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Tag: "expulsion"
Five demonstrators hold a banner reading Yes to the blocking, no to the carnage as they participate in a gathering in Paris on January 16, 2016 against Notre-Dame-des-Landes’s inhabitants expulsion where a new airport is to be constructed.
Sur le site de Michel Stoupak : l’article.
© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Samedi 26 octobre 2013, à 15 h 42. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF16-35mm f/2.8L II USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/30e de s, ƒ/8, ISO 125. Flash: non
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La Cour d’appel de Rennes a confirmé cette semaine l’expulsion d’agriculteurs occupant la ferme de Bellevue vouée à la destruction sur le site du projet d’aéroport.
Les manifestants ont indiqué protester également contre le projet de gigantesque campus universitaire sur le plateau de Saclay, à 25 km au sud de Paris. L’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, dont la concession a été attribuée au groupe Vinci, devait initialement être mis en service en 2017 pour remplacer l’actuel aéroport de Nantes Atlantique. Les travaux préparatoires ont déjà pris un an de retard.
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© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Samedi 19 octobre 2013, à 16 h 11. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF16-35mm f/2.8L II USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/500e de s, ƒ/2.8, ISO 160. Flash: non
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dans une présentation différente
Estimés à 600 selon la Préfecture de Police, les manifestants ont défilé entre Bastille et place de la Nation, après en avoir obtenu l’autorisation. Deux cents d’entre eux ont fini par un rassemblement assis d’une trentaine de minutes à Nation, avant de se disperser, après quelques bousculades avec les forces de l’ordre.
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© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Samedi 25 mai 2013. Appareil: Canon EOS-1D Mark III. Objectif: focale: 90 mm. Exposition: 1/800e de s, f/2.8, ISO 800. Flash: non
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Les manifestants, en majorité des familles roms, mais aussi des représentants d’associations et d’organisations politiques, ont marché de la place Saint-Michel jusqu’aux environs de l’hôtel Matignon derrière une banderole portant l’inscription « Aujourd’hui les Roms et demain qui ? Halte au racisme ! Égalité des droits ».
« En France, il y a écrit Liberté, égalité, fraternité. Mais j’ai du mal à y croire. Je ne suis pas un voleur, je ne crée pas de problème. Je veux juste pouvoir vivre tranquillement ici et travailler. Au lieu de ça, on casse ma baraque, on m’insulte », a affirmé à l’AFP Boti Sorin, un Rom de 38 ans, qui vit dans un bidonville de Saint-Denis, près de Paris. Rotaru Constantin, 38 ans aussi et Roumain, est arrivé en région parisienne il y a 4 ans. Il a expliqué faire les poubelles et vendre ce qu’il y trouve pour nourrir sa femme et ses quatre enfants. « Comme vous, comme n’importe qui, je veux travailler et payer des taxes ici », a affirmé à l’AFP cet homme sous le coup d’un arrêté d’expulsion.
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Prise de vue: Samedi 1er décembre 2012, à 20 h 40. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM ; focale: 70 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/100 sec, f/2.8, ISO 16000. Flash: non
Le samedi 1er décembre 2012 en fin d’après-midi, un collectif de précaires, chômeurs, mal logés, sans-papiers et retraités, ont choisi d’enfreindre la loi pour ouvrir un bâtiment vide depuis des années, situé au 63 rue de la Chapelle, dans le 18 earrondissement de Paris.
Un immeuble appartenant à la SIEMP (Société d’économie mixte de la Ville de Paris), qui avait été squatté et vidé immédiatement par la mairie de Paris, ayant pour objectif d’y construire des logements sociaux.
Après avoir déployé sur la façade une banderole indiquant « Assez de blablas… ça c’est d’la réquisition », les membres du collectif se sont installés dans l’immeuble, avant d’évacuer d’eux-mêmes l’édifice, cernés par les forces de l’ordre qui les ont poursuivis sans succès, pour les interpeller.
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