Résumé : 189 mots.
Des patrons d’auto-écoles se sont mobilisés, lundi 11 février 2019, dans plusieurs villes de France à l’appel de leurs trois principaux syndicats, contre l’« ubérisation » en marche de leur profession, alors qu’un rapport parlementaire pourrait menacer, selon eux, leur réseau au profit des plates-formes en ligne.
Il n’a, pour l’instant, pas été rendu public, mais les trois organisations de la profession – le Conseil national des professions de l’automobile, l’Union nationale intersyndicale des enseignants de la conduite, et l’Union nationale des indépendants de la conduite –, qui s’étaient déjà alarmées en novembre des déclarations d’Emmanuel Macron annonçant une « baisse drastique » du coût du permis, font front uni.
Les syndicats redoutent une « ubérisation » de leur métier avec la fin de l’agrément départemental, au profit d’un agrément national qui abandonnerait l’obligation d’avoir un local.
De quoi favoriser les plateformes en ligne, qui emploient des moniteurs auto-entrepreneurs. Les auto-écoles sont depuis de longues années soumises au contrôle du préfet, qui encadre les activités, le niveau de compétences des auto-écoles et leur implantation sur le territoire.
Source : www.lemonde.fr, le lien à la fin de l'article complet.
Des patrons d’auto-écoles se sont mobilisés, lundi 11 février 2019, dans plusieurs villes de France à l’appel de leurs trois principaux syndicats, contre l’« ubérisation » en marche de leur profession, alors qu’un rapport parlementaire pourrait menacer, selon eux, leur réseau au profit des plates-formes en ligne.
Il n’a, pour l’instant, pas été rendu public, mais les trois organisations de la profession – le Conseil national des professions de l’automobile, l’Union nationale intersyndicale des enseignants de la conduite, et l’Union nationale des indépendants de la conduite –, qui s’étaient déjà alarmées en novembre des déclarations d’Emmanuel Macron annonçant une « baisse drastique » du coût du permis, font front uni.
Les syndicats redoutent une « ubérisation » de leur métier avec la fin de l’agrément départemental, au profit d’un agrément national qui abandonnerait l’obligation d’avoir un local.
De quoi favoriser les plateformes en ligne, qui emploient des moniteurs auto-entrepreneurs. Les auto-écoles sont depuis de longues années soumises au contrôle du préfet, qui encadre les activités, le niveau de compétences des auto-écoles et leur implantation sur le territoire.
Source : www.lemonde.fr, le lien à la fin de l'article complet.