Former French president Jacques Chirac (C), 77 years old, visits the International Agricultural Fair on March 5, 2010 in Paris. Jacques Chirac, a centre-right politician who served as head of state from 1995 to 2007, has died on September 26, 2019. He was 86.
Prise de vue: Vendredi 05.03.2010, à 12 h 35. Appareil: Canon EOS-1Ds Mark III. Objectif: 16mm; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/3.200 sec, f / 2,8, ISO 1000. Flash: non
Résumé : 113 mots. Jacques Chirac est mort le jeudi 26 septembre 2019 à l’âge de 86 ans. Il a été cofonJeu 26.09.2019ur du RPR et de l’UMP. Né en 1932, il a été élu pour la première fois député de Corrèze en 1967. Après la fin de son deuxième mandat à l’Élysée, il siège au Conseil constitutionnel, dont il est membre de droit en tant qu’ancien président de la République, jusqu’en mars 2011, Jeu 26.09.2019 à laquelle il se met en retrait du fait de son état de santé et de ses ennuis judiciaires. Il s’est éteint dans un appartement de la rue Tournon à Paris, « paisiblement » et « au milieu des siens ».
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Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 70-200 mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 280 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/9, ISO 12800, Compensation: -1/3. Flash: non
Comme pour mieux balayer toute idée de crise politique, le président de la République, Emmanuel Macron, a visité ce mercredi 3 octobre 2018 le Mondial de l’Automobile à Paris. Accueilli par l’ancien ministre Luc Chatel, président de la plateforme automobile (PFA) réunissant les industriels français, et Christian Peugeot, président du Comité des constructeurs français, le chef de l’État est resté trois heures, visitant successivement les stands des marques PSA puis Renault, avant de se rendre chez les équipementiers Valéo, Plastic Omnium et Faurecia. Mais ce qui devait être une inauguration, à l’occasion des journées presse et des professionnels de l’auto, s’est finalement transformé en une privatisation d’une partie du salon. Des centaines de personnes se sont retrouvées bloquées derrière des cordons de sécurité par un impressionnant service d’ordre qui a tenu les visiteurs, exposants et journalistes, à plusieurs dizaines, voire centaines, de mètres de distance.
Une visite peu appréciée Seul un groupe restreint de journalistes accrédités par l’Élysée a pu suivre le président, lequel était encore serré de près par ses officiers de sécurité (NDLR : la réalisation des photos publiées sur ce site a relevé de l’exploit…). Si la visite a probablement plu aux dirigeants des groupes constructeurs et équipementiers français, elle n’a vraiment pas été du goût des professionnels, qui ont été contraints d’annuler tous les rendez-vous prévus depuis plusieurs semaines pendant trois bonnes heures. Si le chef de l’Etat veut montrer sa proximité et sa simplicité, il va devoir s’y prendre autrement, tant les réactions d’agacement étaient perceptibles hier soir au Mondial de l’Auto. « En 40 ans de salon, je n’avais jamais vu un tel mépris », confiait le responsable d’un groupe français. Source.
French President Emmanuel Macron (C) visits the 55th International Agriculture Fair (Salon de l'Agriculture) at the Porte de Versailles exhibition center in Paris, on February 24, 2018. He had a tense exchange with cereal producers loudly protesting his government's proposal to ban a pesticide called glyphosate by 2020. Many farmers are also angry about trade talks with South American countries that could make France import more foreign meat.
EXTRAIT : 220 mots. L’Élysée s’attendait à un accueil mouvementé, ça n’a pas raté. Pour sa première visite au Salon de l’Agriculture en tant que président de la République, Emmanuel Macron a été copieusement sifflé par des manifestants samedi 24 février 2018 au matin, alors que le monde agricole traverse une période incertaine, dans l’attente de certaines décisions comme l’accord commercial avec le Mercosur, les états généraux de l’alimentation ou l’avenir de la politique agricole commune (PAC). Une inquiétude que le chef de l’État a rapidement pu mesurer. Dès son arrivée dans le grand pavillon de la Porte de Versailles, il a été accueilli par quelques sifflets, des applaudissements tout aussi timides, mais surtout par de jeunes agriculteurs déguisés en animaux de ferme. Après avoir pris le temps de répondre aux agriculteurs mécontents, le chef de l’État a commencé sa visite dans un calme précaire. C’est à la sortie du stand des bovins que le cortège présidentiel a été soudainement noyé par de longs sifflets. (…) De nouveau sifflé une demi-heure plus tard à l’entrée des stands porcins, le président a interpellé les manifestants. « Je vous engueule parce que je n’aime pas qu’on me siffle derrière. Après je viens vous voir et on s’explique », leur a-t-il promis.
Demonstrators protest , on January 1st, 2018 in Paris, in front of the former Val de Grace hospital, closed by the French Defence ministry, to ask that these buildings serve as shelter for the homeless. French President Emmanuel Macron said in July, 2017, he wanted ‘emergency shelters everywhere for homeless migrants by the year’ but while failing that target, with thousands continuing to sleep rough in cities and woodlands, the government is now focussing on tougher measures to expel migrants. Données techniques de cette photo.Prise de vue: Lundi 1er janvier 2018, à 15 h 12. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/320 s, f/8, ISO 1600, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT : 132 mots. Une centaine de personnes se sont rassemblées à l’appel de l’association Droit au logement (DAL) le lundi 1er janvier 2018 devant l’entrée de l’ancien hôpital militaire du Val de Grâce à Paris pour demander à Emmanuel Macron d’y accueillir des familles mal-logées. « Emmanuel Macron doit, en tant que chef des armées, demander à l’armée de mettre cet hôpital militaire à la disposition des sans-abris », a déclaré sur place; à des journalistes le porte-parole du DAL Jean-Baptiste Eyraud. « Ce serait une bonne nouvelle pour les Français que le président de la République dise : j’ouvre le Val de Grâce pour les sans-abris et commence à tenir sa parole, qu’il n’y ait plus personne à la rue », a dit M. Eyraud…
Ce dimanche 7 mai 2017 à 20 heures, la France connaît enfin le visage du nouveau président de la République. Après avoir rassemblé 24,01 % des voix au premier tour, le candidat d’En Marche ! Emmanuel Macron a reçu le soutien de la classe politique traditionnelle, depuis Les Républicains jusqu’au Parti socialiste et même des communistes, faisant de lui le favori de ce scrutin. Face à lui, la candidate d’extrême-droite Marine Le Pen, qui accède au second tour quinze ans après son père, a réalisé le score de 21,30 % au premier tour et a reçu le soutien du leader de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan (4,7 % au premier tour). Arrivé au Louvre, Emmanuel Macron a contourné la pyramide sur une démarche mitterrandienne avec l’hymne européen. À la tribune, il a commencé par remercier ses troupes : « Merci d’être
là de vous être battu avec courage et bienveillance, parce que oui ce soir vous l’avez emporté, la France l’a emporté ». « Vous m’avez fait confiance. Cette confiance elle m’oblige et j’en suis désormais le dépositaire ». Le président élu a voulu avoir un mot pour ceux qui ont voté pour lui sans adhérer à son projet, mais pour faire barrage au Front national. « Vous vous êtes engagés et je sais qu’il ne s’agit pas là d’un blanc-seing. Je veux avoir un mot pour les Français qui ont voté pour défendre la République face à l’extrémisme mais je sais nos désaccords et je respecterai mes engagements pris, je protégerai la République », a-t-il assuré. « Ils ont exprimé une colère, un désarroi, je les respecte mais je ferai tout pendant les 5 années qui viennent pour qu’il n’y ait plus aucune raison de voter pour les extrêmes ». « Je vous servirai avec amour », a-t-il conclu.
Emmanuel Macron a été élu, le dimanche 7 mai 2017, président de la République en battant largement la candidate d’extrême-droite Marine Le Pen. À 20 heures, des cris de joie et une marée de drapeaux tricolores ont accueilli l’annonce de sa victoire. « On
a gagné ! » : les partisans du candidat En marche ! réunis dimanche soir sur l’esplanade du Louvre, dans le centre de Paris, sous un ciel gris, exultent lorsque les écrans affichent l’image de leur champion.