Tag: "loi travail"
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Lundi 20 novembre 2017, à 14 h 15. Appareil: Canon EOS-1D X, 1//250 s, f/7.1, ISO 800, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
EXTRAIT
L’Assemblée générale du travail social en Île-de-France a lancé un appel à la grève et à la mobilisation dans la rue pour le 20 novembre 2017 afin de « refuser la marchandisation du secteur et le développement des politiques d’austérité ». Ce jour-là, les travailleurs des secteurs hospitaliers et médico-sociaux du service social étaient en grève et manifestaient à Paris, devant le
musée d’Orsay, pour dénoncer les réformes en cours dont ils redoutent les conséquences sur leurs métiers mais également « la casse des acquis sociaux facilitée par la loi Travail, la généralisation des appels à projets et le démantèlement des conventions collectives », ou encore les renforcements des mesures d’enfermement des mineurs, dont ils estiment…
Protesters hold banner reading ‘Who has the right to make it to children who really believe what say the politicians ?’ during a march in Paris, in front of the Orsay Museum, on November 20, 2017 to protect the rights of social workers of the specialized prevention, the integration, the asylum, the hospital, the medical and social, the handicap.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Jeudi 16 novembre 2017, à 16 h 59. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/500 s, f/4, ISO 12800, flash: non. Objectif, focale: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III, 110 mm.
EXTRAIT
Jeunes, déçus de la politique, activistes, nostalgiques : depuis le printemps 2016, ils se retrouvent dans le « cortège de tête » pour défiler hors du cadre des syndicats qu’ils jugent dépassés, mais ne sont aujourd’hui pas épargnés par les interrogations face à une mobilisation qui s’essouffle.
Apparu au printemps 2016 à l’initiative des lycéens qui, après
leurs blocus matinaux, s’emparaient – avec l’accord tacite des syndicats – de la tête des manifestations contre la loi El Khomri, ce « cortège de tête » réunit, à Paris, Rennes, Nantes ou Toulouse, plusieurs milliers de personnes contestant un « système » allant de la loi travail aux violences policières…
Demonstrator of ultra-left writes on a wall 'Macron, lackey of capital' during a demonstration as part of a nationwide protest day against the government's economic and social reforms, on November 16, 2017 in Paris.
Données techniques de cette photo. Prise de vue: Lundi 25 septembre 2017, à 6 h 42. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/160 s, f/4, ISO 16000, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
Les routiers CGT et FO ont entamé ce lundi 25 septembre 2017 dès l’aube des actions contre la réforme du Code du travail, notamment à proximité de dépôts pétroliers. Sur plusieurs sites, les blocages ont été très vite levés par les forces de l’ordre. Dès 6 heures, des actions étaient en cours au Havre, à Rouen, Caen, Bordeaux, La Rochelle, Marseille, Lyon ou encore Nantes.
Dès dimanche, des stations-service étaient déjà prises d’assaut par les automobilistes, par crainte d’une pénurie de carburants, comme en mars dernier. Dans les Hauts-de-Seine, au port de Gennevilliers, les routiers de la CGT distribuaient des tracts à proximité du dépôt de carburant, encadrés par de nombreux CRS.
Lorry drivers from the French workers' union CGT block access roads to the Gennevilliers port, outside Paris, early on September 25, 2016, at the start of a lorry drivers' strike against the government labor reforms of President Emmanuel Macron. Lorry drivers began a renewable strike on the night of September 24, expected to be followed in several main French cities and by slowing traffic and blocking industrial sites and oil depots. The flagship labor reforms comes a few day after the French President signed into law the reforms through a fast-track procedure that allows to forego parliamentary debate on the issue.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet (39 photos).
Prise de vue: Mardi 19 septembre 2017, à 19 h 26. Appareil: Canon EOS-1D X, 1/320 s, f/7.1, ISO 1600, Compensation: -1/3, flash: non. Objectif, focale: EF 16-35mm f/4L IS USM, 16 mm.
À l’appel du Front social, des manifestants se sont rassemblés devant le Palais de justice de Paris, le 19 septembre 2017 en soirée, pour soutenir les 9 personnes jugées pour l’attaque et l’incendie d’une voiture de police, le 18 mai 2016 quai de Valmy, à Paris, en plein mouvement social contre la loi Travail.
Un dossier où les images, une multitude d’images, tiennent une place singulière. Les plus marquantes sont celles d’une voiture de police en feu et d’un fonctionnaire parant des coups.
Filmée de toute part, l’agression d’une patrouille de gardiens de la
paix par une dizaine de manifestants masqués, en marge d’un rassemblement contre « la haine anti-flics », avait trouvé un écho médiatique et politique retentissant. Les autres images, ce sont les centaines de séquences vidéo amateurs, professionnelles ou de surveillance urbaine que les enquêteurs ont décortiquées afin de tenter d’identifier les auteurs. Au final, neuf, dont l’un est visé par un mandat d’arrêt, sont renvoyés devant le tribunal correctionnel de Paris. Leur procès se tient jusqu’à vendredi 22 septembre 2017. Les vidéos seront au cœur des débats.
Demonstrators take part in a rally in front of Paris courthouse on September 19, 2017 during the trial of nine people over an attack by demonstrators that turned a police car with officers onboard into a fireball in May 2016, in the midst of traffic in the heart of the French capital. The police car was burned after being set on fire during an unauthorized counter-demonstration against police violence on May 18, 2016 in Paris, as Police across France demonstrate today against the anti-cop hatred they say they have endured during a wave of anti-government protests since early March.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet (9 photos).
Plusieurs centaines de personnes ont manifesté le lundi 8 mai 2017, entre la place de la République et la place de la Bastille à Paris, à l’appel du collectif Front social, afin de marquer leur mobilisation contre le programme d’Emmanuel Macron, dès le lendemain de son élection à la présidence de la République.
Les participants ont répondu à l’appel de sections CGT, SUD ou UNEF et d’associations qui n’ont jamais accepté la fin de la bataille contre la loi travail.
En milieu de défilé, quelques heurts se sont produits entre manifestants et forces de l’ordre.
Thousands march in Paris on May 8, 2017 to protest against French presidential election results and the election of liberal candidate Emmanuel Macron. Pro-EU centrist Macron was elected president of France after defeating far right rival Marine Le Pen by a comfortable margin.
Sur les sites de Michel Stoupak : l'article, l'album complet (20 photos).
Nuit debout est un mouvement de manifestations quotidiennes d’ordre politique se déroulant principalement sur des places publiques françaises ainsi que dans d’autres pays, ayant commencé sur la place de la République à Paris le 31 mars 2016 après la manifestation contre la « loi Travail ». Le mouvement est marqué par une « libération » de la parole individuelle, une aspiration à la démocratie directe et participative, et s’élargit, à la fois géographiquement (occupations dans plusieurs dizaines de villes), et au niveau de ses revendications, du refus de la « loi Travail » à la contestation globale des « institutions » politiques et du système économique.
Ce mouvement citoyen informel se propose de construire une « convergence des luttes ». Organisé en commissions (coordination, logistique, accueil et sérénité, communication, etc.), les prises de décisions se font par consensus lors des assemblées générales. Ces occupations de places publiques rappellent celles, en 2011, de la Puerta del Sol à Madrid par le Mouvement des Indignés, de la place Syntagma à Athènes par la « Génération des 700 euros » ou les actions du mouvement Occupy aux États-Unis.
Protesters join the Nuit Debout (Night Rising) movement occupying Place de la Republique on Avril 16, 2016 in Paris, France. The youth Nuit Bebout movement has been holding nightly sit-ins nationwide since March 31 in protest against labor reforms.
Sur le site de Michel Stoupak : l'article.