PHOTO 1 Pensioners take part to a protest organized by French retired pensioners union or association in front of the Ministry of Finance in Paris on December 18, 2018, to defend their purchasing power and despite the abandonment of the project to increase fuel taxes and announcements by Emmanuel Macron (revaluation of the activity bonus for employees at the SMIC, tax exemption for overtime, cancellation of the increase in the CSG for pensioners receiving a pension of less than 2,000 € per month).
PHOTO 2 The new French communist party national secretary Fabien Roussel (C) takes part in a demonstration of pensionners in front of the Ministry of Finance in Paris on December 18, 2018, to defend their purchasing power and despite the abandonment of the project to increase fuel taxes and announcements by Emmanuel Macron (revaluation of the activity bonus for employees at the SMIC, tax exemption for overtime, cancellation of the increase in the CSG for pensioners receiving a pension of less than 2,000 € per month).
PHOTO 1 Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/8, ISO 500, Compensation: -2/3. Flash: non
PHOTO 2 Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/500 sec, f/5, ISO 160, Compensation: -2/3. Flash: non
EXTRAIT : 275 mots. Colère et revendications persistent chez les retraités, conjointement au mouvement des « gilets jaunes ». Malgré le geste d’Emmanuel Macron sur la CSG – finalement décalé de plusieurs mois –, plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées mardi 18 décembre 2018 à Paris devant le ministère de l’Économie à l’appel d’une intersyndicale pour réclamer la suppression de la hausse de la CSG pour tous les retraités et une augmentation des pensions. « Retraités, exploités, révoltés », « Macron voleur, rends-moi ma retraite », pouvait-on lire sur les pancartes des manifestants, réunis autour d’un sapin de Noël aux branches duquel pendaient des cadeaux « hausse de la CSG », « stop aux taxes », « augmentation des pensions ». Neuf organisations syndicales (UCR-CGT, UCR-FO, UNAR-CFTC, UNIR CFE-CGC, FSU-Retraités, Solidaires, FGR-FP, LSR, Ensemble et solidaires) ont maintenu leur journée d’action parisienne en dépit du geste d’Emmanuel Macron. (…) Les retraités réclament également la revalorisation de toutes les pensions, notamment par la fin du gel de ces dernières. Pour réaliser des économies, le gouvernement prévoit de sous-revaloriser les pensions de 0,3% en 2019 et en 2020, nettement en deçà de l’inflation qui tourne actuellement à 1,9%. Autres revendications: l’indexation des pensions sur les salaires, le maintien des pensions de réversion et la prise en charge intégrale par la Sécurité sociale de la perte d’autonomie. Enfin, ils réclament l’amélioration des moyens budgétaires, notamment dans les Ehpad ainsi que le développement et le renforcement des services publics de qualité. En dernier lieu, ils reprochent à Emmanuel Macron la suppression de l’ISF. « Ne nous laissons pas faire, revendiquons », martèle l’appel à manifester. Source.
Fabien Roussel, nouveau patron du Parti communiste
EXTRAIT : 206 mots. Le député Fabien Roussel a été élu le 25 novembre 2018 à la tête du Parti communiste, lors du 38e congrès du parti à Ivry-sur-Seine. Il succède à Pierre Laurent, qui occupait le poste de secrétaire national depuis 2010. Cet ancien journaliste, lui-même fils d’un reporter de L’Humanité et d’une employée de banque, a été élu local et collaborateur de parlementaires communistes entre 2012 et 2017, date de son élection à l’Assemblée nationale. À ce titre, il a gagné, selon sa déclaration d’intérêts, 4.136 euros net par mois en 2016. Il aura désormais pour lourde mission de redresser un parti en dangereuse perte de vitesse, et ce depuis de nombreuses années. Incarnant au sein de sa formation une ligne dite en interne « identitaire », comprendre attachée à l’indépendance du PCF vis-à-vis des autres forces politiques, Fabien Roussel explique vouloir défendre « un PCF fort, conquérant, ambitieux ». Fabien Roussel, connu pour son franc-parler, à l’inverse du discret Pierre Laurent, pourrait dépoussiérer l’image du parti et permettre aux communistes d’exister médiatiquement face à un Jean-Luc Mélenchon qui prend une grande partie de la lumière à gauche. (…) Source
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Protesters march near the Opera House during a demonstration called by pensioners' unions on October 18, 2018 in Paris, to demand pensions' increase and protest against the French government policy.
Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM; focale: 200 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/800 sec, f/8, ISO 800, Compensation: -2/3. Flash: non
EXTRAIT : 235 mots. Après la hausse de la CSG, la baisse des pensions. Les retraités sont, à nouveau, appelés à manifester « massivement », ce jeudi 18 octobre 2018, contre les choix budgétaires du gouvernement. Les neuf syndicats et associations de retraités (CGT, FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, Solidaires, FGR, LSR et UNRPA), qui ont convoqué cette quatrième journée de «mobilisation générale», espèrent égaler, voire dépasser, la mobilisation du 15 mars, avec « environ 200.000 manifestants dans 162 manifestations », selon Gérard Gourguechon, de l’UNIRS-Solidaires. Leur première revendication reste l’annulation de la hausse de la CSG, entrée en vigueur en janvier et non compensée pour environ 60 % des 16 millions de retraités, qui financent ainsi les baisses de cotisations pour les salariés. En mars dernier, Edouard Philippe avait, en partie, rétropédalé en promettant une « correction » pour « 100.000 couples » aux revenus modestes. La mesure inscrite dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2019 concernera finalement « 350.000 foyers ». Pour certains députés LREM, cette révision est insuffisante. Ces derniers ont adopté, mardi, un amendement introduisant « plus de progressivité dans les taux de CSG » pour les retraités. La seconde revendication, c’est la sous-revalorisation des retraites de base. Les pensions versées par l’Assurance vieillesse, jusqu’alors indexées sur l’inflation, n’augmenteront que de 0,3 % en 2019 et en 2020, quand la hausse des prix devrait atteindre 1,3 %.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Jeudi 9 novembre 2017, à 15 h 03. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/320 s, f/7.1, ISO 1000, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 18 mm.
EXTRAIT La hausse de la CSG a été adoptée par l’Assemblée Nationale dans la nuit du 25 au 26 octobre 2017. Dénoncée par de nombreux députés, à gauche surtout mais aussi à droite, la mesure est rejetée par les 9 organisations représentatives des retraités,
qui demandent au président de la République de les recevoir et appelaient à une journée d’actions le 9 novembre 2017. À Paris, celle-ci a pris la forme d’un rassemblement organisé devant l’Assemblée nationale…
Pensioners demonstrate in front of the National Assembly in Paris on November 9, 2017 for better pensions and the adjustment of their purchasing power. While many pensioners will benefit in from the cut in the taxe d'habitaton, some 60 percent will lose out due to the 1.7 percentage point hike in the CSG social charge that will be taken from their pensions. Only those with an income of less than €1,289 a month will be exempt. All the others will be paying around €25 more a month.
Données techniques de cette photo.Prise de vue: Jeudi 28 septembre 2017, à 14 h 50. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/160 s, f/6.3, ISO 100, Compensation: -2/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 19 mm.
EXTRAIT « On n’est pas des nantis. » C’est à ce cri de colère que quelques milliers de retraités ont manifesté, jeudi 28 septembre 2017 à Paris, contre la hausse de la contribution sociale généralisée (CSG). Une mesure fiscale phare du gouvernement, qui entraînera, pour la majorité d’entre eux, une perte de pouvoir
d’achat. Le gouvernement prévoit en effet une hausse de la CSG de 1,7 point à partir du 1er janvier 2018 afin de compenser la suppression des cotisations d’assurance-chômage et maladie des salariés du secteur privé. Une mesure qui ne satisfait pas les principaux syndicats de retraités…
Protesters hold union flags as pensioners demonstrate in front of the Palais Garnier opera house in Paris on September 28, 2017 against the increase of the Social security surcharge ("Contribution sociale generalisee", CSG), presented as part of the government's 2018 budget. Nine unions and associations called for a day of mobilisation against the tax increase.