French leftist movement La France Insoumise (LFI) party's leader, MP and candidate for the 2022 French presidential election Jean-Luc Melenchon speaks with French journalist and tv host Anne-Sophie Lapix at the Abbe Pierre foundation in Paris, on February 2, 2022 during a conference on poor housing in France.
Prise de vue: Mercredi 2 février 2022, à 13 h 13. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF70-200mm f/2.8L IS II USM; focale: 85 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/2.8, ISO 1600, Compensation: -4/3. Flash: non
Extrait : 219 mots. Mercredi 2 février 2022, le président de la République, pas encore officiellement candidat à sa réélection, est intervenu en vidéo lors de la journée de présentation du rapport de la Fondation Abbé-Pierre à Paris, tandis les candidats de gauche à l’élection présidentielle sont intervenus dans l’après-midi. Face à la Fondation, aucun des nombreux candidats de gauche n’a manqué à l’appel : Fabien Roussel, Christiane Taubira, Anne Hidalgo, Jean-Luc Mélenchon, Yannick Jadot se sont succédé sur scène, avec beaucoup de points communs. Tous ont défendu la nécessité d’accélérer la rénovation énergétique des bâtiments : 700 000 logements par an pour Fabien Roussel, 10 milliards d’euros pour Yannick Jadot, Christiane Taubira refusant de s’engager sur des objectifs chiffrés. Auditionnée sur ses propositions sur le logement, Christiane Taubira n’a présenté aucun chiffre précis, ce qui a entraîné des soupirs dans une salle qui a jugé ses propositions « floues » lors d’une consultation sur internet. Dans cet exercice aux allures de débat télévisé, animé par Anne-Sophie Lapix, Jean-Luc Mélenchon a été jugé lui « brillant » et « concret », même s’il a dû poser son joker, sur une question concernant la régulation des prix à la vente immobilière.
CGT union leader Philippe Martinez (C) walks behind a banner during a demonstration on December 10, 2019 in Paris as part of the sixth day of a strike of public transport operators SNCF and RATP employees over French government's plan to overhaul the country's retirement system. Unions have vowed to keep up the fight over the reforms, which are set to be finalised and published on December 11.
Prise de vue: Mardi 10 décembre 2019, à 15 h 12. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/800 sec, f/4.5, ISO 1600. Flash: non
Résumé : 138 mots. Il y a au moins un point sur lequel tout le monde est d’accord. Les manifestants étaient moins nombreux, ce mardi 10 décembre 2019, dans les rues du pays, pour dire leur opposition à la réforme des retraites voulue par Emmanuel Macron. La CGT a compté 885 000 manifestants en France, contre 1,5 million le jeudi 5 décembre, date du coup d’envoi de la mobilisation contre le projet gouvernemental. La baisse du nombre de manifestants a été observée dans toute la France, à Lyon, Marseille, Toulouse, ou Bordeaux, et dans l’Ouest. Le Premier ministre doit s’exprimer, ce mercredi, à midi, au Conseil économique, social et environnemental, pour détailler les contours d’une réforme jugée floue de gauche à droite et présenter une feuille de route qu’il commentera au 20 h de TF1. Source.
A woman is wearing a battle dress with the Kurdistan Army insignia during a demonstration at the place de la Republique in Paris, on October 12, 2019, in support of the Kurds and against the Turkish offensive in Syria. On October 9, 2019, the Turkish military began its assault against Kurdish-held territory in northern Syria , pummeling with artillery and airstrikes. Kurds are rapidly evacuating the region and at least 24 people have been killed in northern Syria. According to Turkish president Recep Erdogan, Turkey’s goal is to create a buffer zone separating Syria’s Kurds from the Turkish border.
Prise de vue: Samedi 12 octobre 2019, à 14 h 08. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 200 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/320 sec, f/8, ISO 800. Flash: non
Résumé : 146 mots. Plusieurs milliers de personnes étaient réunies ce samedi 12 octobre 2019 place de la République, à Paris, en soutien aux Kurdes du Rojava. Depuis mercredi, la Turquie a lancé son offensive dans le nord-est syrien, attaquant les positions kurdes, et entraînant la fuite de plus de 100.000 civils. « J’ai le coeur brisé, confie Zilan, une jeune kurde d’origine turque. Je ne suis pas du Rojava, mais nous formons une grande famille ». Umut, solide bonhomme de 32 ans qui travaille dans le bâtiment, bouillonne d’impuissance depuis le début de semaine : « ça ne sert pas à grand-chose d’être ici. On serait plus utile là-bas, à se battre ». À deux pas, sur une estrade, les applaudissements pleuvent quand certaines personnalités politiques de gauche – Eric Coquerel, Jean-Luc Mélenchon, Fabien Roussel – appellent le gouvernement à agir. « C’est bien », se réjouit Bulbut. Source
PHOTO 1 Pensioners take part to a protest organized by French retired pensioners union or association in front of the Ministry of Finance in Paris on December 18, 2018, to defend their purchasing power and despite the abandonment of the project to increase fuel taxes and announcements by Emmanuel Macron (revaluation of the activity bonus for employees at the SMIC, tax exemption for overtime, cancellation of the increase in the CSG for pensioners receiving a pension of less than 2,000 € per month).
PHOTO 2 The new French communist party national secretary Fabien Roussel (C) takes part in a demonstration of pensionners in front of the Ministry of Finance in Paris on December 18, 2018, to defend their purchasing power and despite the abandonment of the project to increase fuel taxes and announcements by Emmanuel Macron (revaluation of the activity bonus for employees at the SMIC, tax exemption for overtime, cancellation of the increase in the CSG for pensioners receiving a pension of less than 2,000 € per month).
PHOTO 1 Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 500, Compensation: -2/3. Flash: non
PHOTO 2 Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/5, ISO 160, Compensation: -2/3. Flash: non
EXTRAIT : 275 mots. Colère et revendications persistent chez les retraités, conjointement au mouvement des « gilets jaunes ». Malgré le geste d’Emmanuel Macron sur la CSG – finalement décalé de plusieurs mois –, plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées mardi 18 décembre 2018 à Paris devant le ministère de l’Économie à l’appel d’une intersyndicale pour réclamer la suppression de la hausse de la CSG pour tous les retraités et une augmentation des pensions. « Retraités, exploités, révoltés », « Macron voleur, rends-moi ma retraite », pouvait-on lire sur les pancartes des manifestants, réunis autour d’un sapin de Noël aux branches duquel pendaient des cadeaux « hausse de la CSG », « stop aux taxes », « augmentation des pensions ». Neuf organisations syndicales (UCR-CGT, UCR-FO, UNAR-CFTC, UNIR CFE-CGC, FSU-Retraités, Solidaires, FGR-FP, LSR, Ensemble et solidaires) ont maintenu leur journée d’action parisienne en dépit du geste d’Emmanuel Macron. (…) Les retraités réclament également la revalorisation de toutes les pensions, notamment par la fin du gel de ces dernières. Pour réaliser des économies, le gouvernement prévoit de sous-revaloriser les pensions de 0,3% en 2019 et en 2020, nettement en deçà de l’inflation qui tourne actuellement à 1,9%. Autres revendications: l’indexation des pensions sur les salaires, le maintien des pensions de réversion et la prise en charge intégrale par la Sécurité sociale de la perte d’autonomie. Enfin, ils réclament l’amélioration des moyens budgétaires, notamment dans les Ehpad ainsi que le développement et le renforcement des services publics de qualité. En dernier lieu, ils reprochent à Emmanuel Macron la suppression de l’ISF. « Ne nous laissons pas faire, revendiquons », martèle l’appel à manifester. Source.
Fabien Roussel, nouveau patron du Parti communiste
EXTRAIT : 206 mots. Le député Fabien Roussel a été élu le 25 novembre 2018 à la tête du Parti communiste, lors du 38e congrès du parti à Ivry-sur-Seine. Il succède à Pierre Laurent, qui occupait le poste de secrétaire national depuis 2010. Cet ancien journaliste, lui-même fils d’un reporter de L’Humanité et d’une employée de banque, a été élu local et collaborateur de parlementaires communistes entre 2012 et 2017, date de son élection à l’Assemblée nationale. À ce titre, il a gagné, selon sa déclaration d’intérêts, 4.136 euros net par mois en 2016. Il aura désormais pour lourde mission de redresser un parti en dangereuse perte de vitesse, et ce depuis de nombreuses années. Incarnant au sein de sa formation une ligne dite en interne « identitaire », comprendre attachée à l’indépendance du PCF vis-à-vis des autres forces politiques, Fabien Roussel explique vouloir défendre « un PCF fort, conquérant, ambitieux ». Fabien Roussel, connu pour son franc-parler, à l’inverse du discret Pierre Laurent, pourrait dépoussiérer l’image du parti et permettre aux communistes d’exister médiatiquement face à un Jean-Luc Mélenchon qui prend une grande partie de la lumière à gauche. (…) Source