L’embrasement de Notre-Dame de Paris a provoqué une forme d’union nationale dans le monde politique : unanime manifestation de solidarité envers les catholiques qui célèbrent la semaine sainte et soutien à l’initiative gouvernementale de lancer une souscription nationale. Plusieurs formations politiques ont mis, mardi matin, la campagne européenne entre parenthèses. Tête de liste LREM, Nathalie Loiseau suspend sa campagne « jusqu’à nouvel ordre ». L’eurodéputé et membre dirigeant du Rassemblement national, Nicolas Bay, a écourté mardi un point presse au Parlement européen à Strasbourg et annoncé « 24 heures de trêve parce que nous sommes en deuil d’un joyau de notre patrimoine national ». Laurent Wauquiez, président des Républicains, et François-Xavier Bellamy ont annulé leur déplacement et meeting qui devait se tenir mardi 16 avril à Nîmes. Source : ► www.la-croix.com
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L’embrasement de Notre-Dame de Paris a provoqué une forme d’union nationale dans le monde politique : unanime manifestation de solidarité envers les catholiques qui célèbrent la semaine sainte et soutien à l’initiative gouvernementale de lancer une souscription nationale. Plusieurs formations politiques ont mis, mardi matin, la campagne européenne entre parenthèses. Tête de liste LREM, Nathalie Loiseau suspend sa campagne « jusqu’à nouvel ordre ». L’eurodéputé et membre dirigeant du Rassemblement national, Nicolas Bay, a écourté mardi un point presse au Parlement européen à Strasbourg et annoncé « 24 heures de trêve parce que nous sommes en deuil d’un joyau de notre patrimoine national ». Laurent Wauquiez, président des Républicains, et François-Xavier Bellamy ont annulé leur déplacement et meeting qui devait se tenir mardi 16 avril à Nîmes. Source : ► www.la-croix.com
Le procureur de Paris Rémy Heitz a expliqué qu’il y avait « eu une première alerte à 18 h 20, mais aucun départ de feu n’a été constaté ».
« Entre-temps, l’église avait été évacuée puisqu’une messe avait débuté peu avant », a-t-il ajouté. Le feu s’est rapidement propagé au toit, dévorant la charpente, longue de plus de 100 mètres. Baptisée « la forêt » en raison du nombre impressionnant de poutres nécessaires à sa confection, provenant chacune d’un chêne différent, elle avait été construite entre 1220 et 1240.
400 pompiers et 18 lances à incendie ont été mobilisés pour sauver l’édifice, les pompiers n’hésitant pas à pomper de l’eau directement dans la Seine, située à quelques dizaines de mètres.
Deux policiers et un sapeur-pompier ont été légèrement blessés.
Ce chef-d’œuvre de la Renaissance a été sculpté dans le marbre blanc vers 1550 et est attribué à Nicolas Leprince, l’un des élèves de Germain Pilon, le sculpteur des tombes des rois de France au XVIe siècle. « C’est une sculpture digne des plus belles œuvres du Louvre », explique Christian Olivereau, le conservateur des antiquités et objets d’art du Conseil général du Val-d’Oise. «
En France, il n’existe que 44 sculptures décrivant cette scène religieuse de la Mise au tombeau du Christ. Et ici, les personnages représentés à taille humaine sont d’un réalisme saisissant ».
Sur le site de Michel Stoupak : l’article.
Décidée en 2007 entre Nicolas Sarkozy et Vladimir Poutine, la construction, au pied de la Tour-Eiffel, de cet ensemble architectural coiffé de cinq bulbes dorés devait fournir à l’Église russe
– 150 millions de fidèles, soit la moitié de l’orthodoxie mondiale – une vitrine aussi prestigieuse qu’inédite en Occident.
D’une certaine manière, l’objectif est atteint. De retour sur le devant de la scène russe et mondiale après plus de soixante-dix ans de persécution par le régime soviétique, cette Église mal connue en France est désormais assurée de drainer l’attention. La magnificence du projet – retoqué une première fois par une municipalité parisienne réticente –, son emplacement dans le quartier le plus touristique de la capitale concourent à poser un signe « égal » entre Russie et orthodoxie, alors que la galaxie orthodoxe compte en réalité quatorze Églises, toutes placées sous la primauté symbolique du patriarche œcuménique de Constantinople.
Seule ombre au tableau pour une Église russe déjà réputée pour sa proximité avec le pouvoir moscovite, l’édifice est entre-temps devenu une annexe de l’ambassade de la Fédération de Russie. Cette inauguration religieuse sans Poutine fournit au patriarche Kirill l’occasion de marquer son territoire, la frontière entre l’usage à la fois cultuel et culturel du site – censé abriter un centre culturel et une école – n’étant pas clairement définie. La cathédrale du quai Branly est emblématique des défis et ambiguïtés qui caractérisent l’orthodoxie russe. Cette Église, dont les têtes pensantes avaient fui la révolution bolchevique en 1917 avant de contribuer depuis leur exil parisien à l’essor d’une riche tradition œcuménique autour de l’Institut Saint-Serge , a bel ; et bien failli disparaître sous la terreur soviétique. Fils et petit-fils de prêtres morts au goulag, le patriarche Kirill s’est donné pour tâche de la ramener au premier plan, d’abord comme responsable des relations extérieures du patriarcat de Moscou, puis comme patriarche depuis 2008. Sous sa houlette et avec l’appui du Kremlin, l’Église russe a connu un essor spectaculaire. Dernière institution à couvrir le territoire de l’ex-URSS, elle a triplé le nombre de ses diocèses. Des centaines d’églises et de monastères sont construits ou rouverts chaque année. Moscou a aussi ramené dans son giron la quasi-totalité des Églises russes hors frontières – États-Unis, Amérique latine, Asie – qui s’étaient séparées d’elle durant la guerre froide.
Le développement de la présence russe orthodoxe en Chine, en Afrique, mais aussi au Proche-Orient sert d’autant mieux l’influence russe que les paroisses deviennent de véritables délégations culturelles. Sa récente rencontre avec le pape François confère à Kirill une stature de leader religieux planétaire, en mesure de disputer au patriarche œcuménique de Constantinople, Bartholomée, son leadership sur l’orthodoxie. Mais cette visibilité nouvelle masque une réalité plus nuancée. Si la fameuse « âme russe » qui fascine tant l’Occident ne peut être séparée de l’orthodoxie, le taux de pratique en Russie et dans l’espace russe n’excède guère 8 % et seuls deux Russes sur trois se considèrent orthodoxes. « Ce sont là les stigmates de trois générations qui n’ont pas été formées dans la religion », explique à Moscou Alexandre Kyrlezhev, membre de la commission biblique et théologique de l’Église orthodoxe russe.
Orthodox priests walk around a new Russian cathedral in Paris on December 4, 2016 to bless it.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet (16 photos).
Ouverture: ƒ/3.2
Appareil photo: Canon EOS-1D X
Prise de vue: 17mai 2014
Flash actif: non
Focale: 16 mm
ISO: 250
Localisation: 48° 51.5948′ 0″ N 2° 21.2249′ 0″ E
Vitesse d’obturation: 1/800 s
Une procession s’est déroulée dans le cœur de Paris le 17 mai 2014 pour célébrer le 8e centenaire de la naissance de Saint-Louis.
Parti de l’église Saint-Eugène, dans le 9e arrondissement, le cortège, au milieu duquel était portée une statue de Saint-Louis, a rejoint la cathédrale Notre-Dame de Paris, pour une ostension de la Sainte couronne d’épines et des reliques de saint Louis.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet
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Le prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou, aîné des descendants de St Louis et chef de la Maison Royale de France, a participé à la procession organisée le 17 mai 2014 à Paris pour célébrer le 8ème centenaire de la naissance de Saint-Louis. Partie de l’église Saint-Eugène, dans le 9e arrondissement, la procession, au milieu de laquelle était portée une statue de Saint-Louis, a rejoint la cathédrale Notre-Dame de Paris ou elle a été accueillie par Monseigneur Renauld de Dinechin et Henri d’Orléans, Comte de Paris, pour une ostension de la Sainte couronne d’épines et des reliques de saint Louis.
Sur le site de Michel Stoupak : l'article
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La lumière est synonyme de vie, mais sa dimension immatérielle, son caractère changeant, son invisibilité expliquent sa fascination sur l’homme. La cathédrale gothique est une démonstration d’approche conceptuelle de la lumière dans l’architecture. La lumière diffuse qui pénètre à travers les vitraux, ses reflets dans l’édifice, sanctifient et embellissent la cathédrale. Le vitrail devient un filtre entre l’intérieur et l’extérieur, entre Dieu et les hommes. L’église, maison de Dieu, doit pouvoir manifester la magnificence divine. Pénétrée par la lumière, elle transfigure la beauté divine.
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© Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Samedi 15 février 2014, à 15 h 22. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III ; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250e de s, ƒ/8, ISO 1600. Flash: non
CLIQUEZ SUR LA PREMIÈRE IMAGETTE. Diaporama automatique débrayable. Cliquez sur : = Pause = Lecture. |
► Version photoblog 🛈Mêmes photos que ci-dessus |
La cathédrale Sainte-Marie d’Urakami, le principal lieu de culte catholique de Nagasaki est touchée et totalement détruite. De nombreux fidèles qui s’y étaient rassemblés pour une cérémonie liturgique préparatoire à la fête de l’Assomption y perdront la vie. Dans l’église détruite, seul un petit bout de statue, représentant une tête d’ange, fut miraculeusement épargné. En 1976, ce vestige fut donné par la ville de Nagasaki à l’UNESCO pour le 30° anniversaire de l’organisation. Il est exposé depuis au siège de l’Unesco, à Paris, face au jardin japonais, baptisé Jardin de la Paix.
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© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Lundi 20 mai 2013, à 15 h 03. Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x ; focale: 185 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250e de s, f/6.3, ISO 1000. Flash: non
PLEIN ÉCRAN : touche F11 pour l'activer (et le désactiver après visionnage). PUIS CLIQUEZ SUR LA PREMIÈRE IMAGETTE. |
Sous un ciel bas automnal et une pluie quasi continue, les pèlerins, principalement des jeunes et des familles, sont partis de la cathédrale de Chartres, à l’issue d’une messe, avant de rejoindre la capitale le lundi 20 mai 2013, après une centaine de kilomètres.
Une dernière étape qui les a conduits de la pelouse du bois de Boulogne aux Invalides, en passant par le très chic 16e arrondissement, le Trocadéro et la Tour Eiffel.
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© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Dimanche 10 février 2013, à 13 h 42. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF24-70mm f/2.8L II USM ; focale: 70 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/80 s, f/8, ISO 25600. Flash: non
PLEIN ÉCRAN : touche F11 pour l'activer et le désactiver. PUIS CLIQUEZ SUR LA GRANDE IMAGE. |
Ce projet est l’un des événements majeurs du 850e anniversaire de Notre-Dame de Paris. Les quatre cloches de 1856, propriété de l’État, ont été déposées le 20 février 2012 et sont désormais entreposées.
Un nouvel ensemble, composé de huit nouvelles cloches pour la tour nord et d’un nouveau bourdon pour la tour sud, qui prendra place aux côtés du grand bourdon Emmanuel, a été fabriqué. Les cloches ont été dévoilées au public le samedi 2 février 2013 afin d’être bénites et sonneront pour la première fois le 23 mars 2013 pour la solennité des Rameaux. Cet ambitieux projet permettra à la cathédrale Notre-Dame de Paris de retrouver le paysage sonore qu’elle possédait à la fin du XVIIIe siècle, patrimoine de tout premier ordre qui lui manquait et qui, par le passé, a largement participé à la renommée de l’édifice.
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© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Mardi 25 décembre 2012, à 16 h 01. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: Zeiss Distagon T* 2.8/15 ZE ; focale: 15 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/8, ISO 250, Compensation: +1. Flash: non
Pour ses 850 ans, la cathédrale Notre-Dame de Paris crée l’événement. Une impressionnante structure de 13 mètres de hauteur se dresse en effet devant l’édifice pour une durée d’un an et propose un parcours qualifié de chemin du jubilé.
Une fois traversée cette structure, dont les flancs nord et sud sont ornés de deux vitraux fabriqués en 1937 par le maître-verrier Jacques le Chevallier, une large rampe conduit le visiteur sur une terrasse à plus de 5 mètres du sol offrant une vue imprenable sur la cathédrale.
L’installation érigée sur le parvis se tient en lieu et place de l’ancienne rue Neuve Notre-Dame, disparue lors des grands travaux d’Hausmann. Au Moyen-Âge, de part et d’autre de ce qui est aujourd’hui la Place Jean-Paul II, se trouvaient de petites maisons ; les premières se dressaient à quelques mètres seulement de la façade de la cathédrale.
L’Hôtel-Dieu, quant à lui, se situait du côté de la Seine.
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