« J’ai le coeur brisé, confie Zilan, une jeune kurde d’origine turque. Je ne suis pas du Rojava, mais nous formons une grande famille ».
Umut, solide bonhomme de 32 ans qui travaille dans le bâtiment, bouillonne d’impuissance depuis le début de semaine : « ça ne sert pas à grand-chose d’être ici. On serait plus utile là-bas, à se battre ».
À deux pas, sur une estrade, les applaudissements pleuvent quand certaines personnalités politiques de gauche – Eric Coquerel, Jean-Luc Mélenchon, Fabien Roussel – appellent le gouvernement à agir. « C’est bien », se réjouit Bulbut.
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