Europe Ecologie Les Verts (EELV) Green Party candidate for the March 2020 municipal elections in Paris David Belliard gives a speech as he attends a meeting in Paris on September 24, 2019 to launch the EELV municipal elections campaign in the French capital.
Prise de vue: Mardi 24 septembre 2019, à 20 h 04. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: 175 mm; focale: 175 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/160 sec, f/4, ISO 2000, Compensation: -2/3. Flash: non
Résumé : 85 mots. Déjà visible sur le terrain, la campagne de David Belliard, tête de liste Europe Ecologie Les Verts pour les municipales à Paris, a été officiellement lancée ce mardi 24 septembre 2019 au soir, avec l’organisation de son tout premier « meeting de l’écologie » à la Bellevilloise. David Belliard et les candidats écologistes des différents arrondissements parisiens (Antoinette Guhl, Jacques Boutault…), étaient entourés de Yannick Jadot, tête de liste EELV aux dernières élections européennes désormais euro-député, et des députées Esther Benbassa et Karima Delli.
= Lancer la lecture automatique = Arrêter la lecture automatique = Ouvrir la galerie. Taille maximale des images en mettant en plus en grand écran (touche F11 sur la plupart des navigateurs) = Fermer la galerie. Puis retour à l'écran normal (touche F11 sur la plupart des navigateurs) = Ouvrir l'image en cours dans une nouvelle fenêtre Sur l'image en cours : ou clic sur la moité droite = Image suivante ou clic sur la moitié gauche = Image prédédente. Ces opérations arrêtent la lecture automatique si elle est active.
A picture taken on October 17, 2018 shows wreaths of flowers laid on the Saint-Michel Bridge in Paris, during a rally to commemorate a demonstration by pro-National Liberation Front (FLN) Algerians, on October 17, 1961 in Paris. French President Francois Hollande said on October 17, 2012 that France recognised the "bloody repression" of Algerian protesters in Paris that historians say left dozens, possibly hundreds, dead on October 17, 1961. On that day in 1961, at the call of Algeria's National Liberation Front (FLN), which was fighting for independence from France, between 20,000 and 30,000 men, women and children from Algeria protested in Paris against a police curfew.
Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 16-35 mm f/4L IS USM; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l'ouverture, 1/250 sec, f/8, ISO 400, Compensation: -2/3. Flash: oui
Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées le 17 octobre 2018 sur le Pont Saint-Michel, pour commémorer, 57 ans plus tard, l’exécution de manifestants algériens, le 17 octobre 1961. Ce jour-là, en pleine guerre d’Algérie, des Algériens manifestent pacifiquement à Paris contre le couvre-feu décrété par le préfet de police Maurice Papon. Cette mobilisation, organisée à l’appel du FLN, sera très violemment réprimée : entre des dizaines et des centaines de morts selon les sources, des manifestants emprisonnés dans des centres de détention spécialement mis en place (palais des sports, stade Coubertin, parc des expositions, etc.) où ils ont subi des mauvais traitements. Or ce massacre a été longtemps étouffé. Le lendemain, Maurice Papon publie un communiqué de presse où il minimise la répression (officiellement on parle de trois morts) et accuse les manifestants de violence envers les forces de l’ordre. Si quelques journaux tentent de contester cette version, c’est néanmoins ce communiqué qui va incarner la version « officielle ». À partir des années 80 des historiens vont commencer à produire des travaux de recherche sur la manifestation et sa répression. Mais il faut attendre 1997 et le procès de Maurice Papon (sur ses actes pendant l’Occupation) pour que les événements du 17 octobre refassent surface sur la scène publique. Commence alors un long travail de mémoire et d’écriture de l’histoire encore en cours.