Flames and smoke are seen billowing from the roof at Notre-Dame Cathedral in Paris on April 15, 2019. A fire broke out at the landmark Notre-Dame Cathedral in central Paris, potentially involving renovation works being carried out at the site, the fire service said.Images posted on social media showed flames and huge clouds of smoke billowing above the roof of the gothic cathedral, the most visited historic monument in Europe.
Prise de vue: Lundi 15 avril 2019, à 19 h 45. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 400mm f/4 DO IS II USM; focale: 400 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/4, ISO 2500, Compensation: -4/3. Flash: non
Résumé : 196 mots. Un important incendie s’est déclaré le lundi 15 avril, vers 18 h 50 à la cathédrale Notre-Dame de Paris en travaux. La charpente a été emportée et la flèche de l’édifice s’est effondrée mais la structure de l’édifice est sauvée et préservée. Le feu est parti des combles de la cathédrale vers 18 h 50. Le procureur de Paris Rémy Heitz a expliqué qu’il y avait « eu une première alerte à 18 h 20, mais aucun départ de feu n’a été constaté ». « Entre-temps, l’église avait été évacuée puisqu’une messe avait débuté peu avant », a-t-il ajouté. Le feu s’est rapidement propagé au toit, dévorant la charpente, longue de plus de 100 mètres. Baptisée « la forêt » en raison du nombre impressionnant de poutres nécessaires à sa confection, provenant chacune d’un chêne différent, elle avait été construite entre 1220 et 1240. 400 pompiers et 18 lances à incendie ont été mobilisés pour sauver l’édifice, les pompiers n’hésitant pas à pomper de l’eau directement dans la Seine, située à quelques dizaines de mètres. Deux policiers et un sapeur-pompier ont été légèrement blessés.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Jeudi 14 décembre 2017, à 15 h 49. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/4, ISO 320, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT : 101 mots Anne Hidalgo, maire de Paris, a inauguré le 14 décembre la plus grande centrale photovoltaïque sur toiture d’Ile-de-France. Près de 11 800 m² de panneaux photovoltaïques viennent d’être installés par la collectivité parisienne sur le toit de son réservoir d’eau potable situé à L’Haÿ-les-Roses. Représentant un total de
10 000 panneaux solaires, l’ensemble permettra de produire 1 600 MWh sur une année, soit l’équivalent de la consommation annuelle de 500 foyers français, hors chauffage et eau chaude sanitaire. Ils viennent s’ajouter aux 700 m² de panneaux déjà posés en façade…
Inauguration by the Mayor of Paris, Anne Hidalgo (3rd L), of the largest rooftop photovoltaic power station of the region Ile-de-France, on the roof of the drinking water reservoir in L'Hay-les-Roses, south of Paris, on December 14, 2017.
Alors que les villes poursuivent leur expansion, la réintroduction du végétal s’est muée en utopie urbaine. Le verdissement des toits s’accélère : un million de mètres carrés de nouvelles toitures végétalisées a été construit en France en 2012, autant aux Etats-Unis et dix fois plus en Allemagne, pionnière dans le domaine. A Paris, 22 hectares de toits – sur un potentiel de 80 ha – sont végétalisés , comme ici aux Docks, la Cité de la Mode et du Design. Les défenseurs de cette « canopée urbaine » égrènent sans cesse ses atouts, tant pour le bâtiment que pour la ville. Parmi les gains avérés : la capacité à retenir l’eau de pluie – jusqu’à 90 % avec un substrat d’au moins 12 cm –, ce qui évite l’engorgement des réseaux d’évacuation, une réduction du bruit (de 15 à 20 décibels) et le doublement, en moyenne, de la durée de vie de l’étanchéité des toitures. Quant à l’isolation thermique, l’impact s’avère en réalité limité. « L’hiver, l’effet du toit végétalisé est nul, tandis que l’été on peut atteindre jusqu’à 10 % de baisse de la consommation énergétique à condition que le substrat reste humide, ce qui se révèle difficile en cas de fortes chaleurs », poursuit Maeva Sabre, ingénieur chef de projet au Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB).
L’association « Sauvons les serres d’Auteuil » appelait à manifester devant ces serres et à proximité du stade de Roland-Garros, le 7 juin 2015, au moment de la finale Hommes de tennis.
À la grande satisfaction de la Fédération Française de Tennis, le Premier ministre Manuel Valls a donné le mercredi 3 juin 2015 le feu vert du gouvernement au projet d’extension, qui prévoit de faire passer la surface du site de 8,5 à 12,5 ha et de doter le court Philippe-Chatrier d’un toit amovible, amputant d’un hectare le jardin des serres d’Auteuil. Yves Contassot, conseiller Europe Écologie Les Verts de Paris, était notamment présent.
Tens of ecologist or heritage activists demonstrated in Paris, on June 7, 2015, during the final of the French Open, to protest against a project of extension of Roland Garros site which could destroy part of the Auteuil gardens and its greenhouses.