© Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Samedi 15 février 2014, à 15 h 22. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III ; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250e de s, ƒ/8, ISO 1600. Flash: non
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C’est à Urakami, entre les deux usines d’armements appartenant à Mitsubishi, qu’explose le 9 août 1945, peu après 11 h du matin, à quelque 450 mètres d’altitude la seconde bombe atomique larguée par l’armée américaine.
La cathédrale Sainte-Marie d’Urakami, le principal lieu de culte catholique de Nagasaki est touchée et totalement détruite. De nombreux fidèles qui s’y étaient rassemblés pour une cérémonie liturgique préparatoire à la fête de l’Assomption y perdront la vie. Dans l’église détruite, seul un petit bout de statue, représentant une tête d’ange, fut miraculeusement épargné. En 1976, ce vestige fut donné par la ville de Nagasaki à l’UNESCO pour le 30° anniversaire de l’organisation. Il est exposé depuis au siège de l’Unesco, à Paris, face au jardin japonais, baptisé Jardin de la Paix.
La cathédrale Sainte-Marie d’Urakami, le principal lieu de culte catholique de Nagasaki est touchée et totalement détruite. De nombreux fidèles qui s’y étaient rassemblés pour une cérémonie liturgique préparatoire à la fête de l’Assomption y perdront la vie. Dans l’église détruite, seul un petit bout de statue, représentant une tête d’ange, fut miraculeusement épargné. En 1976, ce vestige fut donné par la ville de Nagasaki à l’UNESCO pour le 30° anniversaire de l’organisation. Il est exposé depuis au siège de l’Unesco, à Paris, face au jardin japonais, baptisé Jardin de la Paix.
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