President of the French region of Ile-de-France Valerie Pecresse (C) inaugurates the new tramway T9 tram line between Porte de Choisy and Orly City, southeastern Paris, on April 10, 2021 at Porte de Choisy, in Paris. Line T9 connects Porte de Choisy Paris Métro station and the centre of Orly (Place Gaston Viens) serving suburbs in the south-east of Paris. Line T9 will not serve Orly Airport though which is currently served by line T7. The line will have a length of approximately 10 km (6.2 mi) and 19 stations.
Prise de vue: Samedi 10 avril 2021, à 9 h 54. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Program AE, 1/250 sec, f/7.1, ISO 400, Compensation: -1/3. Flash: oui
Extrait : 240 mots. La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse a assisté samedi 10 avril 2021 à la mise en service du tramway T9, première ligne qui ne sera pas exploitée par la RATP mais par un concurrent, en l’occurence Keolis. « C’est la première ligne de tram mise en concurrence ! », s’est-elle félicitée lors du voyage inaugural. Ce tram relie sur 10 km la Porte de Choisy, à Paris, à Orly-Ville , remplaçant sur l’essentiel de son parcours l’autobus le plus chargé de la RATP en banlieue, le 183. Il a coûté 404 millions d’euros, auxquels s’ajoutent 75 millions pour les rames, fournies par Alstom. Île-de-France Mobilités (IDFM), l’autorité régionale des transports, a entrepris de mettre en concurrence tout le réseau francilien d’ici à 2040. Avant cela, c’est le monopole de la SNCF sur son secteur qui va disparaître par étapes en Île-de-France, entre 2023 et 2033. L’autorité régionale doit aussi choisir des exploitants pour les futures lignes du métro du Grand Paris. « L’ouverture à la concurrence permet d’avoir des rendez-vous réguliers, ce qui permet de contrôler la qualité. Quand on a un opérateur qui exploite une ligne depuis tout le temps et jusqu’à l’éternité, on ne peut pas le sanctionner s’il n’est pas au niveau », a relevé Valérie Pécresse, promettant « beaucoup plus de qualité pour les voyageurs ». Source.
À quelques heures du premier tour des élections présidentielles, la guerre des affiches de campagne bat son plein dans la capitale, où les surfaces disponibles sont rares et suscitent une forte concurrence entre les différents partis. On les trouve donc sur les panneaux d’affichage public où elles sont parfaitement autorisées, mais surtout sur des espaces interdits à l’affichage publicitaire tels des pans de mur privés, des réverbères, des tableaux électriques, le mobilier urbain. À l’heure où la campagne est de plus en plus virtuelle, l’affichage des partis ne sert plus vraiment à informer. « C’est davantage une manière pour les militants de marquer leur territoire et d’indiquer à leurs adversaires leur puissance », estime la députée Catherine Troallic (PS). La loi interdit tout affichage à caractère électoral en dehors des panneaux, et les contrevenants s’exposent à des amendes. Le passage des militants de François Asselineau, placardant les voies de Charleville-Mézières tous azimuts, déclenche l’indignation de Salah Chaouchi, le Monsieur Propre de la ville. « Ce n’est pas parce qu’on est candidat qu’il faut souiller notre ville ! » Coût de l’amende pour le candidat Asselineau : 905 €.
« Nous appliquons le principe pollueur-payeur, sans distinction entre les partis» , précise l’élu. Même principe à Lille (Nord), où la mairie socialiste a décidé de faire payer les partis des candidats placardés sur ces affiches sauvages. A Montpellier, on croule aussi sous l’affichage sauvage ! « 8 000 affiches électorales ont déjà été retirées. Et 320 tags à caractère politique », explique-t-on à Montpellier Métropole. La capitale n’est pas épargnée par les candidats en mal de visibilité. Cependant, ils n’y sont pas poursuivis. Par « respect pour la vitalité démocratique », dit-on à la Ville. Paris appelle les partis à ne pas recouvrir le mobilier urbain, ni les palissades des chantiers, mais « ne peut pas être derrière chaque colleur ». Les services de la voirie sont davantage préoccupés par les marques qui polluent les rues. Un « fléau » pour certains quartiers, où les enseignes placardent les murs et taguent les trottoirs. Cet affichage sauvage équivaut à de vraies campagnes de publicité, effectuées à très bas coût pour les entreprises. Le budget annuel de nettoyage pour la capitale est de 145 000 € pour retirer ces campagnes éphémères, affichage politique compris.
Campaign posters are seen torn and covered up in the streets of Paris, France on April 22, 2017, the eve of the first round of the election.
Une centaine de taxis ont manifesté le samedi 15 avril 2017 à Paris pour défendre leur profession avant de déposer symboliquement devant le ministère des Transports leurs « lumineux », qui signalent en vert et rouge leur disponibilité. Rassemblés à partir de 10 h place Maillot dans l’ouest de la capitale à l’appel du syndicat SUD-taxi, ils ont convergé très lentement vers le ministère, boulevard Saint-Germain dans l’après-midi dans un concert de klaxons et une ambiance bon enfant, sous haute escorte policière, en s’arrêtant à de nombreuses reprises.
Le syndicat dénonce le non respect de la loi Thévenoud de 2014 régulant l’activité du transport de personnes, notamment le respect du monopole des taxis pour la « maraude », dont il exige « l’application ferme et immédiate ». Il réclame également la mise en oeuvre d’un fonds de garantie annoncé en avril 2016 par le gouvernement pour compenser la chute de la valeur des licences, face au développement des VTC (voiture de transport avec chauffeur). Faute de réponses satisfaisantes, le mouvement de samedi pourrait laisser la place à des « blocages durs », notamment autour des gares et aéroports.
Taxi drivers hold their taxi lights during a protest outside the office of Transportation Ministry on Boulevard Saint-Germain in Paris, France on April, 15, 2017.
Regroupant le Salon professionnel de l’éducation et le Salon de l’orientation des jeunes, le Salon européen de l’éducation constitue le rendez-vous annuel de toute la communauté éducative. Les armées étaient présentes pour sa 18e édition, le 19 novembre 2016, à Paris Expo, Porte de Versailles. Avec la professionnalisation des armées, le recrutement du personnel militaire est confronté à une concurrence permanente sur le marché de l’emploi. Il s’agit désormais pour les armées d’attirer une ressource vers un métier caractérisé notamment par des sujétions que ne connaît pas le secteur civil. Pour cela, elles doivent promouvoir auprès de l’ensemble des jeunes, et particulièrement ceux issus de milieux modestes dans le cadre du plan égalité des chances, les valeurs portées par l’institution, les responsabilités rapidement confiées, les perspectives de promotion sociale qu’assurent les capacités de formation continue et la stabilité professionnelle.
Données techniques de cette photo : Ouverture: ƒ/7 Appareil photo: Canon EOS-1D X Prise de vue: 14 juin 2014 Flash actif: non Focale: 18 mm ISO: 800 Localisation: 48° 51.9193′ 0″ N 2° 20.0613′ 0″ E Vitesse d’obturation: 1/1000 s
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Un rassemblement d’usagers de la compagnie Air Algérie s’est tenu le 14 juin 2014 devant l’agence de l’avenue de l’Opéra, dans le 1er arrondissement de Paris. Organisé à l’initiative du collectif Contre la cherté du transport vers l’Algérie (CCTA), ce mouvement revendiquait une baisse immédiate, significative, durable et définitive des tarifs du transport aérien et maritime vers l’Algérie par l’ouverture effective du marché du transport à la concurrence, notamment aux compagnies « Low-cost ».
Paris : mobilisation contre l’islamophobie Sam 25.01.2014. Un rassemblement contre l’islamophobie, initialement prévu devant le ministère de l’Intérieur place Beauvau...
Egypte : manifestation pro-Morsi à Paris Sam 24.08.2013. Une centaine de personnes ont manifesté sur l’esplanade des Invalides, au centre de Paris, en face du ministère des Affaires étrangères...
Le Ritz, célèbre grand hôtel parisien de la place Vendôme, dans le 8e arrondissement de Paris, a fermé ses portes le 1er août 2012 pour un peu plus de deux ans : 27 mois de travaux qui lui permettront de prétendre à la classe officiellement labellisée Palace. Selon Bouygues Construction, qui a remporté l’appel d’offres pour 140 millions d’euros, « la rénovation sera totale, des zones historiques à la décoration, tout en préservant l’essentiel, l’esprit du mythique hôtel parisien ». Un grand lifting s’imposait, d’autant qu’aucune grosse réfection n’avait eu lieu ces 30 dernières années alors que la nouvelle concurrence asiatique dans Paris est sans merci. Mandarin Oriental et Shangri-La ont ouvert, coup sur coup, des hôtels grands luxe au cœur de la capitale et attendent maintenant le titre officiel de palace. Ce sera ensuite au tour du Peninsula, avenue Kléber, le 1er août 2014.