French Economy Minister Bruno Le Maire delivers a speech during a symposium titled "Growth and the greening of the economy" at the the Minister of the Economy, Finances and Industry on January 8, 2019 in Paris.
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RÉSUMÉ : 183 mots. Après avoir laissé entendre que le gouvernement pourrait maintenir la taxe d’habitation pour les 20 % de ménages les plus riches, le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, a finalement pris ses distances, ce mardi 8 janvier 2018, alors qu’il ouvrait à Bercy un colloque sur le thème « Croissance et verdissement de l’Économie ». Après les nombreuses critiques du mouvement des « gilets jaunes » contre la politique fiscale du gouvernement, qu’ils jugent inégalitaire, le sujet de la taxe d’habitation est revenu dans le débat fiscal. « Il est essentiel que cette suppression soit aboutie mais nous pouvons très bien demander aux Français « est-ce que vous estimez que pour les 20 % les plus riches il est légitime ou non de supprimer la taxe d’habitation ? », avait alors affirmé le locataire de Bercy. « Si nous répondons non à chaque demande des Français, que nous ne sommes pas capables d’écouter la demande de justice, nous ne réussirons pas le grand débat, qui doit s’ouvrir dans les prochaines semaines », avait-il ajouté.
C’est une loi de transition énergétique vidée de sa substance qui devrait être votée le mardi 3 mars 2015 au Sénat. Après dix jours de débat houleux dans une haute assemblée très conservatrice, les principales promesses du texte emblématique du quinquennat de François Hollande ont disparu. En particulier sur la question de la part du nucléaire. Fini l’objectif de réduction de la part du nucléaire de 75 à 50 % en 2025, l’échéance a disparu du texte. Les sénateurs ont même relevé le plafond fixé par l’Assemblée. Il imposait de fermer des réacteurs dès que l’EPR de Flamanville entrerait en service. Pour les sénateurs conservateurs, pas question non plus de consommer 20 % d’énergie en moins en 2030. Cela ne va pas avec le retour de la croissance qu’ils espèrent. De quoi mobiliser Force Ouvrière et la CGT Energie, qui s’étaient donné rendez-vous devant le Sénat, quelques heures avant le vote.
French trade unions FO and CGT in front of the Senate, in Paris, March 3, 2015. The French Senate is set to debate a bill that aims to cut the country's reliance on nuclear energy by 50 per cent before 2025, and drastically reduce greenhouse gas.
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