People gather near the Eiffel Tower at the Place du Trocadero in Paris, on March 4, 2024, during the broadcasting of the convocation of both houses of parliament to anchor the right of abortion in the country's constitution. If congress approves the move, France will become the only country in the world to clearly protect the right to terminate a pregnancy in its basic law.
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À Paris, face à la Dame de fer, place du Trocadéro, plusieurs centaines de manifestants sont venus assister ce lundi 4 mars 2024 à un événement d’ores et déjà historique : l’inscription dans la Constitution française du droit à l’interruption volontaire de grossesse. Des jeunes, des anciens, des parents venus avec leurs enfants se sont réunis pour célébrer cette nouvelle page dans l’histoire de la France face à un écran géant installé par la mairie sur l’initiative de la Fondation des femmes et qui retransmettait en direct le vote du Congrès. Réunis au château de Versailles, les parlementaires ont adopté la révision constitutionnelle prévoyant ainsi que « la loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté garantie à la femme d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse ».
Face au recul de ce droit fondamental à avorter dans certains pays de l’Est et aux États-Unis, la France est le premier pays à inscrire l’IVG dans son texte fondateur.
This photograph taken on March 4, 2024 shows flowers and candles placed at the war memorial at the Parvis des Droits de l'Homme, Place du Trocadero, in Paris, in tribute to the deceased opposition leader Alexei Navalny. Navalny died in detention in Russia at the age of 47. President Vladimir Putin has lost one of his most outspoken critics with his death.
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Place du Trocadéro, face à la Tour Eiffel, les manifestants ont déposé des fleurs, allumé des bougies et apporté des pancartes au lendemain de la mort dans une prison de Russie d’Alexeï Navalny, principal opposant au président russe Vladimir Poutine. Sous le monument aux morts dédiés à la guerre de 14-18, mémorial improvisé en hommage à l’opposant russe, on pouvait lire “Poutine tue” et « L’amour est plus fort que la peur ».
President of French far-right Reconquete! party and presidential candidate Eric Zemmour on the Trocadero square in Paris on March 27, 2022. French voters head to the polls in April 2022 for a presidential election.
À deux semaines du premier tour de l’élection présidentielle en France, Éric Zemmour a fait une démonstration de force dimanche 27 mars 2022 place du Trocadéro à Paris, où l’ancien journaliste a lancé un appel aux ténors de la droite.
Des dizaines de milliers de personnes – 100.000 selon Éric Zemmour – sont venues acclamer le fondateur du mouvement Reconquête dont la dynamique marque le pas dans les sondages, où il est crédité d’environ 10 % des intentions de vote.
« Je suis le seul candidat de droite de cette élection », a dit Éric Zemmour, qui a appelé au « soutien des patriotes ».
A protester holds a placard reading "Freedom to Alexei Navalny" during a rally in support of jailed opposition leader Alexei Navalny in place du Trocadéro, in Paris on January 23, 2021. Navalny, 44, was detained last Sunday upon returning to Moscow after five months in Germany recovering from a near-fatal poisoning with a nerve agent and later jailed for 30 days while awaiting trial for violating a suspended sentence he was handed in 2014.
Prise de vue: Samedi 23 janvier 2021, à 14 h 57. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF 70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III; focale: 98 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitese, 1/200 sec, f/4, ISO 320, Compensation: -1/3. Flash: non
Extrait : 157 mots. Alors que plus d’un millier de personnes étaient arrêtées en Russie lors des manifestations en soutien à Alexeï Navalny, le principal opposant à Vladimir Poutine, plusieurs centaines de manifestants se sont donné rendez-vous place du Trocadéro à Paris, le 23 janvier 2021, pour témoigner de leur soutien à l’opposant. Cette contestation s’organise à quelques mois des législatives prévues pour l’automne, sur fond de chute de popularité du parti au pouvoir. Comme en 2019, la police russe a interpellé cette semaine, en amont des mobilisations, des alliés de premier plan d’Alexeï Navalny dont deux ont été condamnés vendredi à de courtes peines de prison. En région, plusieurs coordinateurs de son mouvement ont été arrêtés après avoir appelé à manifester samedi. Fin août, Alexeï Navalny était tombé gravement malade en Sibérie et avait été hospitalisé en urgence à Berlin, victime, selon lui, d’un empoisonnement des services secrets russes à un agent neurotoxique.
Sept mille clients de la banque portugaise qui avaient été poussés à placer leurs économies dans un produit financier douteux n’ont jamais été remboursés après sa faillite. Ils ont fait entendre leur voix en manifestant le 17 juin 2017 au Trocadéro, à Paris, pour réclamer des compensations après la perte de leur épargne. En effet, au début des années 2000, un nombre important de petits épargnants portugais s’étaient vu proposer par la Banque BES (Banco Espirito Santo) un nouveau produit financier, présenté comme sûr. Il s’agissait en fait d’un produit normalement destiné aux entreprises, qui n’aurait jamais dû être proposé à de simples particuliers. Sept mille clients ont investi, au total, plus de 700 millions d’euros dans ce qu’ils croyaient être une épargne.
Parmi ces clients figure une grande proportion d’émigrés (en France, en Suisse, au Luxembourg) et de retraités. Lorsque la banque BES a fait faillite, en août 2014, ces épargnes ont été placées du côté de la “mauvaise banque”, alors que les actifs jugés sains ont été placés dans la “bonne banque”, devenues le Novo Banco. L’État a injecté 4,9 milliards d’euros pour sauver la “bonne banque”, mais les économies de ceux que la presse portugaise a nommé “les lésés de la banque BES” n’ont pas été sauvées. Une vague de protestations a alors pris forme au Portugal et dans les pays où ces immigrés vivent, sous la bannière de quelques associations créées pour l’occasion comme les “Lésés du Novo Banco” (LNB) ou le “Mouvement des émigrés lésés” (MEL).
Victims of toxic investments made by former Banco Espirito Santo (BES) now Novo Banco (New Bank) hold posters and shout slogans in front of the Eiffel tower, in Paris on June 17, 2017 during a demonstration of Portuguese emigrants living in France to claim their lost monies following the during the collapse of BES. According to the movement of aggrieved Emigrants, launched in Paris, some 8000 Portuguese abroad, including 4,000 in France, had traded their savings against BES financial products, mostly presented as safe, totaling 720 million euros.
Les policiers se sont remobilisés en France le 3 décembre 2016, deux mois après l’attaque violente de leurs collègues dans l’Essonne. Ces nouveaux rassemblements ont eu lieu dans une quinzaine de grandes villes françaises, dont Paris, à l’appel du collectif national des « policiers en colère » et pour dénoncer le manque de moyens alloués et l’absence de reconnaissance, ainsi que les lourdeurs administratives auxquelles ils sont soumis. A Paris, les policiers se sont rassemblés sur le Champs-de-Mars, au pied de la Tour Eiffel, avant de rejoindre le Trocadéro.
Protesters hold a banner reading 'Police officers, citizens united. All angry' during a rally of French police officers protesting over mounting attacks on officers in Paris, on December 3, 2016.
Jean Ping, l’ex-candidat à la présidence du Gabon, ancien ministre des Affaires étrangères de ce pays, président de l’Assemblée générale des Nations unies, et président de la commission de l’Union africaine jusqu’en 2013, a été accueilli par une foule en liesse à Paris, le 29 octobre 2016. Pour sa première sortie du Gabon depuis les élections présidentielles de son pays, Jean Ping a en effet choisi de se rendre au Trocadéro, où il a pris la parole devant la diaspora gabonaise, très mobilisée depuis le scrutin. Mercredi, deux jours avant l’arrivée de Jean Ping à Paris, le Parlement européen évoquait justement la présidentielle gabonaise. « Cette élection a été manipulée », a alors martelé à Bruxelles le social-démocrate allemand Jo Leinen, qui dirigeait la délégation parlementaire européenne venue observer le scrutin d’août. « J’ai gagné ces élections de manière claire et tout le monde le sait », commente Jean Ping, qui reste étonnamment confiant sur l’issue du bras de fer en cours au Gabon.
Jean Ping, the former candidate for president of Gabon, former Foreign Minister of Gabon, former President of the United Nations General Assembly and former President Commission of the African Union, is greeted by a cheering crowd in Paris, France on October 29, 2016.
Deux ans après sa dernière manifestation d’envergure, le collectif La Manif pour tous avait appelé à défiler dans les rues de Paris, le dimanche 16 octobre 2016. Comme lors des précédents rassemblements, les estimations de la participation ont été très divergentes. Selon la préfecture de police, entre 23 000 et 24 000 personnes ont marché de la porte Dauphine au Trocadéro. Les organisateurs en ont annoncé quant à eux au moins 200 000. En 2012 et 2013, des rassemblements similaires avaient réuni plusieurs centaines de milliers de personnes, suivis d’un net essoufflement après le passage de la loi en mai 2013. En 2014, l’écart d’estimations était encore flagrant, de 70 000 pour la police à 500 000 pour les organisateurs. Le mot d’ordre de la manif ? « Ne plus subir », réclamer l’abrogation de la loi Taubira qui autorisait le mariage pour les homosexuels et crier son hostilité à la procréation médicalement assistée (PMA) et à la gestation pour autrui (GPA), interdite en France. Le mouvement met aussi l’accent sur le thème de la filiation et espère que le contexte politique actuel en France favorisera la mobilisation. Dans le cortège, la foule était largement composée de familles et les couleurs étaient celles du drapeau tricolore et le rose et bleu.
Participants waves flags as they take part in a demonstration organised by the movement ‘La Manif pour tous’ against what are seen as ‘new offensives against the family and education’, in Paris on October 16, 2016.
Marion Maréchal-Le Pen sur le Mariage pour tous : « Il y a de vraies raisons encore aujourd’hui de se battre »
Présente le 16 octobre 2016 au défilé parisien de la Manif pour tous, la députée FN s’est fait le relais des craintes des manifestants sur la GPA et la PMA. Pour ce rassemblement, l’organisation pouvait compter sur la présence de plusieurs politiques, parmi lesquels Marion Maréchal-Le Pen (FN), qui a rappelé sa volonté d’abroger la loi Taubira. « Nous rappelons aujourd’hui notre volonté d’abrogation de la loi (…) Ces thématiques n’ont jamais véritablement quitté le débat », juge la députée du Vaucluse, au micro d’Europe 1. « Et même si nous rappelons aujourd’hui notre volonté d’abrogation de la loi sur le mariage homosexuel, il s’agit aussi de traiter le sujet des mères porteuses et de la PMA ‘sans père’ et donc à ce titre, il y a de vraies raisons encore aujourd’hui de se battre, sans parler de toutes les attaques fiscales à répétition que le gouvernement a menées contre les familles durant ce mandat ». PMA « sans père » et GPA sont ainsi vues comme des avatars de la loi Taubira. Quand bien même le gouvernement s’est opposé à de multiples reprises au recours aux mères porteuses. Et que la gauche n’a pas encore autorisé la PMA pour les couples de lesbiennes.
French far-right Front national MP Marion Maréchal Le Pen gives a speech during a protest organized by La Manif pour tous in Paris on October 16, 2016.
Après la mort d’Antoine, 20 ans, tué d’un coup de couteau dans les jardins du Trocadéro à Paris (16e) dans la nuit du 31 décembre 2013 au 1er janvier 2014, une cérémonie était organisée le vendredi 3 janvier 2014 à Paris pour lui rendre hommage. Une manifestation lancée la veille sur Facebook et destinée aux amis et aux soutiens de la victime, mais à laquelle était surtout présent Wallerand de Saint-Just, candidat Front National aux municipales à Paris, qui a déposé quelques fleurs. À ce jour, l’enquête reste difficile et les policiers de la brigade criminelle poursuivent l’analyse des images des caméras de vidéoprotection du Trocadéro et également celles des transports parisiens.
Malgré l’absence d’évènements organisés sur les Champs-Elysées, la foule s’est pressée sur la célèbre avenue parisienne. 300.000 personnes sont venues y fêter la nouvelle année, contre 40.000 au Champ de Mars et au Trocadéro selon la préfecture de Paris. Contrairement à Prague, Barcelone, New York ou encore Sidney la capitale ne propose pas d’événement festif le soir de la saint-Sylvestre. La capitale est concentrée sur d’autres dates festives comme la nuit blanche ou la Techno Parade. De Jacques Chirac, en passant par Jean Tiberi et Bertrand Delanoë, aucun maire n’a eu la volonté de raconter une histoire événementielle. Aucun artiste ni aucun organisme ne s’en est d’ailleurs emparé. Il y a aussi la dimension financière : organiser un tel événement coûterait des centaines de milliers ou de millions d’euros. La ville préfère donc maintenir des fêtes qui sont plus dans la tradition parisienne.
Paris accueillait, les 21 et 22 septembre 2013 la finale de la coupe du monde de tir à l’arc, organisée au Trocadéro, devant la Tour Eiffel. Le 21 septembre, journée dédiée à l’arc à poulies, la vice-championne du monde en titre en arc à poulies, Pascale Lebecque s’est inclinée dès le premier tour des finales face à la Russe Loginova. Sophie Dodemont n’a pas fait mieux contre l’Américaine Jones. Le titre a été remporté par la Colombienne Alejandra Usquiano.
Paris accueillait, les 21 et 22 septembre 2013 la finale de la coupe du monde de tir à l’arc, organisée au Trocadéro, devant la Tour Eiffel. Le 21 septembre, journée dédiée à l’arc à poulie, le Danois Martin Damsbo a remporté l’épreuve devant l’Américain Braden Gellenthien, victorieux l’an dernier à Tokyo. Deux Français étaient présents pour cette finale : Pierre-Julien Deloche, battu en quarts, et Dominique Genet, éliminé en demi-finales, par Damsbo.
L’inquiétude grandit sur le sort des deux évêques orthodoxes enlevés le 22 avril 2013 près d’Alep, en Syrie. Plus d’un mois après le rapt, on est toujours sans nouvelles de l’évêque grec-orthodoxe d’Alep, Boulos Yazigi, et de Youhanna Ibrahim, le métropolite syriaque orthodoxe de la même ville. Selon plusieurs sources concordantes, les deux prélats auraient été kidnappés dans le village de Kafr Dael alors qu’ils tentaient de mener une médiation pour libérer deux prêtres kidnappés par des groupes rebelles plusieurs mois auparavant. Si, dans les jours suivant leur enlèvement, des réactions indignées ont afflué du monde entier, l’affaire n’est plus relayée par les médias. Un silence qui fait craindre aux orthodoxes que les deux évêques tombent dans l’oubli. En réponse, la communauté orthodoxe de France a décidé de se mobiliser pour alerter « la communauté internationale et l’opinion publique » française sur le sort « des deux évêques enlevés, mais aussi de toutes les personnes privées de liberté », selon les termes de son communiqué. À l’initiative de l’archevêché antiochien orthodoxe d’Europe et de l’Église syriaque orthodoxe de Paris, un rassemblement a ainsi été organisé le dimanche 2 juin 2013, sur le parvis des Droits de l’Homme, au Trocadéro, à Paris. De son côté, lors de l'Angélus du 2 juin 2013, le pape François a appelé à la libération des personnes enlevées en Syrie. « Je fais appel à l’humanité des ravisseurs afin qu’ils libèrent les victimes », a-t-il lancé avec force depuis les appartements pontificaux.
Les événements à Istanbul inquiètent la communauté turque de France. Un rassemblement était organisé le dimanche 2 juin 2013 après midi sur l’esplanade du Trocadéro à Paris pour dénoncer les violences policières en Turquie. Malgré la distance, ils étaient une centaine de manifestants à marquer leur solidarité avec leurs compatriotes. Dans la nuit de samedi à dimanche, des milliers de manifestants ont célébré leur victoire à Istanbul après le retrait de la police de la place Taksim ordonné par le Premier ministre Recep Erdogan et le soutien de pays qui ont appelé son gouvernement à la « retenue »
La journée du 10 mars 2013 correspondait au 54e anniversaire du soulèvement national des Tibétains contre l’occupation chinoise. Ce jour là, le 10 mars 1959, 30.000 Tibétains se massèrent autour du palais de Norbulinka pour empêcher le dalaï-lama d’être enlevé par les Chinois. Ce soulèvement se solda par un massacre : rien que dans la ville de Lhassa, 15.000 Tibétains furent tués. À cette occasion, le collectif des Étudiants en France pour un Tibet Libre appelait à manifester sur l’Esplanade du Trocadéro, à Paris, avant de rejoindre l’ambassade de la République populaire de Chine, placée pour la circonstance sous haute protection par les forces de l’ordre.