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Comme pour mieux balayer toute idée de crise politique, le président de la République, Emmanuel Macron, a visité ce mercredi 3 octobre 2018 le Mondial de l’Automobile à Paris.
Accueilli par l’ancien ministre Luc Chatel, président de la plateforme automobile (PFA) réunissant les industriels français, et Christian Peugeot, président du Comité des constructeurs français, le chef de l’État est resté trois heures, visitant successivement les stands des marques PSA puis Renault, avant de se rendre chez les équipementiers Valéo, Plastic Omnium et Faurecia. Mais ce qui devait être une inauguration, à l’occasion des journées presse et des professionnels de l’auto, s’est finalement transformé en une privatisation d’une partie du salon. Des centaines de personnes se sont retrouvées bloquées derrière des cordons de sécurité par un impressionnant service d’ordre qui a tenu les visiteurs, exposants et journalistes, à plusieurs dizaines, voire centaines, de mètres de distance.
Une visite peu appréciée
Seul un groupe restreint de journalistes accrédités par l’Élysée a pu suivre le président, lequel était encore serré de près par ses officiers de sécurité (NDLR : la réalisation des photos publiées sur ce site a relevé de l’exploit…).
Si la visite a probablement plu aux dirigeants des groupes constructeurs et équipementiers français, elle n’a vraiment pas été du goût des professionnels, qui ont été contraints d’annuler tous les rendez-vous prévus depuis plusieurs semaines pendant trois bonnes heures.
Si le chef de l’Etat veut montrer sa proximité et sa simplicité, il va devoir s’y prendre autrement, tant les réactions d’agacement étaient perceptibles hier soir au Mondial de l’Auto.
« En 40 ans de salon, je n’avais jamais vu un tel mépris », confiait le responsable d’un groupe français. Source.
Accueilli par l’ancien ministre Luc Chatel, président de la plateforme automobile (PFA) réunissant les industriels français, et Christian Peugeot, président du Comité des constructeurs français, le chef de l’État est resté trois heures, visitant successivement les stands des marques PSA puis Renault, avant de se rendre chez les équipementiers Valéo, Plastic Omnium et Faurecia. Mais ce qui devait être une inauguration, à l’occasion des journées presse et des professionnels de l’auto, s’est finalement transformé en une privatisation d’une partie du salon. Des centaines de personnes se sont retrouvées bloquées derrière des cordons de sécurité par un impressionnant service d’ordre qui a tenu les visiteurs, exposants et journalistes, à plusieurs dizaines, voire centaines, de mètres de distance.
Une visite peu appréciée
Seul un groupe restreint de journalistes accrédités par l’Élysée a pu suivre le président, lequel était encore serré de près par ses officiers de sécurité (NDLR : la réalisation des photos publiées sur ce site a relevé de l’exploit…).
Si la visite a probablement plu aux dirigeants des groupes constructeurs et équipementiers français, elle n’a vraiment pas été du goût des professionnels, qui ont été contraints d’annuler tous les rendez-vous prévus depuis plusieurs semaines pendant trois bonnes heures.
Si le chef de l’Etat veut montrer sa proximité et sa simplicité, il va devoir s’y prendre autrement, tant les réactions d’agacement étaient perceptibles hier soir au Mondial de l’Auto.
« En 40 ans de salon, je n’avais jamais vu un tel mépris », confiait le responsable d’un groupe français. Source.
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