Déjà quasiment prévendu, ce datacenter représentant un investissement de 73 millions de dollars et d’une capacité de 850 baies, dans sa première phase, accueille déjà plus de 200 fournisseurs de services cloud. Disposant d’une puissance de consommation de 16 mégawatts, ce sera le datacenter parisien d’Equinix offrant la plus forte densité au mètre carré.
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Déjà quasiment prévendu, ce datacenter représentant un investissement de 73 millions de dollars et d’une capacité de 850 baies, dans sa première phase, accueille déjà plus de 200 fournisseurs de services cloud. Disposant d’une puissance de consommation de 16 mégawatts, ce sera le datacenter parisien d’Equinix offrant la plus forte densité au mètre carré.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Jeudi 14 décembre 2017, à 15 h 49. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/4, ISO 320, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT : 101 mots
Anne Hidalgo, maire de Paris, a inauguré le 14 décembre la plus grande centrale photovoltaïque sur toiture d’Ile-de-France. Près de 11 800 m² de panneaux photovoltaïques viennent d’être installés par la collectivité parisienne sur le toit de son réservoir d’eau potable situé à L’Haÿ-les-Roses. Représentant un total de
10 000 panneaux solaires, l’ensemble permettra de produire 1 600 MWh sur une année, soit l’équivalent de la consommation annuelle de 500 foyers français, hors chauffage et eau chaude sanitaire. Ils viennent s’ajouter aux 700 m² de panneaux déjà posés en façade…
Inauguration by the Mayor of Paris, Anne Hidalgo (3rd L), of the largest rooftop photovoltaic power station of the region Ile-de-France, on the roof of the drinking water reservoir in L'Hay-les-Roses, south of Paris, on December 14, 2017.
Alors que les villes poursuivent leur expansion, la réintroduction du végétal s’est muée en utopie urbaine. Le verdissement des toits s’accélère : un million de mètres carrés de nouvelles toitures végétalisées a été construit en France en 2012, autant aux Etats-Unis et dix fois plus en Allemagne, pionnière dans le domaine. A Paris, 22 hectares de toits – sur un potentiel de 80 ha – sont végétalisés , comme ici aux Docks, la Cité de la Mode et du Design.
Les défenseurs de cette « canopée urbaine » égrènent sans cesse ses atouts, tant pour le bâtiment que pour la ville. Parmi les gains avérés : la capacité à retenir l’eau de pluie – jusqu’à 90 % avec un substrat d’au moins 12 cm –, ce qui évite l’engorgement des réseaux d’évacuation, une réduction du bruit (de 15 à 20 décibels) et le doublement, en moyenne, de la durée de vie de l’étanchéité des toitures. Quant à l’isolation thermique, l’impact s’avère en réalité limité. « L’hiver, l’effet du toit végétalisé est nul, tandis que l’été on peut atteindre jusqu’à 10 % de baisse de la consommation énergétique à condition que le substrat reste humide, ce qui se révèle difficile en cas de fortes chaleurs », poursuit Maeva Sabre, ingénieur chef de projet au Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB).
Sur le site de Michel Stoupak : l’article.
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Arrivé dès 7 h pour la traite, le chef de l’État s’est exclamé: « Le bon lait, ça fait du bon fromage ! ». Il a ensuite écouté les doléances des syndicats agricoles autour d’un petit déjeuner avant d’aborder le sujet qui inquiète : la traçabilité alimentaire. La grand-messe annuelle du monde agricole français célèbre en effet son cinquantenaire dans un climat d’inquiétude du secteur, que le scandale de la viande de cheval camouflée en bœuf a encore assombri.
François Hollande s’est employé, durant les 10 heures qu’a duré sa visite au Salon, à rassurer les consommateurs échaudés par ce dernier scandale en exigeant l’« étiquetage obligatoire » de l’origine des viandes sur les plats cuisinés et a promis un soutien « exceptionnel » aux éleveurs laitiers.
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