Vingt-deux personnes ont été interpellées, dans la nuit du vendredi 15 au samedi 16 avril 2016, en marge de la « Nuit debout », après des violences contre les forces de l’ordre et des dégradations commises dans le nord-est de Paris, a annoncé la préfecture de police. Quelques manifestants ont été incommodés par des gaz lacrymogènes, et quatre policiers et gendarmes ont été blessés légèrement.
Alors que 3 000 personnes ont participé, dans la nuit du vendredi 15 au samedi 16 avril 2016, à la manifestation de la « Nuit debout », place de la République, « une centaine d’individus déterminés » ont rassemblé, vers 1 h 30, poubelles et autres panneaux de chantiers puis ont brûlé des palettes et des détritus, avant de jeter « à de nombreuses reprises » des projectiles (bouteilles, canettes, pavés) sur les forces de l’ordre, expliquait la préfecture de police dans un communiqué.
Celles-ci ont répliqué par des tirs de gaz lacrymogène puis ont repoussé hors de la place de la République « le groupe de casseurs », qui s’est dispersé dans le secteur des Buttes-Chaumont, dans le nord-est de la capitale, en commettant « un certain nombre de dégradations ». Deux agences bancaires et un chantier ont notamment été vandalisés sur son passage.
Vingt-deux personnes ont au total été interpellées pour « jets de projectiles, violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique, recel de vol », a indiqué la préfecture.
Alors que 3 000 personnes ont participé, dans la nuit du vendredi 15 au samedi 16 avril 2016, à la manifestation de la « Nuit debout », place de la République, « une centaine d’individus déterminés » ont rassemblé, vers 1 h 30, poubelles et autres panneaux de chantiers puis ont brûlé des palettes et des détritus, avant de jeter « à de nombreuses reprises » des projectiles (bouteilles, canettes, pavés) sur les forces de l’ordre, expliquait la préfecture de police dans un communiqué.
Celles-ci ont répliqué par des tirs de gaz lacrymogène puis ont repoussé hors de la place de la République « le groupe de casseurs », qui s’est dispersé dans le secteur des Buttes-Chaumont, dans le nord-est de la capitale, en commettant « un certain nombre de dégradations ». Deux agences bancaires et un chantier ont notamment été vandalisés sur son passage.
Vingt-deux personnes ont au total été interpellées pour « jets de projectiles, violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique, recel de vol », a indiqué la préfecture.
A newspaper stand is covered by graffitis reading ‘No advertising, no regret’ and ‘Objectified woman, citizen republic’ on Place de la République in Paris on April 16, 2016, outside the Nuit Debout (Night Rising) movement.
Sur le site de Michel Stoupak : l’article.