© Photo Michel Stoupak. Prise de vue: Dimanche 2 juin 2013, à 16 h 58. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35mm f/2.8L II USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160e de s, f/10, ISO 125. Flash: non
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L’inquiétude grandit sur le sort des deux évêques orthodoxes enlevés le 22 avril 2013 près d’Alep, en Syrie. Plus d’un mois après le rapt, on est toujours sans nouvelles de l’évêque grec-orthodoxe d’Alep, Boulos Yazigi, et de Youhanna Ibrahim, le métropolite syriaque orthodoxe de la même ville. Selon plusieurs sources concordantes, les deux prélats auraient été kidnappés dans le village de Kafr Dael alors qu’ils tentaient de mener une médiation pour libérer deux prêtres kidnappés par des groupes rebelles plusieurs mois auparavant.
Si, dans les jours suivant leur enlèvement, des réactions indignées ont afflué du monde entier, l’affaire n’est plus relayée par les médias. Un silence qui fait craindre aux orthodoxes que les deux évêques tombent dans l’oubli. En réponse, la communauté orthodoxe de France a décidé de se mobiliser pour alerter « la communauté internationale et l’opinion publique » française sur le sort « des deux évêques enlevés, mais aussi de toutes les personnes privées de liberté », selon les termes de son communiqué. À l’initiative de l’archevêché antiochien orthodoxe d’Europe et de l’Église syriaque orthodoxe de Paris, un rassemblement a ainsi été organisé le dimanche 2 juin 2013, sur le parvis des Droits de l’Homme, au Trocadéro, à Paris.
De son côté, lors de l'Angélus du 2 juin 2013, le pape François a appelé à la libération des personnes enlevées en Syrie. « Je fais appel à l’humanité des ravisseurs afin qu’ils libèrent les victimes », a-t-il lancé avec force depuis les appartements pontificaux.
Si, dans les jours suivant leur enlèvement, des réactions indignées ont afflué du monde entier, l’affaire n’est plus relayée par les médias. Un silence qui fait craindre aux orthodoxes que les deux évêques tombent dans l’oubli. En réponse, la communauté orthodoxe de France a décidé de se mobiliser pour alerter « la communauté internationale et l’opinion publique » française sur le sort « des deux évêques enlevés, mais aussi de toutes les personnes privées de liberté », selon les termes de son communiqué. À l’initiative de l’archevêché antiochien orthodoxe d’Europe et de l’Église syriaque orthodoxe de Paris, un rassemblement a ainsi été organisé le dimanche 2 juin 2013, sur le parvis des Droits de l’Homme, au Trocadéro, à Paris.
De son côté, lors de l'Angélus du 2 juin 2013, le pape François a appelé à la libération des personnes enlevées en Syrie. « Je fais appel à l’humanité des ravisseurs afin qu’ils libèrent les victimes », a-t-il lancé avec force depuis les appartements pontificaux.
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