(R to L) French humorist and activist Muriel Robin, French actress and model Laetitia Casta, French actress Marilou Berry and French actress Alexandra Lamy take part in a protest to condemn violence against women, on November 23, 2019, in Paris. Wearing purple – the adopted colour of feminist struggles – activists are taking to the streets of Paris and other French cities to speak out against domestic violence in France, where a women is killed by her partner every two or three days.
Prise de vue: Samedi 23 novembre 2019, à 15 h 14. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 150 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/100 sec, f/4, ISO 100, Compensation: -1/3. Flash: non
Des dizaines de milliers de personnes manifestaient le samedi 23 novembre 2019 à Paris pour dire “stop” aux violences sexistes et sexuelles et aux féminicides. La manifestation à l’appel du collectif féministe #NousToutes s’est élancée de la place de l’Opéra en direction de celle de la Nation. Plusieurs dizaines de milliers de femmes et d’hommes ont battu le pavé à Paris – 49 000 selon le cabinet Occurrence travaillant pour un collectif de médias –, mais aussi dans d’autres villes de France, pour dire “stop” aux violences sexistes et sexuelles. Dans la marée violette du cortège parisien se mêlaient anonymes, organisations et partis politiques, mais aussi de nombreuses personnalités parmi lesquelles Muriel Robin, Alexandra Lamy, Laetitia Casta, Emma De Caunes, Eva Darlan, Julie Gayet, Sandrine Bonnaire, Yaël Naïm, Najat Vallaud-Belkacem, Marilou Berry, Anne Marivin, Nadège Beausson Diagne, Daphné Bürki, Claudia Tagbo, Clémentine Autain, Romane Bohringer, Sabine Paturel…
Member of the French Constitutional Council (Conseil Constitutionnel) Alain Juppe (C) visits the outsides of Notre-Dame Cathedral the day after the massive fire that ravaged its roof on April 16, 2019 in Paris, France. A raging fire that tore through Notre-Dame Cathedral in central Paris was extinguished, the city's fire service announced on April 16, around 15 hours after it first broke out. The blaze brought its towering spire and roof crashing to the ground, wiping out centuries of priceless heritage central to French culture and history.
Prise de vue: Mardi 16 avril 2019, à 11 h 24. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/6.3, ISO 500, Compensation: -1. Flash: non
Résumé : 160 mots. Ce mardi 16 avril 2019, de nombreuses personnalités politiques se sont rendues sur le parvis de la cathédrale sinistrée pour exprimer leur émotion après l’incendie survenu la veille. L’embrasement de Notre-Dame de Paris a provoqué une forme d’union nationale dans le monde politique : unanime manifestation de solidarité envers les catholiques qui célèbrent la semaine sainte et soutien à l’initiative gouvernementale de lancer une souscription nationale. Plusieurs formations politiques ont mis, mardi matin, la campagne européenne entre parenthèses. Tête de liste LREM, Nathalie Loiseau suspend sa campagne « jusqu’à nouvel ordre ». L’eurodéputé et membre dirigeant du Rassemblement national, Nicolas Bay, a écourté mardi un point presse au Parlement européen à Strasbourg et annoncé « 24 heures de trêve parce que nous sommes en deuil d’un joyau de notre patrimoine national ». Laurent Wauquiez, président des Républicains, et François-Xavier Bellamy ont annulé leur déplacement et meeting qui devait se tenir mardi 16 avril à Nîmes. Source : ► www.la-croix.com
Head of France's rightwing Republicans opposition party Laurent Wauquiez (C, in red) visits the 55th International Agriculture Fair (Salon de l'Agriculture) at the Porte de Versailles exhibition center on February 27, 2018 in Paris.
Trois jours après les 12 h 30 de présence d’Emmanuel Macron au Salon de l’agriculture, c’est au tour de son principal opposant de faire son apparition dans la plus grande ferme de France. Ce mardi et ce mercredi, Laurent Wauquiez fait halte porte de Versailles (Paris XVe), avec un double défi : essayer de faire oublier ses propos tonitruants tenus dans une école de commerce et diffusés dans l’émission « Quotidien » et incarner cette fameuse France de la ruralité qu’il prétend défendre à longueur de discours. Une gageure, surtout à la lecture d’un sondage Odoxa publié ce week-end qui révèle que le président des Républicains est très loin dans le classement des personnalités politiques étant perçues comme les « plus proches des préoccupations de la France rurale » : avec 15 % seulement, il est devancé par Marine Le Pen, Emmanuel Macron (30 %) et Jean-Luc Mélenchon (36 %).
Des associations et sympathisants se sont rassemblés le 4 avril 2016 dans le 16e arrondissement de Paris pour rendre un dernier hommage à Fidel Castro, le père de la Révolution cubaine, décédé le 25 novembre 2016. Un hommage organisé place José-Marti, le fondateur du parti révolutionnaire cubain. Castro avait abandonné en avril 2011 ses dernières responsabilités officielles, en cédant son poste de premier secrétaire du Parti communiste de Cuba à Raul, numéro deux du parti depuis sa fondation en 1965. L’ex-président cubain avait totalement disparu des écrans cubains entre février 2014 et avril 2015, ce qui avait alimenté de nombreuses rumeurs sur son état de santé. Mais depuis un an et demi, même si ses déplacement restaient limités, il avait recommencé à publier des « réflexions » et s’était remis à recevoir chez lui personnalités et dignitaires étrangers. Son décès survient à peine deux ans après l’annonce historique du rapprochement entre Cuba et les États-Unis, initiée par Barack Obama et Raul Castro.
A man holds a sign as dozens gather in Paris on December 4, 2016 to pay their last respects to Cuban revolutionary Fidel Castro, who died on November 25.
Une marée humaine de près de 1,5 million de personnes et une cinquantaine de chefs d’Etat et de gouvernement le dimanche 11 janvier 2015 après-midi : une marche immense et inédite d’hommage aux 17 personnes tuées par trois djihadistes français. Dirigeants du monde entier, personnalités, partis, syndicats, groupes religieux juifs, chrétiens, musulmans, associations mais surtout simples citoyens constituent cette foule monstre. La place de la République, lieu de départ de la manifestation, était noire de monde au début de la marche qui a débuté vers 15 h, sous très forte surveillance policière. Des quatre coins de Paris convergeaient des dizaines de milliers de personnes, avec des métros complètement saturés et des bus à l’arrêt.
Des milliers de manifestants s’étaient amassés dans un vaste périmètre autour de la place, avec de nombreuses pancartes « Je suis Charlie ». « Charlie, Liberté ! », scandait la foule, où flottaient de nombreux drapeaux français vendus à la sauvette, mais aussi d’autres étrangers.