Protestors wearing "Yellow vests" (gilets jaunes) gather in front of the Arc de Triomphe in the Champs-Elysees as the French capital Paris gears up for New Year's Celebrations on December 31, 2018. A fireworks display and sound and light show under the theme "fraternity" is set to go ahead on the Champs-Elysees despite plans for further "yellow vest" anti-government protests at the famed avenue.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24mm f/1.4L II USM; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/2.8, ISO 8000, Compensation: -2/3. Flash: non
EXTRAIT : 226 mots On attendait une vague jaune fluo sur les Champs-Elysées ce lundi 31 décembre 2018 au soir. Les Gilets jaunes étaient finalement moins que prévu. Ils étaient une centaine sur l’avenue parisienne. Les touristes, eux, étaient nombreux à profiter du spectacle projeté sur la façade de l’arc de Triomphe. Ils se sont mêlés aux Gilets jaunes qui commençaient à réveillonner, comme annoncé, de manière « festive » et « pacifique ». Les manifestants ont-ils été échaudés par le dispositif policier ? Peut-être. Il faut dire que la préfecture de police de Paris avait vu les choses en grand. (…) Entre 8000 et 10000 policiers ont donc été déployés, dont une vingtaine de compagnies de sécurité et de gendarmes sur les seuls Champs-Elysées. Interrogé plus tôt dans la journée (…), Christophe Castaner avait estimé que l’on pouvait s’attendre « au désordre ». Il n’en était rien en début de soirée. Plusieurs dizaines de Gilets jaunes se massaient en haut de l’avenue des Champs-Elysées, quasiment au niveau de la place de l’Étoile. Mais les policiers les repoussaient en avançant en ligne, pour les cantonner sur l’avenue. Les forces de l’ordre récoltaient en retour des sifflets nourris et une Marseillaise entonnée. Tout cela sous les regards ébahis des touristes qui, venus fêter la Saint-Sylvestre à Paris, s’arrêtaient pour les filmer avec leurs smartphones. (source : www.leparisien.fr)
Les Parisiens ont enfin eu droit à leur compte-à-rebours géant ! Alors que depuis des années, les plus grandes capitales mondiales sortent le grand jeu pour la nuit de la Saint-Sylvestre, Paris, elle, restait une ville éteinte. C’est désormais fini ! Cette nuit du 31 décembre 2014, peu avant minuit, les Champs-Elysées ont joué dans la cour des grands en offrant aux badauds, touristes et fêtards un spectacle haut en couleurs au pied de l’un de ses monuments les plus emblématiques, l’Arc de Triomphe. Pour la circonstance, près de 600.000 personnes s’étaient donné rendez-vous sur l’avenue des Champs-Élysées, devant le monument.
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Defacto, l’établissement public de gestion du quartier de La Défense, dans les Hauts-de-Seine, a présenté le vendredi 19 septembre 2014, un nouveau spectacle exceptionnel ayant pour cadre la Grande Arche. Baptisé « Ici… ailleurs », ce spectacle a transporté les spectateurs, à travers des projections monumentales et des feux d’artifices à couper le souffle, de l’Egypte à la Chine, en passant par la route de la Soie, l’Australie, l’Afrique, New York ou encore le Brésil.
La Fête des Vendanges de Montmartre a explosé en lumières et en féerie au ciel de la Butte, devant le Sacré-Cœur, le samedi 12 octobre 2013 en soirée. Pour la 7e année Joseph Couturier était le chef d’orchestre du spectacle pyro-mélodique de la Fête des Vendanges de Montmartre qui avait pour thème « Parlez-moi d’Amour », en hommage à Edith Piaf. « Le feu d’artifice, je suis tombé dedans lorsque j’étais enfant. J’ai de la poudre noire dans les veines. Et puis mon père est né un 14 juillet. Ça ne s’invente pas ». Fondée en 1988, Jacques Couturier Organisation a innové dans la création et la réalisation de spectacles pyrotechniques son, lumières et effets spéciaux. Joseph Couturier, fils du fondateur, en est le directeur artistique et le concepteur. Il a grandi dans le monde du spectacle et a parcouru le monde du cinéma, de la musique, du théâtre et bien sûr de l’artifice.
Espace, voilà le nom du dernier spectacle qui était proposé, pour la troisième année consécutive, sur le parvis de la Défense, dans les Hauts-de-Seine, le vendredi 20 septembre 2013 en soirée par la société Defacto. Un spectacle pyrotechnique et en 3D, qui faisait partir à la découverte de l’espace et de ses mystères. La société Defacto, l’Etablissement public de gestion, d’animation et de promotion de La Défense, avait réalisé un appel à projet pour cette 3e, et c’est Espace, conçu par l’agence Les Petits Français, qui a été retenu. Pour ce thème, l’équipe s’est attaché les compétences de Christophe Galfard, docteur en physique théorique, reconnu pour sa capacité à transmettre son savoir scientifique et à le vulgariser. Le spectacle Espace, c’était plus de 40 minutes d’exploration inédite, allant des origines de notre univers à la conquête du ciel, en passant par l’apparition de la vie ou encore les mystérieux extraterrestres. Avec ses 11 tableaux, ses 32 vidéoprojecteurs, son écran d’eau de 18 mètres par 50 et son équipe technique et artistique de 60 personnes, ce spectacle en a mis plein la vue au public venu nombreux.
Le feu d’artifice du 14 juillet 2013 de la Ville de Paris a été confié cette année à la société Fêtes et Feux, qui a su enflammer le Champs de Mars de plus de 25.000 projectiles et de 4.000 bombes de gros calibres… C’est un feu d’artifice de 35 minutes aux couleurs de la France, avec pour thème « Liberté, Egalité, Fraternité » qui a éclairé le symbole de la capitale. Un spectacle exaltant, auquel même la lune s’était conviée.
La patrouille aérienne britannique Team Guinot vole et voltige dans le ciel en musique et fumigène. Juchées sur des PT 17 Stearman, les filles baptisées « Wingwalkers » effectuent des figures acrobatiques à donner le vertige la tête à l’envers. Les Wingwalkers sont apparus dès les débuts de l’aviation. Ils se déplaçaient à l’origine entre les deux plans des biplans, sans être attachés. Malgré le risque de chute, les accidents étaient assez rares. Remontant aux années 20 ou 30, ces shows permettaient aux pilotes militaires démobilisés de gagner leur vie dans les airs, en prenant des risques pour les spectacles aériens de l’époque. Des WingWalkers, il n’en reste plus guère, mais la tradition persiste comme nous le prouve la patrouille britannique Team Guinot et ses quatre Stearman.
La grande famille du cinéma, en smoking et robes longues, était réunie vendredi soir au théâtre du Châtelet pour la 38e cérémonie des César avec cette année l’acteur-humoriste Jamel Debbouze en « président espiègle et jovial », « de tous les nommés et des pas nommés comme le marsupilami ». La cérémonie, ouverte à 21h dans l’humour par Jamel, était dédiée à la mémoire de Daniel Toscan du Plantier et Maurice Pialat. Peu avant le début de la cérémonie, retransmise en direct et en clair sur Canal+, les rumeurs souvent contradictoires donnaient l’avantage à « Amour » de Michael Haneke plutôt que « Camille redouble », de Noémie Lvovsky, qui avait obtenu le plus de nominations (13 contre 10). Et c’est finalement bien le film « Amour » qui a raflé les prix et c’est Emmanuelle Riva – 86 ans – et son partenaire Jean-Louis Trintignant qui se sont vu tenir entre leurs mains les Césars de la meilleure actrice et celui du meilleur acteur. En début de soirée, les professionnels étaient accueillis sous les sifflets de quelque 250 techniciens du spectacle qui manifestaient sur le parvis de la place du Châtelet, bien tenus à l’écart, réclamant notamment de meilleurs salaires et une extension de leur convention collective. De quoi provoquer, peut-être, des prises de paroles d’acteurs ou de producteurs sur scène, sur fond de polémique depuis décembre sur les gros cachets des vedettes et le financement du cinéma français.
Frédérique Bel descend du taxi pour les César 2013
Frédérique Bel, tout de cuir vêtue et brushing ondulé, s’est présentée en taxi à l’arrivée des stars de la 38e édition des César, le 22 février 2013. Débutant par de la figuration à la TV pour la série Le commissaire Moulin et l’émission Groland, elle fait sa première apparition au cinéma en 2000 en donnant une réplique dans le film de Patrick Braoudé : « Deuxième Vie ». Elle enchaînera ensuite des petits rôles dans des comédies comme La Beuze, Laisse tes mains sur mes hanches, L’Incruste… En 2004, elle va intégrer l’équipe du Grand Journal de Canal+ et y créer le personnage de Dorothy Doll dans une chronique intitulée La minute Blonde. Elle y incarne l’archétype de la blonde écervelée, le succès est immédiat. L’aventure durera deux ans, jusqu’au jour ou lasse de l’image que l’on se fait d’elle, elle souhaite franchir une étape. Cédric Klapisch lui offre un rôle dans « Les poupées russes », on la voit également dans « Camping » de Fabien Onteniente. Emmanuel Mouret lui donne deux rôles importants dans ses films « Changement d’adresse » en 2006 puis « Un baiser s’il vous plaît » en 2007. On peut également la voir à l’affiche de trois films : « Les dents de la nuit » de Vincent Lobelle, « Mes stars et moi » de Laetitia Colombani et « Vilaine » de Jean-Patrick Benes.
Cyril Mennegun, César du meilleur premier film pour « Louise Wimmer »
Le César du meilleur premier film a été attribué à «&bsp;Louise Wimmer » du réalisateur belfortain Cyril Mennegun, le 22 février 2013, lors de la 38e cérémonie des Césars au Châtelet. Cyril Mennegun est un autodidacte. Il a commencé par réaliser des documentaires dont le portrait de son ami Tahar Rahim, autre Belfortain devenu comédien en vue depuis sa performance dans « Un prophète » de Jacques Audiard. En 2004, le réalisateur tourne le 52 minutes « Jours précaires », un documentaire basé sur les témoignages de travailleurs pauvres. Son premier long métrage a été plébiscité par la critique Ce film a reçu le Prix Louis Delluc du premier film et le syndicat français de la critique de cinéma l’a choisi comme meilleur premier film.
Jamel Debbouze préside la cérémonie des César 2013
Jamel Debbouze était le président de la 38e cérémonie des César, au théatre du Châtelet, à Paris. Arrivé accompagné de sa femme, la journaliste Mélissa Theuriau, il a présidé la soirée au second degré, épaulé de son premier ministre Antoine de Caunes, maître de cérémonie.
« Les Adieux à la reine », le film de Benoît Jacquot sur les amours au féminin de Marie-Antoinette, était nominé le 22 février 2013 aux César dans les catégories meilleur film, meilleur réalisateur et meilleure actrice pour Léa Seydoux. C’était la troisième nomination de l’actrice, après le César du meilleur espoir féminin, en 2009 et 2011.
Kevin Costner était présent place du Châtelet, à Paris, le vendredi 22 février 2013, pour la 38e cérémonie des César, où il s’est vu décerner un César d’honneur, pour l’ensemble de sa carrière. Un César qui vient honorer l’acteur notamment pour ses rôles dans « Danse avec les loups », qui lui avait valu un Oscar en 1990, « Les Incorruptibles », « JFK » ou encore « Bodyguard ». « Des films qui nous ont fait rêver » a déclaré le président de l’Académie des Arts et Techniques, Alain Terzian, dans un communiqué avant la cérémonie.
Marion Cotillard, sublime et souriante mais bredouille !
On attendait beaucoup pour Marion Cotillard le 22 février 2013 au soir, lors de la 38e cérémonie des César… Mais l’institution du cinéma français n’a pas récompensé l’actrice de 37 ans, qui est une fois de plus repartie bredouille, alors qu’elle a fait chou blanc aux cérémonies américaines. Malgré ce relatif échec, l’héroïne de « De Rouille et d’Os » faisait bonne figure, affichant un sourire constant tout le long de la soirée, qui se déroulait au Théâtre du Châtelet. Teint de porcelaine, coiffure façon années folles, grands yeux bleus maquillés avec goût : l’actrice était très en beauté. Si Marion Cotillard s’est fait doubler par Emmanuelle Riva dans la course au César de la Meilleure Actrice, « De Rouille et d’Os » a tout de même remporté les prix de Meilleur Montage, Meilleure Adaptation et Meilleur Espoir Masculin, grâce à la performance de Matthias Schoenaerts. On attendait beaucoup pour Marion Cotillard le 22 février 2013 au soir, lors de la 38e cérémonie des César… Mais l’institution du cinéma français n’a pas récompensé l’actrice de 37 ans, qui est une fois de plus repartie bredouille, alors qu’elle a fait chou blanc aux cérémonies américaines. Malgré ce relatif échec, l’héroïne de « De Rouille et d’Os » faisait bonne figure, affichant un sourire constant tout le long de la soirée, qui se déroulait au Théâtre du Châtelet. Teint de porcelaine, coiffure façon années folles, grands yeux bleus maquillés avec goût : l’actrice était très en beauté. Si Marion Cotillard s’est fait doubler par Emmanuelle Riva dans la course au César de la Meilleure Actrice, « De Rouille et d’Os » a tout de même remporté les prix de Meilleur Montage, Meilleure Adaptation et Meilleur Espoir Masculin, grâce à la performance de Matthias Schoenaerts.
Izia Higelin, « Mauvaise fille » et meilleur espoir féminin
Pour son premier film, la chanteuse de 22 ans Izia Higelin s’est vu remettre, vendredi 22 février 2013, le prix du meilleur espoir féminin pour son rôle dans le film de Patrick Mille « Mauvaise fille », inspiré du roman de Justine Levy. Fille de Jacques Higelin, Izia remporte en 2010 deux Victoires de la musique pour l’album pop/rock de l’année et la révélation scène de l’année. Ce soir-là, elle se lâche sur scène. Une performance qui retient l’attention de Patrick Mille et Justine Lévy. C’est en la voyant recevoir ce prix que le couple a l’idée de lui confier le rôle de Louise dans « Mauvaise fille », une jeune femme qui apprend simultanément qu’elle est enceinte et que sa mère, interprétée par Carole Bouquet, est gravement malade.