Des pluies importantes sont venues perturber le bon déroulement de la Fête de l’Humanité, les 12 et 13 septembre 2015, au parc de la Courneuve, transformant les terrains en véritables champs de boue infranchissables.
Ouverture: ƒ/7.1, Canon EOS-1D X, 15 février 2015, flash: non, focale: 24 mm, ISO: 320, localisation: 48° 52.1786′ 0″ N 2° 21.1528′ 0″ E, vitesse: 1/250 s
Données techniques de cette photo : passez le pointeur sur l'image
Quelques milliers de manifestants, 2.000 selon la police, ont exprimé dimanche 15 février 2015 à Paris leur soutien au « David grec » contre le « Goliath de la finance » à l’appel d’un collectif d’associations, de partis de gauche et d’extrême gauche. Les manifestants ont défilé dans le centre de Paris, de la place de la République à la place du Palais Royal, avec des banderoles et des drapeaux de Syriza, le parti du chef de gouvernement grec Alexis Tsipras, du Parti communiste, très présent dans le cortège, de Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) ou encore d’Europe Ecologie les verts (EELV) et du petit mouvement Nouvelle Donne. Sur le parcours, la foule composée pour une large part d’hommes et de femmes d’âge mûr a scandé en chœur « En Grèce, en France, résistance contre l’austérité et la finance », ou encore « Syriza va gagner contre l’austérité, avec le peuple grec solidarité ». Le gouvernement d’Alexis Tsipras, qui bénéficie d’un fort soutien des Grecs, doit négocier lundi avec les 19 ministres des Finances de l’Eurogroupe un accord sur la dette colossale du pays, en espérant ne pas avoir à annoncer des concessions.
French leftist parties rallied in Paris to support the newly-elected Syriza party in Greece. Pierre Laurent, national secretary of the French Communist party, and Jean-Luc Mélenchon, leader of the French Left Front party joined the rally.
L’inquiétude grandit sur le sort des deux évêques orthodoxes enlevés le 22 avril 2013 près d’Alep, en Syrie. Plus d’un mois après le rapt, on est toujours sans nouvelles de l’évêque grec-orthodoxe d’Alep, Boulos Yazigi, et de Youhanna Ibrahim, le métropolite syriaque orthodoxe de la même ville. Selon plusieurs sources concordantes, les deux prélats auraient été kidnappés dans le village de Kafr Dael alors qu’ils tentaient de mener une médiation pour libérer deux prêtres kidnappés par des groupes rebelles plusieurs mois auparavant. Si, dans les jours suivant leur enlèvement, des réactions indignées ont afflué du monde entier, l’affaire n’est plus relayée par les médias. Un silence qui fait craindre aux orthodoxes que les deux évêques tombent dans l’oubli. En réponse, la communauté orthodoxe de France a décidé de se mobiliser pour alerter « la communauté internationale et l’opinion publique » française sur le sort « des deux évêques enlevés, mais aussi de toutes les personnes privées de liberté », selon les termes de son communiqué. À l’initiative de l’archevêché antiochien orthodoxe d’Europe et de l’Église syriaque orthodoxe de Paris, un rassemblement a ainsi été organisé le dimanche 2 juin 2013, sur le parvis des Droits de l’Homme, au Trocadéro, à Paris. De son côté, lors de l'Angélus du 2 juin 2013, le pape François a appelé à la libération des personnes enlevées en Syrie. « Je fais appel à l’humanité des ravisseurs afin qu’ils libèrent les victimes », a-t-il lancé avec force depuis les appartements pontificaux.