À Paris, une manifestation de lycéens et d’étudiants s’est formée le 11 décembre 2018 dans le Quartier Latin pour protester notamment contre la réforme du bac, la plateforme d’accès à l’enseignement supérieur Parcoursup et le service national universel (SNU).
À coups de « Macron, t’es foutu, la jeunesse est dans la rue », le cortège s’est dirigé vers sa destination : le Ministère de l’Éducation Nationale. Sur la place Saint-Michel et à plusieurs autres reprises, les jeunes se sont tous agenouillés en solidarité avec les lycéens de Mantes-la-Jolie, dont les images à genoux, les mains liées ou derrière la tête, et parfois contre un mur. ont beaucoup circulé depuis leur interpellation.
Après la vidéo polémique, deux tiers des jeunes interpellés ont écopé d’un rappel à la loi. Depuis, ces images sont devenues un symbole et beaucoup s’agenouillent lors des manifestations, pour marquer leur solidarité avec ces lycéens.
À coups de « Macron, t’es foutu, la jeunesse est dans la rue », le cortège s’est dirigé vers sa destination : le Ministère de l’Éducation Nationale. Sur la place Saint-Michel et à plusieurs autres reprises, les jeunes se sont tous agenouillés en solidarité avec les lycéens de Mantes-la-Jolie, dont les images à genoux, les mains liées ou derrière la tête, et parfois contre un mur. ont beaucoup circulé depuis leur interpellation.
Après la vidéo polémique, deux tiers des jeunes interpellés ont écopé d’un rappel à la loi. Depuis, ces images sont devenues un symbole et beaucoup s’agenouillent lors des manifestations, pour marquer leur solidarité avec ces lycéens.
Blocage des lycées à Paris : un millier de manifestants dans la capitale
Lycéens et étudiants étaient dans la rue ce 11 décembre 2018 pour un « mardi noir ». Quelque 170 établissements étaient perturbés dans la matinée selon l’Éducation nationale, et des rassemblements forts de centaines de jeunes étaient prévus dans plusieurs villes de France. Ce mouvement, qui proteste notamment contre la réforme du bac, la plateforme d’accès à l’enseignement supérieur Parcoursup et le service national universel (SNU), est né la semaine dernière dans le sillage de la colère protéiforme des « gilets jaunes ».
La veille, 450 établissements avaient été touchés, soit 10% des lycées en France, avec des blocages, barrages filtrants ou rassemblements devant leurs portes, selon les chiffres du ministère de l’Éducation.
Cinq sites universitaires sont toujours fermés, avec un grief supplémentaire: la hausse des frais de scolarité pour les étudiants étrangers. Source.
La veille, 450 établissements avaient été touchés, soit 10% des lycées en France, avec des blocages, barrages filtrants ou rassemblements devant leurs portes, selon les chiffres du ministère de l’Éducation.
Cinq sites universitaires sont toujours fermés, avec un grief supplémentaire: la hausse des frais de scolarité pour les étudiants étrangers. Source.
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