© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Dimanche 23 juin 2013, à 16 h 06. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF70-200mm ƒ/2.8L IS II USM +1.4x ; focale: 98 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/1000, ƒ/4, ISO 640. Flash: non
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Plusieurs milliers de personnes, 6.000 selon la police, ont défilé dimanche 23 juin 2013 à Paris contre le fascisme, une quinzaine de jours après la mort de Clément Méric, tué le 5 juin à Paris dans une rixe opposant antifascistes et militants d’extrême droite.
Le cortège dense et hétéroclite s’est élancé vers 15 h de la place de l’Opéra, dans le 2e arrondissement de Paris, rassemblant des militants de partis politiques (NPA, Parti de Gauche), des groupes anarchistes, des associations (Attac, SOS homophobie) et des syndicats (Unef, CGT).
Défilant derrière des banderoles proclamant « Le fascisme tue, l’islamophobie tue », ou représentant le visage de Clément Méric les manifestants ont scandé « Clément, Clément, antifa » ou « Pas de quartiers pour les fachos, pas de fachos dans nos quartiers ». Mais le rassemblement dépassait la simple revendication antifasciste, des affiches et banderoles dénonçant pêle-mêle l’islamophobie ou les actes homophobes. Vêtus de noir, une trentaine de manifestants ont déployé pendant quelques minutes une banderole sur la façade de l’Opéra fustigeant le fascisme, avant un défilé rythmé par des fumigènes et des pétards.
Le cortège dense et hétéroclite s’est élancé vers 15 h de la place de l’Opéra, dans le 2e arrondissement de Paris, rassemblant des militants de partis politiques (NPA, Parti de Gauche), des groupes anarchistes, des associations (Attac, SOS homophobie) et des syndicats (Unef, CGT).
Défilant derrière des banderoles proclamant « Le fascisme tue, l’islamophobie tue », ou représentant le visage de Clément Méric les manifestants ont scandé « Clément, Clément, antifa » ou « Pas de quartiers pour les fachos, pas de fachos dans nos quartiers ». Mais le rassemblement dépassait la simple revendication antifasciste, des affiches et banderoles dénonçant pêle-mêle l’islamophobie ou les actes homophobes. Vêtus de noir, une trentaine de manifestants ont déployé pendant quelques minutes une banderole sur la façade de l’Opéra fustigeant le fascisme, avant un défilé rythmé par des fumigènes et des pétards.
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