CGT union leader Philippe Martinez (C) walks behind a banner during a demonstration on December 10, 2019 in Paris as part of the sixth day of a strike of public transport operators SNCF and RATP employees over French government's plan to overhaul the country's retirement system. Unions have vowed to keep up the fight over the reforms, which are set to be finalised and published on December 11.
Prise de vue: Mardi 10 décembre 2019, à 15 h 12. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/800 sec, f/4.5, ISO 1600. Flash: non
Résumé : 138 mots. Il y a au moins un point sur lequel tout le monde est d’accord. Les manifestants étaient moins nombreux, ce mardi 10 décembre 2019, dans les rues du pays, pour dire leur opposition à la réforme des retraites voulue par Emmanuel Macron. La CGT a compté 885 000 manifestants en France, contre 1,5 million le jeudi 5 décembre, date du coup d’envoi de la mobilisation contre le projet gouvernemental. La baisse du nombre de manifestants a été observée dans toute la France, à Lyon, Marseille, Toulouse, ou Bordeaux, et dans l’Ouest. Le Premier ministre doit s’exprimer, ce mercredi, à midi, au Conseil économique, social et environnemental, pour détailler les contours d’une réforme jugée floue de gauche à droite et présenter une feuille de route qu’il commentera au 20 h de TF1. Source.
Secretary general of French Union Force Ouvriere (FO) Yves Veyrier (C) takes part in a rally in front the Montparnasse train station in Paris on October 8, 2019, to protest against proposed pension reforms. The government pension reforms aims to simplify the current system, with a standardised pension plan rather than the current version, which has 42 different schemes.
Prise de vue: Mardi 8 octobre 2019, à 13 h 54. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/640 sec, f/8, ISO 4000, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 258 mots. Yves Veyrier, le secrétaire général de Force Ouvrière, s’est rendu auprès de retraités qui manifestaient sous la pluie, entre Montparnasse et la rue de Varennes, contre les projets de réforme des retraites. Élu en novembre 2018 à l’âge de 60 ans, le numéro un de Force ouvrière a comme mission prioritaire de cicatriser les blessures causées par les récents scandales ayant ébranlé le syndicat, conduisant à la démission de Pascal Pavageau. Ce représentant de l’aile réformiste du syndicat a recueilli 46% des votes du parlement du syndicat, à peine deux points de plus que Christian Grolier, patron de la fonction publique, soutenu par l’aile contestataire et trotskiste, et 11% à Patrice Clos, numéro un de la fédération des transports et proche de Pavageau. Veyrier va devoir composer avec chacun, et ne disposera pas de réelle marge de manœuvre pour réformer FO. « Il est très structuré », assure un dirigeant du syndicat, « de plus c’est un fin connaisseur de l’appareil », ce qui sera sans doute utile pour préserver un semblant d’unité. S’il fait montre d’une grande courtoisie, il n’a jusqu’à présent jamais pris la lumière, restant dans un relatif anonymat. Le militant Veyrier gravit les échelons un à un, jusqu’à prendre la tête de sa fédération. Il rejoint la direction nationale en 2004, appelé par Jean-Claude Mailly au moment où celui-ci devient secrétaire général. Quand Pascal Pavageau devient numéro 1, Veyrier se voit confier les études prospectives et l’histoire de l’organisation. Un placard. Source.
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French union Force Ouvriere (FO) Confederal Secretary Pascal Pavageau (C) takes part in a rally called by several French workers unions on October 9, 2018 in Paris as part of a nationwide day of demonstrations against French President Emmanuel Macron’s policies.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35 mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/400 sec, f/8, ISO 100, Compensation: -4/3. Flash: non
Lycéens, étudiants, salariés et retraités étaient appelés ce mardi 9 octobre 2018 à faire grève et manifester dans toute la France, pour la première fois depuis la rentrée, afin de protester contre la « destruction du modèle social » du gouvernement et avec l’espoir d’organiser d’autres mobilisations par la suite. Pascal Pavageau, le secrétaire général de Force ouvrière, qui manifestait à Paris, a expliqué qu’il serait dans la rue « pas contre Emmanuel Macron » mais contre « la vision d’individualisation, de casse de notre modèle social, portée par le chef de l’Etat et son gouvernement ». « Il ne faut jamais se réjouir du fait qu’une manifestation soit un pseudo-échec quantitatif », a ajouté M. Pavageau, comme s’il anticipait une faible mobilisation.
French workers union CGT general secretary Philippe Martinez (center) takes part in a demonstration on April 19, 2018 in Paris, as part of a multi branch day of protest called by French unions CGT and Solidaires against French President’s reforms amid a rail strike and spreading student sit-ins in Paris, France on April 19, 2018.
La CGT voulait faire de ce 19 avril 2018 la journée de toutes les contestations. La CGT a appelé les différents secteurs à se réunir contre le gouvernement, comme les infirmiers ou les salariés de Carrefour, actuellement en pleine restructuration. Des étudiants ont également rejoint le cortège pour protester contre ce qu’ils considèrent être de la sélection à l’université. Quant aux retraités, c’est la mise en place d’un régime unique pour tout le monde qui les inquiète. Au total, 15 300 personnes protestaient aujourd’hui à Paris. Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, espère une plus vaste mobilisation à l’avenir. Mais les syndicats sont déjà divisés pour le 1er mai. Force ouvrière et CFDT indiquent ce jeudi qu’ils ne seront pas au côté de la CGT pour la fête du Travail. Le front syndical reste à construire.
C’est une loi de transition énergétique vidée de sa substance qui devrait être votée le mardi 3 mars 2015 au Sénat. Après dix jours de débat houleux dans une haute assemblée très conservatrice, les principales promesses du texte emblématique du quinquennat de François Hollande ont disparu. En particulier sur la question de la part du nucléaire. Fini l’objectif de réduction de la part du nucléaire de 75 à 50 % en 2025, l’échéance a disparu du texte. Les sénateurs ont même relevé le plafond fixé par l’Assemblée. Il imposait de fermer des réacteurs dès que l’EPR de Flamanville entrerait en service. Pour les sénateurs conservateurs, pas question non plus de consommer 20 % d’énergie en moins en 2030. Cela ne va pas avec le retour de la croissance qu’ils espèrent. De quoi mobiliser Force Ouvrière et la CGT Energie, qui s’étaient donné rendez-vous devant le Sénat, quelques heures avant le vote.
French trade unions FO and CGT in front of the Senate, in Paris, March 3, 2015. The French Senate is set to debate a bill that aims to cut the country's reliance on nuclear energy by 50 per cent before 2025, and drastically reduce greenhouse gas.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet.
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