Résumé : 244 mots. Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont manifesté ce vendredi 24 janvier 2020 en France contre le projet de réforme du système des retraites le jour même où ce texte, objet d’une contestation sociale sans précédent depuis près de deux mois, a été adopté en Conseil des ministres.
Répondant à l’appel lancé par l’intersyndicale mobilisée depuis le 5 décembre, plus de 111.000 personnes ont manifesté dans une quarantaine de villes hors Paris, selon un décompte provisoire de l’AFP réalisé en fin d’après-midi à partir des chiffres communiqués par la police ou les préfectures. Des chiffres souvent en légère hausse par rapport à la précédente journée de mobilisation du 16 janvier mais très loin des sommets atteints au début du mouvement, les 5 et 17 décembre.
À Paris, le cortège, qui a rejoint la place de la République à celle de la Concorde a rassemblé 350.000 à 400.000 personnes, selon la CGT.
« Notre détermination est intacte », a déclaré en tête de cortège Yves Veyrier, le numéro un de Force ouvrière, qui réclame comme l’intersyndicale le retrait pur et simple du texte. « On a devant nous des semaines et des mois de mobilisation ».
Réfutant tout « baroud d’honneur », le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez a pour sa part estimé qu’il y avait « toutes les raisons de se mobiliser » face à une réforme « qui est injuste » et qui « va nous faire travailler plus longtemps ». Source.
Répondant à l’appel lancé par l’intersyndicale mobilisée depuis le 5 décembre, plus de 111.000 personnes ont manifesté dans une quarantaine de villes hors Paris, selon un décompte provisoire de l’AFP réalisé en fin d’après-midi à partir des chiffres communiqués par la police ou les préfectures. Des chiffres souvent en légère hausse par rapport à la précédente journée de mobilisation du 16 janvier mais très loin des sommets atteints au début du mouvement, les 5 et 17 décembre.
À Paris, le cortège, qui a rejoint la place de la République à celle de la Concorde a rassemblé 350.000 à 400.000 personnes, selon la CGT.
« Notre détermination est intacte », a déclaré en tête de cortège Yves Veyrier, le numéro un de Force ouvrière, qui réclame comme l’intersyndicale le retrait pur et simple du texte. « On a devant nous des semaines et des mois de mobilisation ».
Réfutant tout « baroud d’honneur », le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez a pour sa part estimé qu’il y avait « toutes les raisons de se mobiliser » face à une réforme « qui est injuste » et qui « va nous faire travailler plus longtemps ». Source.
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