Driving school vehicles are parked Place d'Italie, in Paris, on February 11, 2019, as driving schools managers protest against a parliamentary report which could favour online driving school platforms. The traditional driving schools condemn provisions that would unduly strengthen the platform for learning to drive on the Internet including the proposal to replace the national approval of the licensing department. Since Emmanuel Macron has promised to lower the price of a driving license, car schools say that they decrease enrollment between 40% and 60%: students prefer to wait, but at this rate, some will disappear before new measures are implemented.
Prise de vue: Lundi 11 février 2019, à 11 h 37. Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 200 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/7.1, ISO 640, Compensation: -1/3. Flash: non
Résumé : 189 mots. Des patrons d’auto-écoles se sont mobilisés, lundi 11 février 2019, dans plusieurs villes de France à l’appel de leurs trois principaux syndicats, contre l’« ubérisation » en marche de leur profession, alors qu’un rapport parlementaire pourrait menacer, selon eux, leur réseau au profit des plates-formes en ligne. Il n’a, pour l’instant, pas été rendu public, mais les trois organisations de la profession – le Conseil national des professions de l’automobile, l’Union nationale intersyndicale des enseignants de la conduite, et l’Union nationale des indépendants de la conduite –, qui s’étaient déjà alarmées en novembre des déclarations d’Emmanuel Macron annonçant une « baisse drastique » du coût du permis, font front uni. Les syndicats redoutent une « ubérisation » de leur métier avec la fin de l’agrément départemental, au profit d’un agrément national qui abandonnerait l’obligation d’avoir un local. De quoi favoriser les plateformes en ligne, qui emploient des moniteurs auto-entrepreneurs. Les auto-écoles sont depuis de longues années soumises au contrôle du préfet, qui encadre les activités, le niveau de compétences des auto-écoles et leur implantation sur le territoire. Source : www.lemonde.fr, le lien à la fin de l'article complet.
Une centaine de taxis ont manifesté le samedi 15 avril 2017 à Paris pour défendre leur profession avant de déposer symboliquement devant le ministère des Transports leurs « lumineux », qui signalent en vert et rouge leur disponibilité. Rassemblés à partir de 10 h place Maillot dans l’ouest de la capitale à l’appel du syndicat SUD-taxi, ils ont convergé très lentement vers le ministère, boulevard Saint-Germain dans l’après-midi dans un concert de klaxons et une ambiance bon enfant, sous haute escorte policière, en s’arrêtant à de nombreuses reprises.
Le syndicat dénonce le non respect de la loi Thévenoud de 2014 régulant l’activité du transport de personnes, notamment le respect du monopole des taxis pour la « maraude », dont il exige « l’application ferme et immédiate ». Il réclame également la mise en oeuvre d’un fonds de garantie annoncé en avril 2016 par le gouvernement pour compenser la chute de la valeur des licences, face au développement des VTC (voiture de transport avec chauffeur). Faute de réponses satisfaisantes, le mouvement de samedi pourrait laisser la place à des « blocages durs », notamment autour des gares et aéroports.
Taxi drivers hold their taxi lights during a protest outside the office of Transportation Ministry on Boulevard Saint-Germain in Paris, France on April, 15, 2017.