaine, décédé le 25 novembre 2016. Un hommage organisé place José-Marti, le fondateur du parti révolutionnaire cubain. Castro avait abandonné en avril 2011 ses dernières responsabilités officielles, en cédant son poste de premier secrétaire du Parti communiste de Cuba à Raul, numéro deux du parti depuis sa fondation en 1965. L’ex-président cubain avait totalement disparu des écrans cubains entre février 2014 et avril 2015, ce qui avait alimenté de nombreuses rumeurs sur son état de santé. Mais depuis un an et demi, même si ses déplacement restaient limités, il avait recommencé à publier des « réflexions » et s’était remis à recevoir chez lui personnalités et dignitaires étrangers. Son décès survient à peine deux ans après l’annonce historique du rapprochement entre Cuba et les États-Unis, initiée par Barack Obama et Raul Castro.
A man holds a sign as dozens gather in Paris on December 4, 2016 to pay their last respects to Cuban revolutionary Fidel Castro, who died on November 25.
“text-align: justify;">Quatre jours après l’attaque de jihadistes qui a causé la mort de 21 personnes à Tunis, près d’un millier de personnes se sont rassemblées place de la République à Paris pour afficher leur solidarité avec la Tunisie. Brandissant des drapeaux tunisiens, des affiches comme « Je suis Bardo, je suis Tunisie », « La démocratie vivra malgré eux » ou encore « Non au terrorisme, non au fanatisme, non à la barbarie », les manifestants ont respecté une minute de silence pour les victimes et ont chanté à plusieurs reprises l’hymne tunisien. Parmi les orateurs, Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à la présidentielle française de 2012, a assuré « être de tout cœur » avec les Tunisiens. Mercredi, deux jeunes Tunisiens armés de kalachnikov ont ouvert le feu sur des touristes qui s’apprêtaient à visiter le musée du Bardo, le plus prestigieux du pays, avant de les pourchasser à l’intérieur du bâtiment. Vingt-et-une personnes, vingt touristes et un policier tunisien, ont été tuées dans cette attaque, la première à être revendiquée par l’organisation de l’État islamique (EI) sur le sol tunisien et à viser des étrangers depuis la révolution de 2011.
Around 900 people demonstrated on March 21, 2015 at Republique Square in Paris in solidarity with Tunisia after the March 18 attack on the ‘Museum Bardo.
Quelque 1.150 personnes, selon la police, 2.000 selon les organisateurs, ont défilé samedi 7 décembre 2013 à Paris pour l’égalité des droits et contre le racisme, et pour « poursuivre le combat » de Nelson Mandela, deux jours après sa mort. Sous une grande pancarte « Merci Nelson Mandela », les manifestants ont marché à l’appel du monde associatif et de plusieurs partis politiques d’extrême gauche, avec diverses revendications comme la régularisation des sans-papiers, le vote des étrangers ou l’arrêt des contrôles de police au faciès. Plusieurs d’entre eux portaient autour du cou des pancartes avec le portrait de l’ancien président sud-africain ou brandissaient des citations du héros de la lutte anti-apartheid, décédé le 5 décembre. La manifestation, partie de l’église Saint-Bernard occupée en 1996 par quelque 300 sans-papiers, avait lieu à l’occasion des trente ans de la marche pour l’égalité de 1983, surnommée « la marche des Beurs ».