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A member of the L214 association protests in front a butcher shop during the 18th Paris Veggie Pride on September 22, 2018 in Paris. The Paris Veggie Pride is held with the aim of questioning the legitimacy of killing animals for consumption and to defend the rights of people refusing to eat animals.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/7.1, ISO 400, Compensation: -1/3. Flash: non
Extrait : 169 mots. C’est peu connu mais cela fait 18 ans qu’une poignée de militants organise tous les ans à Paris, une manifestation dénommé « Veggie Pride » et destinée à faire connaître le courant de pensée antispéciste, réfutant toute hiérarchie entre les êtres humains et les animaux. Mais alors qu’ils n’étaient que quelques dizaines dans les années 2000, ils étaient 1500 l’année dernière et pourraient bien être plusieurs milliers pour l’édition 2018 qui a lieu comme l’un des moments forts du festival antispéciste installé place de la République jusqu’au 23 septembre 2018 au soir. Si la Veggie Pride se veut pacifique, les bouchers, fromagers ou poissonniers sont inquiets à cause des nombreux incidents ces dernières semaines contre leurs commerces. (…) Fin mars, une militante vegan de la cause animale qui avait publié un message injurieux à l’égard d’un boucher tué dans un supermarché à Trèbes lors d’un attentat djihadiste, a été condamnée à sept mois de prison avec sursis pour « apologie du terrorisme ».
The residents of the city of Choisy-le-Roi, in the South of Paris, demonstrate on September 18, 2018, in front of the city hall against the project to build in this city a district to prepare detained people for release from prison (Quartier de Préparation à la Sortie - QPS).
Le maire PCF de Choisy-le-Roi Didier Guillaume a réuni les habitants de la ville le 18 septembre 2018, devant l’ancienne mairie, afin de témoigner de l’opposition des Choisyens et de leurs élus au projet de QPS (quartier de préparation à la sortie) envisagé par le ministère de la Justice, un établissement fermé de 180 places destiné à accueillir des détenus en fin de peine. Une pétition lancée par le maire le 23 juin avait rassemblé près de 4 500 signatures en quinze jours. L’autre site en balance dans le Val-de-Marne se trouve dans la zone de la Ballastière nord à Limeil-Brévannes. Le maire de Choisy avait appris par l’Agence publique pour l’immobilier de la Justice (Apij) que le terrain envisagé est situé avenue Louis-Luc, en plein quartier du Port. Une friche entourée d’un hôtel et d’une résidence étudiante d’un côté, et d’une imprimerie de l’autre, avec des immeubles d’habitation en face.
Une centaine de manifestants se sont rassemblés le 1er mars 2015 fontaine des Innocents, à Paris, pour demander la libération de Nadiya Savchenko, un pilote militaire capturé le 18 juin 2014 par des rebelles pro-russes à l’Est de l’Ukraîne. Célébrée en Ukraine comme une héroïne de la «lutte contre l’envahisseur russe», Nadiya Savchenko croupit dans une prison moscovite et en est à son 60e jour de grève de la faim. Patriote jusqu’à son dernier souffle, Nadiya Savchenko, 33 ans, attend un miracle de la diplomatie occidentale. Emprisonnée depuis la mi-juillet, elle est accusée par Moscou d’avoir provoqué la mort de deux journalistes de la télévision russe et encourt une peine de 20 ans de prison.
People gathered in central Paris, 1st March 2015, to protest against Nadiya Savchenko detention since June 18, 2014. Savchenko, a Ukrainian military pilot and former officer of the Ukrainian army was captured by pro-Russian rebels in eastern Ukraine.
Des milliers d’opposants au droit à l’avortement, dopés par l’exemple espagnol, défilaient ce dimanche 19 janvier 2014 à Paris, à l’appel d’organisations catholiques.
La plupart portaient un foulard rouge autour du cou pour rappeler les couleurs de l’Espagne, où l’avortement redevient un délit passible de la prison, sauf en cas de « danger psychique et physique » pour la mère ou de viol. À la veille de l’examen du projet de loi pour l’égalité hommes-femmes, où figurent plusieurs dispositions sur l’IVG, les manifestants ont ainsi marché de la Place Denfert-Rochereau jusqu’aux Invalides pour dénoncer une «banalisation totale» de l’interruption volontaire de grossesse.